Topic de Cas-Mille :

Les gaucho attendent quoi pour fonder leur utopie ?

Le 18 février 2022 à 01:06:18 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:01:52 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:54:19 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:44:55 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:41:21 PatrickDan a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:38:03 :

Le 18 février 2022 à 00:36:22 PatrickDan a écrit :
Même sans fonder de colonie tous les gauchos deter qui ont pris le pouvoir, partout dans le monde, ont viré en dictature totalitaire, et avec des réalisations concrètes comme par exemple en URSS sur le long terme se sont révélés inefficients, corrompus, en plus de causer de graves crimes contre leurs citoyens. Je vois pas un seul exemple de réussite, mais peut être que.

Les gauchos non deter, au mieux ça fait des quartiers pseudo anarchistes dans certaines capitales, par bienveillance des bourgeoisies locales, ou des ZAD / communautés marginales, incapables de subvenir à l'existence d'états modernes.

Parles pour toi, ta dystopie d'économie de marché propage tout les travers que tu dénonces et on est en plein dedans.

L'économie de marché a certainement de grands défauts, mais un grand avantage qui est une bien plus grande liberté.
Après le réel parle de lui même, les gens fuient les utopies communistes quelles qu'elles soient, qui dérivent systématiquement en dictatures violentes, l'inverse est extrêmement rare.

C'est seulement les marxistes-leniniste ça qui ont une tendance autoritaire et paranoïaque à cause de leur ontologie déficiente.

La liberté dans l'économie de marché est pas réelle, l'économie de marché est possible seulement avec un état qui l'impose par la force :non:

Commences par faire ta propre introspection pour savoir de quoi tu parles avant d'écrire sans savoir.

Pourquoi tu te fâches ? C'est pas comme si t'avais pas le drapeau d'une dictature en pp :hap:

Parceque tu tiens un discours libéral.

T'as pas compris le principe philosophique qui oppose le collectif de l'individuel.
Les libéraux tiennent exactement ce discours car selon leur idéologie, les décisions collectivent mènent à la tyrannie de la majorité.
à l'inverse, ce qui est dénoncé par les communistes, c'est que les libéraux imposent une tyrannie de la minorité.

J'espère au moins que ça te fera réfléchir sur le sens de tes propos. :nah:

Les libéraux veulent un minimum d'état, sans régulation, parce qu'ils savent que pour que l'économie de marché fonctionne il faut une force qui garantisse la propriété privé, qui garantisse la valeur d'une monnaie, qui garantisse la dette etc. Sans l'état ces choses sont impossible. Il faut comprendre que ce sont des fictions contingentes à l'ordre politique, la monnaie par exemple c'est un bout de papier ce n'est pas une richesse réelle.

Puis je ne m'oppose pas au collectif au contraire. Je suis un socialiste, je mécrois en l'individualisme, je crois en l'entraide, en la discipline, au travail commun, à l'abnégation pour le collectif. Mais le plus haut degré de socialisme ne peut en aucun cas être atteint par la contrainte, il est atteint quand il est réalisé par une foi commune, une foi en acier qui rattache chaque individu comme un seul corps.

Le 18 février 2022 à 01:02:44 PatrickDan a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:54:19 :

Le 18 février 2022 à 00:41:21 PatrickDan a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:38:03 :

Le 18 février 2022 à 00:36:22 PatrickDan a écrit :
Même sans fonder de colonie tous les gauchos deter qui ont pris le pouvoir, partout dans le monde, ont viré en dictature totalitaire, et avec des réalisations concrètes comme par exemple en URSS sur le long terme se sont révélés inefficients, corrompus, en plus de causer de graves crimes contre leurs citoyens. Je vois pas un seul exemple de réussite, mais peut être que.

Les gauchos non deter, au mieux ça fait des quartiers pseudo anarchistes dans certaines capitales, par bienveillance des bourgeoisies locales, ou des ZAD / communautés marginales, incapables de subvenir à l'existence d'états modernes.

Parles pour toi, ta dystopie d'économie de marché propage tout les travers que tu dénonces et on est en plein dedans.

L'économie de marché a certainement de grands défauts, mais un grand avantage qui est une bien plus grande liberté.
Après le réel parle de lui même, les gens fuient les utopies communistes quelles qu'elles soient, qui dérivent systématiquement en dictatures violentes, l'inverse est extrêmement rare.

Il n'y a pas de liberté dans l'économie de marché, d'un coté un chaos qu'on impose de force, de l'autre un univers carcéral pour les plus pauvres qui sont privé de tout et réduit à l'esclavage pour ne pas finir sdf.
Le tout au détriment de l'environnement, du bien-être global, de la sur-exploitation des ressources et j'en passe...

On pourrait débattre longuement de la liberté et de tout ça et je suis même à priori d'accord, simplement j'ai eu de la famille en union soviétique, j'ai visité l'urss et d'autres républiques socialistes, et si vous croyez que c'est équivalent à nos systèmes à l'ouest ... bah non vous déconnez plein tube, l'oppression était réelle et la misère également, et oui il y'a quand même des degrés de liberté, au moins ressentie, mais à un moment ça dépasse la philosophie et ça devient très concret.
La vie privée, que ça soit au niveau du foyer ou de ses activités, ça reste assez fondamental même si petit bourgeois.

