Je suis en train de creuser le sujet mais n'étant pas un grand calé en philosophie je fais appel à des kheys qui s'y connaissent sûrement mieux que moi.
Absurdisme c'est selon Camus: Chercher un but dans la vie naturellement en tant qu'humain puis se confronter à un mur de la réalité dans un premier temps et comprendre que rien n'a vraiment de sens et l'existence est absurde, ce qui crée un paradoxe dans notre cerveau. Il suggère trois voies pour en sortir entre le suicide, dieu et l'acceptation.
Nihilisme (passif) c'est plus ou moins la même chose si j'ai bien compris à l'exception qu'ils restent au stade pré-solution, soit être perdu et ne plus croire en rien, que ça ne sert à rien de creuser.
Par contre les actifs (toujours théorisé par Nietzsche) sont très similaires aux absurdistes. Mais si j'ai bien compris ils détruisent plutôt les valeurs actuelles afin de reconstruire quelque chose qui marcherait mieux (là où j'ai un doute), créer des valeurs subjectives.
Là où l'absurdiste qui accepte prendre son propre chemin et tentera de vivre comme il l'entend tout en ayant conscience que tout ce qu'il construira n'aura probablement aucun sens non plus dans sa vie et après sa mort.
J'arrive à peine à déceler la nuance entre le nihiliste actif et l'absurdiste.
Maintenant on arrive au cas du Joker (Arthur Fleck), il correspondrait plus à quoi ?
On sait qu'il choisit d'avoir ses propres valeurs à la fin (notamment sur l'humour), qu'il ne croit plus en rien, que rien n'a de sens mais pourtant il détruit (malgré lui parfois). est-ce qu'il croit pouvoir changer quelque chose (en meilleur ?) comme cette définition potentielle de nihiliste actif ou bien il pense que peu importe ce qu'il construit pour le futur n'aura de toute manière pas de sens et autant en être heureux, ce qu'il semble devenir à la fin ?
Je suis ouvert à toute discussion notamment sur la partie différence entre les deux.
Excusez-vous pour le bouillis sur la dernière partie je suis épuisé mentalement, si besoin de reformuler je ferai