Quand le Z a bougé ses mains face a PÉCRESSE ...
Le 12 mars 2022 à 14:30:32 :
Avouez on a tous pensez à Marine au second tour et qu'on a vu Macron déjà réélu après ça ?
oui mais fianlement il l'a détruite
Le 12 mars 2022 à 14:32:02 :
persoent je voulais voter pour le Z mais finalement j'ai bien réfléchis et je pense que c'est Mélenchon le meilleur choix pour la France
Pour l'Afrance oui mais pas la France
Le 12 mars 2022 à 14:31:09 :
Perso j'ai changé d'avis il aura pas mon vote et pas que pour ça
Sans troll ?
Y a quelques temps on le voyait déjà au second tour. Faisant un débat entre tour mythique face a Macron. Mais la bien beau qu'il arrive au second tour . Surtout si ensuite il nous fait un fiasco pareil
Perso c'était marrant
Il a mon vote en dépit de la stupidité des GOLEMS qui ont détruit notre beau pays
Vous allez bientôt PAYER LE PRIX les Golemix
Le 12 mars 2022 à 14:32:02 :
persoent je voulais voter pour le Z mais finalement j'ai bien réfléchis et je pense que c'est Mélenchon le meilleur choix pour la France
Les racines de ce concept sont multiples.
C'est dans l'Iran des années 1970 que prend forme un front commun entre un courant de la gauche et l'islam révolutionnaire pour faire face à la dictature de Mohammad Reza Pahlavi. Cette « gauche islamique » est notamment représentée par Massoud Radjavi et le philosophe Ali Shariati, lequel critique certains aspects de la pratique religieuse en Iran, estimant que l'islam contient par nature une dynamique contre la tyrannie et en faveur de la liberté, l’égalité et l’émancipation des femmes et des hommes. Cette théorie a significativement contribué à la révolution iranienne de 1978-1979, conduisant le régime islamique qui en est issu à promettre la nationalisation des industries et de donner la priorité à la justice sociale tout en réprimant les organisations proches de ce courant6.
Une de ses origines se trouve au Royaume-Uni ou l'idée selon laquelle l'Islam pourrait contribuer à faire émerger un mouvement révolutionnaire est développée au sein de l'extrême-gauche7,8.
En France, le terme « islamo-gauchiste » apparaît pour la première fois sous la plume du sociologue Pierre-André Taguieff en 20027 dans l'ouvrage La Nouvelle Judéophobie. Il y définit cette expression comme un militantisme d'extrême gauche qui, au nom de la « lutte contre l'impérialisme » fait alliance avec les islamistes favorables au nationalisme palestinien7. Pour lui, ce rapprochement vient de ce que ces militants d'extrême gauche perçoivent les musulmans comme une minorité opprimée de manière systémique par les non-musulmans, et ce à l'échelle mondiale5,7[source insuffisante]. Il attribue à Chris Harman7, dirigeant trotskiste du Parti socialiste des travailleurs au Royaume-Uni, la paternité de ce qu'il considère être un rapprochement entre les ambitions révolutionnaires marxistes et l'Islam9. Le terme n'est pas utilisé tel que par ce dernier.
Confronté à l'assimilation de l'islam à une force de lutte pour les dominés, voire à une force progressiste, dans les cercles intellectuels de gauche10, Chris Harman, dans son article « Le prophète et le prolétariat »11, analyse la perception par la gauche du renouveau islamique. Il commence par soutenir l'idée que « la gauche a commis une erreur en considérant les mouvements islamistes soit comme automatiquement réactionnaires et « fascistes », soit comme automatiquement « anti-impérialistes » et « progressistes » », ce qui a contribué à aider les islamistes à croître aux dépens de la gauche dans la majorité du Moyen-Orient9,11,[source insuffisante].