Parcequ'on y arrive dans ce que tu dénonces.

On a vécu une période unique dans l'histoire ou la mise sur le marché des ressources était très supérieur aux besoins des élites.
Sauf qu'on a passé un point de bascule ou la disponibilité de ces ressources se rétractent et que cette petite caste au sommet des puissants est complétement aveuglé par son hubris.

Nous sommes à un mauvais tournant et ça s'annonce pire que tout ce que l'on peut imaginer et ce que l'on a vu jusqu'à maintenant... Même le H c'était bon enfant par rapport à ce qui arrive.

https://www.marianne.net/societe/police-et-justice/socialement-ils-veulent-me-deglinguer-le-gilet-jaune-jerome-rodrigues-vide-son-sac

Le 18 février 2022 à 01:14:51 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:06:18 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:01:52 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:54:19 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:44:55 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:41:21 PatrickDan a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:38:03 :

Le 18 février 2022 à 00:36:22 PatrickDan a écrit :
Même sans fonder de colonie tous les gauchos deter qui ont pris le pouvoir, partout dans le monde, ont viré en dictature totalitaire, et avec des réalisations concrètes comme par exemple en URSS sur le long terme se sont révélés inefficients, corrompus, en plus de causer de graves crimes contre leurs citoyens. Je vois pas un seul exemple de réussite, mais peut être que.

Les gauchos non deter, au mieux ça fait des quartiers pseudo anarchistes dans certaines capitales, par bienveillance des bourgeoisies locales, ou des ZAD / communautés marginales, incapables de subvenir à l'existence d'états modernes.

Parles pour toi, ta dystopie d'économie de marché propage tout les travers que tu dénonces et on est en plein dedans.

L'économie de marché a certainement de grands défauts, mais un grand avantage qui est une bien plus grande liberté.
Après le réel parle de lui même, les gens fuient les utopies communistes quelles qu'elles soient, qui dérivent systématiquement en dictatures violentes, l'inverse est extrêmement rare.

C'est seulement les marxistes-leniniste ça qui ont une tendance autoritaire et paranoïaque à cause de leur ontologie déficiente.

La liberté dans l'économie de marché est pas réelle, l'économie de marché est possible seulement avec un état qui l'impose par la force :non:

Commences par faire ta propre introspection pour savoir de quoi tu parles avant d'écrire sans savoir.

Pourquoi tu te fâches ? C'est pas comme si t'avais pas le drapeau d'une dictature en pp :hap:

Parceque tu tiens un discours libéral.

T'as pas compris le principe philosophique qui oppose le collectif de l'individuel.
Les libéraux tiennent exactement ce discours car selon leur idéologie, les décisions collectivent mènent à la tyrannie de la majorité.
à l'inverse, ce qui est dénoncé par les communistes, c'est que les libéraux imposent une tyrannie de la minorité.

J'espère au moins que ça te fera réfléchir sur le sens de tes propos. :nah:

Les libéraux veulent un minimum d'état, sans régulation, parce qu'ils savent que pour que l'économie de marché fonctionne il faut une force qui garantisse la propriété privé, qui garantisse la valeur d'une monnaie, qui garantisse la dette etc. Sans l'état ces choses sont impossible. Il faut comprendre que ce sont des fictions contingentes à l'ordre politique, la monnaie par exemple c'est un bout de papier ce n'est pas une richesse réelle.

Dans beaucoup de ces points, il n'y a plus besoin d'état.

Puis je ne m'oppose pas au collectif au contraire. Je suis un socialiste, je mécrois en l'individualisme, je crois en l'entraide, en la discipline, au travail commun, à l'abnégation pour le collectif. Mais le plus haut degré de socialisme ne peut en aucun cas être atteint par la contrainte, il est atteint quand il est réalisé par une foi commune, une foi en acier qui rattache chaque individu comme un seul corps.

C'est complètement vide ce que tu dis, le collectif impose forcément une contrainte collective, et vice versa pour l'individualisme, si la liberté est un droit alors elle impose un devoir.
La contrainte collective est connu depuis au moins les philosophes grecques, tu n'y échapperas jamais et sa dureté est proportionnel à la densité de citoyen environnant.
Si t'es seul en forêt, tu peux jouer de la batterie sans emmerder le monde, si t'habite un immeuble en ville ça va forcément emmerdé un voisin qui demande de la quiétude.

Le 18 février 2022 à 01:23:20 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:14:51 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:06:18 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:01:52 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:54:19 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:44:55 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:41:21 PatrickDan a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:38:03 :

Le 18 février 2022 à 00:36:22 PatrickDan a écrit :
Même sans fonder de colonie tous les gauchos deter qui ont pris le pouvoir, partout dans le monde, ont viré en dictature totalitaire, et avec des réalisations concrètes comme par exemple en URSS sur le long terme se sont révélés inefficients, corrompus, en plus de causer de graves crimes contre leurs citoyens. Je vois pas un seul exemple de réussite, mais peut être que.

