Je pars au BOIS de BOULOGNE !!

Le 10 mars 2022 à 22:38:41 :

Le 10 mars 2022 à 22:25:23 :
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
Emporté par ma fougue, je nique mon aile droite contre une barrière de travaux dans un tournant. Rien à foutre, j'ai déjà repéré mon prochain achat sur leboncoin, une Polo Tdi rouge pétant avec ailerons.

Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
Déjà excité, je remets mes grosses couilles en place et commence à discuter tarif dans un anglais impeccable :
"I fuck in your ass for 30 euro okay? It's good?"
Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

Ce pavé légendaire, je m'en remets pas

Un chef d'œuvre

Le 10 mars 2022 à 22:25:23 :
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
Emporté par ma fougue, je nique mon aile droite contre une barrière de travaux dans un tournant. Rien à foutre, j'ai déjà repéré mon prochain achat sur leboncoin, une Polo Tdi rouge pétant avec ailerons.

Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
Déjà excité, je remets mes grosses couilles en place et commence à discuter tarif dans un anglais impeccable :
"I fuck in your ass for 30 euro okay? It's good?"
Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

J'suis explosé de rire

Le 10 mars 2022 à 22:44:25 :

Le 10 mars 2022 à 22:41:05 :
je prends le bus 70 qui passe par le bois à chaque fois je croise des mecs malsains dedans qui regardent dans le bois pour trouver leur "proie" et regardent les gens du bus chelou

c'est vraiment glauque

je suis passé une fois dans ce bus, très étrange comme ambiance en effet

Bella trans tu crois qu'on l'a pas vu coquinou

Le 10 mars 2022 à 22:35:34 :
BORDEL LES KHEYS TELLEMENT DE GROS CUL JE SAIS PAS LAQUELLE CHOISIR

T'ES OU ?

Un bataillon de kheys enfonce le sud de l'allée Marguerite

Joint ton sabre aux leurs

Le 10 mars 2022 à 21:10:14 :
Les fameuses "balades" à 22H

Les balades le soir sont les meilleur en vrai tu entend rien le calme absolu par contre il a choisit le mauvais bois

Le 10 mars 2022 à 22:44:34 :

Le 10 mars 2022 à 22:38:41 :

Le 10 mars 2022 à 22:25:23 :
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
Emporté par ma fougue, je nique mon aile droite contre une barrière de travaux dans un tournant. Rien à foutre, j'ai déjà repéré mon prochain achat sur leboncoin, une Polo Tdi rouge pétant avec ailerons.

Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
Déjà excité, je remets mes grosses couilles en place et commence à discuter tarif dans un anglais impeccable :
"I fuck in your ass for 30 euro okay? It's good?"
Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

Ce pavé légendaire, je m'en remets pas

Pareil

tu vas craquer toi

not ready ta femme

Le 10 mars 2022 à 22:46:28 :

Le 10 mars 2022 à 22:44:25 :

Le 10 mars 2022 à 22:41:05 :
je prends le bus 70 qui passe par le bois à chaque fois je croise des mecs malsains dedans qui regardent dans le bois pour trouver leur "proie" et regardent les gens du bus chelou

c'est vraiment glauque

je suis passé une fois dans ce bus, très étrange comme ambiance en effet

Bella trans tu crois qu'on l'a pas vu coquinou

personne l'a connait celle la

même pas sur un forum dédié à ça

Le 10 mars 2022 à 22:48:36 :

Le 10 mars 2022 à 22:44:34 :

Le 10 mars 2022 à 22:38:41 :

Le 10 mars 2022 à 22:25:23 :
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
Emporté par ma fougue, je nique mon aile droite contre une barrière de travaux dans un tournant. Rien à foutre, j'ai déjà repéré mon prochain achat sur leboncoin, une Polo Tdi rouge pétant avec ailerons.

Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
Déjà excité, je remets mes grosses couilles en place et commence à discuter tarif dans un anglais impeccable :
"I fuck in your ass for 30 euro okay? It's good?"
Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

Ce pavé légendaire, je m'en remets pas

Pareil

tu vas craquer toi

not ready ta femme

seleccao de la naturalidad

Le 10 mars 2022 à 22:51:07 :

Le 10 mars 2022 à 22:48:36 :

Le 10 mars 2022 à 22:44:34 :

Le 10 mars 2022 à 22:38:41 :

Le 10 mars 2022 à 22:25:23 :
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
Emporté par ma fougue, je nique mon aile droite contre une barrière de travaux dans un tournant. Rien à foutre, j'ai déjà repéré mon prochain achat sur leboncoin, une Polo Tdi rouge pétant avec ailerons.

Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
Déjà excité, je remets mes grosses couilles en place et commence à discuter tarif dans un anglais impeccable :
"I fuck in your ass for 30 euro okay? It's good?"
Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

Ce pavé légendaire, je m'en remets pas

Pareil

tu vas craquer toi

not ready ta femme

seleccao de la naturalidad

• seleçao da naturalidade

révise ton portugais avant, ça pourra servir

Le 10 mars 2022 à 22:51:27 :
La police qui attend dans les bois que des naïfs comme l'auteur fassent une transaction

le bois existe depuis avant notre naissance, je pense qu'il doit y avoir une tolérance depuis le temps que les gens font leurs affaires

Le 10 mars 2022 à 22:52:07 :

Le 10 mars 2022 à 22:51:07 :

Le 10 mars 2022 à 22:48:36 :

Le 10 mars 2022 à 22:44:34 :

Le 10 mars 2022 à 22:38:41 :

Le 10 mars 2022 à 22:25:23 :
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
Emporté par ma fougue, je nique mon aile droite contre une barrière de travaux dans un tournant. Rien à foutre, j'ai déjà repéré mon prochain achat sur leboncoin, une Polo Tdi rouge pétant avec ailerons.

Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
Déjà excité, je remets mes grosses couilles en place et commence à discuter tarif dans un anglais impeccable :
"I fuck in your ass for 30 euro okay? It's good?"
Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

Ce pavé légendaire, je m'en remets pas

Pareil

tu vas craquer toi

not ready ta femme

seleccao de la naturalidad

• seleçao da naturalidade

révise ton portugais avant, ça pourra servir

Seleção Natural *

Le 10 mars 2022 à 22:53:01 :

Le 10 mars 2022 à 22:52:07 :

Le 10 mars 2022 à 22:51:07 :

Le 10 mars 2022 à 22:48:36 :

Le 10 mars 2022 à 22:44:34 :

Le 10 mars 2022 à 22:38:41 :

Le 10 mars 2022 à 22:25:23 :
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
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Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
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Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

Ce pavé légendaire, je m'en remets pas

Pareil

tu vas craquer toi

not ready ta femme

seleccao de la naturalidad

• seleçao da naturalidade

révise ton portugais avant, ça pourra servir

Seleção Natural *

je reprenais mot à mot ce qu'il disait

[22:25:23] <Gorgino2>
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
Emporté par ma fougue, je nique mon aile droite contre une barrière de travaux dans un tournant. Rien à foutre, j'ai déjà repéré mon prochain achat sur leboncoin, une Polo Tdi rouge pétant avec ailerons.

Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
Déjà excité, je remets mes grosses couilles en place et commence à discuter tarif dans un anglais impeccable :
"I fuck in your ass for 30 euro okay? It's good?"
Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

Bordel mais je CHIALE, littéralement

Le 10 mars 2022 à 22:57:39 :
des nouvelles des carabistouilles de l'op?

Il se fait defoncer le trou de balle laisse lui le temps bordel

Le 10 mars 2022 à 22:59:24 :

[22:25:23] <Gorgino2>
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
Emporté par ma fougue, je nique mon aile droite contre une barrière de travaux dans un tournant. Rien à foutre, j'ai déjà repéré mon prochain achat sur leboncoin, une Polo Tdi rouge pétant avec ailerons.

Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
Déjà excité, je remets mes grosses couilles en place et commence à discuter tarif dans un anglais impeccable :
"I fuck in your ass for 30 euro okay? It's good?"
Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

Bordel mais je CHIALE, littéralement

bordel j'en lirais 15 pages comme ça

Le 10 mars 2022 à 22:59:24 :

[22:25:23] <Gorgino2>
Moi, une fois par semaine.