Chris Harman distingue cette erreur à l'international de la compréhension qu'il propose de l'islamisme tel qu'il se développe dans les pays occidentaux. Celui-ci est pour lui « le produit d’une crise sociale profonde » et appelle la gauche à se battre pour gagner certains de ses jeunes partisans à une autre perspective très différente, « socialiste, indépendante et révolutionnaire »12. Ainsi, il n'exclut pas l'unité d'action avec les islamistes dans les pays où ils sont dominés :
« Sur certaines questions nous serons du même côté que les islamistes contre l’impérialisme et contre l’État. C’était le cas, par exemple, dans un grand nombre de pays lors de la seconde guerre du Golfe. Ce devrait être le cas dans des pays comme la France ou la Grande-Bretagne lorsqu’il s’agit de combattre le racisme. Là où les islamistes sont dans l’opposition, notre règle de conduite doit être : « avec les islamistes parfois, avec l’État jamais »11. »
Pierre-André Taguieff déplore depuis son usage « à toutes les sauces »13.
Usage du terme dans la vie politique française
Le terme est utilisé en France par certains universitaires ou responsables politiques pour dénoncer la proximité et le laxisme supposés de certains hommes politiques français de gauche envers l'islam, par ailleurs confondu ou assimilé à l’islamisme dans ses formes radicales14,15.
Utilisé dans des cercles extrême-droitiers, ce terme a connu une exposition médiatique forte après son utilisation fin 2020 par le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, repris également par la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal16.
Développement
Le terme connaît son premier grand essor en 2003, lorsque des personnalités en faveur de l'adoption de la loi sur les signes religieux dans les écoles publiques françaises l'utilisent régulièrement pour qualifier leurs opposants, qu'ils considéraient, selon Laurent Lévy, comme des gauchistes, « idiots utiles » de l'islamisme17. Des personnalités comme Alain Gresh, Edwy Plenel, Michel Tubiana, et Raphaël Liogier sont régulièrement l'objet de critiques comme « islamo-gauchistes »18.
Jean-Yves Pranchère, un professeur de théorie politique à l’université libre de Bruxelles, le définit comme des « alliances stratégiques entre des militants anti-impérialistes et des islamistes » (définition historique explicitée plus haut). Pour lui, dans les années 2000 le terme ne se diffuse pas hors des milieux universitaires ; puis dans la deuxième moitié des années 2010, le terme est utilisé en contexte politique et notamment par l'extrême-droite dans un sens nouveau et polémique - comme une insulte. Le terme prend un sens plus étendu, qui désigne « toute personne de gauche dont on estime qu'elle est trop indulgente avec l'islamisme radical et pas assez lucide ». Ce concept sert aussi de déni et de dissimulation de l'antisémitisme (la galaxie antisémite rouge-brune non gauchiste autour de Soral et Dieudonné « est en porosité complète avec l'extrême-droite ») jusqu'à devenir « instrument de disqualification des gens qui défendent les droits de l'homme »19.
Pour le sociologue Jean-Pierre Le Goff, ce sont « les réactions aux meurtres et aux attentats [islamiques] qui ont fait apparaître au grand jour l'existence d'un « islamo-gauchisme » »20 et contribué à populariser cette locution dans les médias et le débat public.
Selon l'islamologue Gilles Kepel, « la nébuleuse islamo-gauchiste va aujourd'hui jusqu'aux Indigènes de la République et a touché certains partis comme La France insoumise »21. En 2013, le philosophe Michel Onfray écrit qu'il ne communie pas « dans l'islamo-gauchisme d'un Nouveau Parti anticapitaliste dont le héraut intellectuel est Tariq Ramadan »22. Il critique également Jean-Luc Mélenchon : « Il y a une époque, il était plutôt Jaurès et Général de Gaulle, maintenant il est islamo-gauchiste23. ».
Lors de l'entre-deux-tours des primaires de la gauche pour l'élection présidentielle de 2017, Malek Boutih déclare : « Benoît Hamon est en résonance avec une frange islamo-gauchiste24 », citant notamment dans son entourage son porte-parole Pascal Cherki pour son soutien à des rencontres non-mixtes.
