La politique de la peur

La peur est une émotion qui empêche les gens de réfléchir, de raisonner et de
prendre du recul. Lorsque nous sommes confrontés à une situation à la fois terrifiante et impensable, le système limbique, aussi appelé cerveau émotionnel, est stimulé. Et en particulier l’hypothalamus et l’amygdale, qui sont programmés pour faire tout ce qui pourra assurer notre survie, ce qui peut parfois inclure de ne rien faire. Lorsqu’on subit cette effraction psychique,
l’accès au cortex préfrontal, qui est responsable des fonctions cognitives supérieures impliquées dans la raison, la logique et la pensée consciente, est bloqué et le circuit émotionnel disjoncte pour échapper au risque vital créé par le survoltage émotionnel. Nous entrons alors dans un état de sidération psychique, une incapacité de penser, de gérer l’émotion et d’agir de manière
rationnelle, ce qui laisse le champ libre à la manipulation et au lavage de cerveau.

Les médias nous maintiennent dans un état de stress permanent, qui mène à
l’épuisement émotionnel. Les symptômes recherchés sont le découragement, un sentiment permanent de tension, la perte de confiance en soi, une fatigue constante, l’isolement social, une perte de plaisir et de désir, la diminution des capacités de concentration et de mémorisation… « Il y aura une nouvelle vague dans la région européenne, sauf si nous restons disciplinés. » Hans Kluge, directeur de l'OMS Europe, le 2 juillet 2021.
D’abord, on nous a dit d’aller se faire vacciner pour se protéger. Puis pour protéger lesautres, en nous faisant culpabiliser si on ne le faisait pas. Puis pour retrouver nos libertés, en nous faisant du chantage. Maintenant c’est pour éviter de vivre dans le stress de la répression. « Vacciné, on se contamine beaucoup moins, on transmet beaucoup moins, et on ne vit plusdans le stress. »
- Olivier Véran, le 4 juillet 2021.

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