Hier, 22h30, je déboule sur l'avenue. Arrivé au feu, je sirote ma 8.6 extrême puis balance ma canette par la fenêtre. A côté, une blonde grasse me jette un regard désapprobateur, auquel je réponds en lâchant un pet bien gras tout en soutenant son regard, histoire d'asseoir ma domination.

C'est à peine passé au vert que je la laisse dans un nuage de fumée, avalant le bitume comme Alonso sur les routes du Mans.
Emporté par ma fougue, je nique mon aile droite contre une barrière de travaux dans un tournant. Rien à foutre, j'ai déjà repéré mon prochain achat sur leboncoin, une Polo Tdi rouge pétant avec ailerons.

Je ralentis à l'approche de l'étalage à putes et baisse la tête par-dessus mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux apprécier la marchandise. Bordel, y a eu un nouvel arrivage de bulgares ou je rêve?? Je les vois émerger de l'obscurité par petits groupes de 2 ou 3, comme du gibier craintif. Eh ouais, les temps sont durs pour la pute urbaine.
Déjà excité, je remets mes grosses couilles en place et commence à discuter tarif dans un anglais impeccable :
"I fuck in your ass for 30 euro okay? It's good?"
Loin de se laisser démonter, la roumaine aux lèvres mal refaites refuse de baisser ses prix, je décide donc de continuer mes emplettes.
Je passe devant les nigérianes qui agitent leurs gros lolos et les brésiliennes qui fument un peu en retrait. Je fais signe à une, et pendant qu'elle est penchée à ma fenêtre pour me donner ses tarifs, j'essaye d'ignorer sa dentition foireuse en lui palpant le cul. Elle glousse et ne me retire la main que quand mon majeur approche de son trou de balle.
Je lui fais signe de monter et j'allume la lumière du plafonnier pour faire un état des lieux : un 95D industriel qui tient tout seul, des cuissots bien larges et une bouche qui pourrait aspirer une boule de pétanque à travers un tuyau d'arrosage.
C'est validé.
Et de son côté aussi apparemment, si j'en crois la bosse qui se dessine sous sa mini-jupe en simili-cuir de prolo.

Je me gare un peu plus loin, dans un renfoncement aux abords de la forêt. A peine les billets en poche qu'elle sort le sauciflard de son emballage et se met au boulot. C'est divin, je me laisse aller et repasse dans ma tête la compilation des meilleurs buts de Pauleta, ma technique pour pas envoyer la béchamel trop vite. Que demander de plus?

J'abaisse mon siège en position allongée et replie les cuisses. Grâce à son expérience de pute au rabais, elle comprend instinctivement ce que ça implique et s'applique à me nettoyer le trou de balle avec sa langue, tout en continuant à me branler d'une main experte.
Poussé par l'extase, je me sens soudainement citoyen du monde et lui lâche des "qué bom", comme la tentative d'ériger une passerelle interculturelle, pendant que Madame s'étouffe avec les poils frisés du pourtour de mon trou du cul. Je me permets même de lui lâcher un petit pet sec en plein dans les narines pour exprimer ma satisfaction.

Beau boulot Isabella.

Je ne tarde pas à lui balancer des filets de foutre épais dans sa perruque blond platine en hurlant comme un cochon de laie qui se fait castrer. Une fois les bourses vides, je la remercie et ne manque pas de la déposer sur son coin de trottoir : je me sens d'humeur galante.

L'esprit désormais clair, je vérifie ma coupe dans le rétro avant d'ouvrir une nouvelle canette.
Mes enceintes crachent les sonorités jazz de Radio Nova car oui, j'ai des goûts musicaux raffinés. L'amour du Beau s'exprime de bien des façons, parfois même des plus étranges.

Sur ces réflexions philosophiques, j'embraye et repars en trombe dans la nuit, tel un cow-boy solitaire.

J'ai troqué le pur-sang pour une Seat Ibiza 2005 et le blue jeans pour un survêtement du PSG.

Qui suis-je? Je suis le prototype du nouvel esthète, un animal moderne.

Bordel mais je CHIALE, littéralement

du génie ce pavé, rien à redire