Vous savez, ces hordes de petites pestes bourgeoises qui déambulent en crop top serré dans la capitale (et toute autre grande ville) dès que le beau temps fait son apparition à prendre une multitude de selfies pour alimenter leur compte Instagram, à faire quelques arrêts à MacDonald ou toute autre franchise de restauration rapide qui leur offrira un menu bien gras qui viendra s'empiler sur la merde déjà bien accumulée dans leur estomac. Moi ça m'obsède, je suis comme un chien à les observer dans la rue espérant que l'un d'elle lâche un borborygme mouillé par accident. Imaginez une seconde l'état de leur culotte Calvin Klein après une journée, la sueur qui imprègne chaque pièce de leur lingerie. J'aimerais tellement suivre l'une de ces garces jusque dans leur haussmannien, la voir monter les escaliers et enfin se détacher du personnage qu'elle a incarnée toute la journée. La voir se gratter le cul, lâcher un énorme pet dans le couloir pour aller visser son cul mouillé de sueur sur la cuvette en marbre de son appartement et lâcher en l'espace de quelques secondes toute la merde qu'elle a accumulée dans son petit organisme. Juste une seconde, le temps de méthodiquement écarter leurs deux fesses glabres pour confronter l'œil d'Osiris au fond de la cuvette et laisser là une scène digne de Dresde. Puis surtout après un bon joint, leur trou de balle doit déjà être sur le qui-vive comme une division de la Wehrmacht la vieille de l'opération Barbarossa