Le 6 octobre 2017, les journalistes Judith Waintraub et Vincent Nouzille dénoncent, dans une enquête sur « les agents d’influence de l’islam » publiée par Le Figaro Magazine, les relais « intellectuels, responsables politiques ou acteurs associatifs » de l'islamo-gauchisme qui selon les auteurs « investissent l'espace médiatique ». Sous des formes différentes et à des degrés divers, ils classent notamment dans cette catégorie les sociologues Edgar Morin, Geoffroy de Lagasnerie et Raphaël Liogier, l'islamologue Tariq Ramadan, l'historien Jean Baubérot, le démographe Emmanuel Todd, le géopolitologue Pascal Boniface, les journalistes Alain Gresh et Edwy Plenel, les personnalités politiques Benoît Hamon, Jean-Louis Bianco, Danièle Obono, Clémentine Autain et Caroline De Haas ou encore les personnalités associatives Marwan Muhammad, Sihame Assbague, Houria Bouteldja et Rokhaya Diallo25.
Selon le sociologue Fabrice Dhume-Sonzogni, avant l'intervention de Jean-Michel Blanquer en octobre 2020, Le Figaro s'octroyait environ 50 % des utilisations de l'expression depuis 2003-2004 ; « Un groupe d’une quinzaine de personnes est responsable de l’essentiel de la circulation de ce mot »12. Tandis que pour David Chavalarias, directeur de recherche au CNRS, « les comptes qui se sont le plus impliqués [sur le réseau Twitter] dans la promotion d’« islamo-gauchisme » depuis 2016 sont tous idéologiquement d’extrême droite2. ».
À partir de 2020, sous la présidence d'Emmanuel Macron, une partie du gouvernement utilise ce terme, notamment Gérald Darmanin26, Jean-Michel Blanquer27 ou Frédérique Vidal28. Après l'assassinat de Samuel Paty, Jean-Michel Blanquer affirme que « l’islamo-gauchisme fait des ravages à l’université », soutenant qu'il existe « des courants islamo-gauchistes très puissants dans les secteurs de l’enseignement supérieur qui commettent des dégâts sur les esprits ». Dans une tribune du Monde, une centaine d'universitaires (professeurs et professeurs émérites des universités, directeurs d'études et de recherche) dénoncent « les frilosités de nombre de leurs pairs sur l’islamisme » et les « idéologies indigénistes, racialistes et décoloniales » et soutiennent les propos du ministre de l'Éducation29,30. En réponse, une tribune signée par « 2000 universitaires, chercheuses et chercheurs » dénonce le soutien envers les propos de Jean-Michel Blanquer « désolant » et s'insurge contre ce qu'elle considère comme un « appel à la police de la pensée dans les universités »31,30.
D'après une analyse fondée sur les données de l'outil de recherche Politoscope32 de l'Institut des systèmes complexes de Paris, « les ministres du gouvernement ont réussi à faire en quatre mois ce que l’extrême-droite a peiné à faire en plus de quatre années: depuis octobre [2019], le nombre de tweets de « la mer » mentionnant « islamo-gauchisme » est supérieur au nombre total de mentions entre 2016 et octobre 2020 », le terme de mer désignant ici un agrégat de comptes Twitter « qui ne sont pas suffisamment politisés pour être associés à un courant politique particulier mais qui échangent néanmoins des tweets politiques » : ils reflètent l'état des débats du moment, et constituent un viviers de recrues potentielles pour les partis politiques2.
Le 12 mars 2022 à 14:33:17 :
Le 12 mars 2022 à 14:32:02 :
persoent je voulais voter pour le Z mais finalement j'ai bien réfléchis et je pense que c'est Mélenchon le meilleur choix pour la FranceMélenchon s'est fait détruire par Zemmour
Alexis Corbière Ce gros Golems a détruit Mélenchon
Humiliation sur Humiliation
Le 12 mars 2022 à 14:33:35 :
Perso je pensais voter Zemmour et finalement je vais voter Éric Zemmour.
c'est beau
Le 12 mars 2022 à 14:31:48 :
Le 12 mars 2022 à 14:30:32 :
Avouez on a tous pensez à Marine au second tour et qu'on a vu Macron déjà réélu après ça ?oui mais fianlement il l'a détruite
J'ai pas vu franchement. Elle arrêtez pas d'enchaîner les promesses qu'elle ne fera jamais et reecrivant l'histoire et lui pénait à en placer une en rabbachant : " oh mais arrêtez de me couper "
Données du topic
- Auteur
- GrandMendes
- Date de création
- 12 mars 2022 à 14:30:32
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