Les gauchos non deter, au mieux ça fait des quartiers pseudo anarchistes dans certaines capitales, par bienveillance des bourgeoisies locales, ou des ZAD / communautés marginales, incapables de subvenir à l'existence d'états modernes.

Parles pour toi, ta dystopie d'économie de marché propage tout les travers que tu dénonces et on est en plein dedans.

L'économie de marché a certainement de grands défauts, mais un grand avantage qui est une bien plus grande liberté.
Après le réel parle de lui même, les gens fuient les utopies communistes quelles qu'elles soient, qui dérivent systématiquement en dictatures violentes, l'inverse est extrêmement rare.

C'est seulement les marxistes-leniniste ça qui ont une tendance autoritaire et paranoïaque à cause de leur ontologie déficiente.

La liberté dans l'économie de marché est pas réelle, l'économie de marché est possible seulement avec un état qui l'impose par la force :non:

Commences par faire ta propre introspection pour savoir de quoi tu parles avant d'écrire sans savoir.

Pourquoi tu te fâches ? C'est pas comme si t'avais pas le drapeau d'une dictature en pp :hap:

Parceque tu tiens un discours libéral.

T'as pas compris le principe philosophique qui oppose le collectif de l'individuel.
Les libéraux tiennent exactement ce discours car selon leur idéologie, les décisions collectivent mènent à la tyrannie de la majorité.
à l'inverse, ce qui est dénoncé par les communistes, c'est que les libéraux imposent une tyrannie de la minorité.

J'espère au moins que ça te fera réfléchir sur le sens de tes propos. :nah:

Les libéraux veulent un minimum d'état, sans régulation, parce qu'ils savent que pour que l'économie de marché fonctionne il faut une force qui garantisse la propriété privé, qui garantisse la valeur d'une monnaie, qui garantisse la dette etc. Sans l'état ces choses sont impossible. Il faut comprendre que ce sont des fictions contingentes à l'ordre politique, la monnaie par exemple c'est un bout de papier ce n'est pas une richesse réelle.

Dans beaucoup de ces points, il n'y a plus besoin d'état.

Je veux bien t'entendre m'expliquer comment pourrait fonctionner une société capitaliste sans état :hap:

Puis je ne m'oppose pas au collectif au contraire. Je suis un socialiste, je mécrois en l'individualisme, je crois en l'entraide, en la discipline, au travail commun, à l'abnégation pour le collectif. Mais le plus haut degré de socialisme ne peut en aucun cas être atteint par la contrainte, il est atteint quand il est réalisé par une foi commune, une foi en acier qui rattache chaque individu comme un seul corps.

C'est complètement vide ce que tu dis, le collectif impose forcément une contrainte collective, et vice versa pour l'individualisme, si la liberté est un droit alors elle impose un devoir.
La contrainte collective est connu depuis au moins les philosophes grecques, tu n'y échapperas jamais et sa dureté est proportionnel à la densité de citoyen environnant.
Si t'es seul en forêt, tu peux jouer de la batterie sans emmerder le monde, si t'habite un immeuble en ville ça va forcément emmerdé un voisin qui demande de la quiétude.

Mais bien sûr qu'il y a des devoirs, où ai-je dit le contraire ? Il doit y avoir des règles, et elles peuvent être arbitrairement exigeante. Et une société forte a besoin de règles exigeantes. Mais ces règles on s'y engage volontaire, ou on peut aller voir ailleurs: ce ne sont pas des lois qu'une institution impose. C'est comme un monastère: les moines sont libre de partir, mais s'ils restent dans le communauté ils s'engagent à une certaine ascèse.

Le 18 février 2022 à 01:30:19 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:23:20 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:14:51 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:06:18 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:01:52 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:54:19 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:44:55 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:41:21 PatrickDan a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:38:03 :

Le 18 février 2022 à 00:36:22 PatrickDan a écrit :
Même sans fonder de colonie tous les gauchos deter qui ont pris le pouvoir, partout dans le monde, ont viré en dictature totalitaire, et avec des réalisations concrètes comme par exemple en URSS sur le long terme se sont révélés inefficients, corrompus, en plus de causer de graves crimes contre leurs citoyens. Je vois pas un seul exemple de réussite, mais peut être que.

Les gauchos non deter, au mieux ça fait des quartiers pseudo anarchistes dans certaines capitales, par bienveillance des bourgeoisies locales, ou des ZAD / communautés marginales, incapables de subvenir à l'existence d'états modernes.

Parles pour toi, ta dystopie d'économie de marché propage tout les travers que tu dénonces et on est en plein dedans.

L'économie de marché a certainement de grands défauts, mais un grand avantage qui est une bien plus grande liberté.
Après le réel parle de lui même, les gens fuient les utopies communistes quelles qu'elles soient, qui dérivent systématiquement en dictatures violentes, l'inverse est extrêmement rare.

C'est seulement les marxistes-leniniste ça qui ont une tendance autoritaire et paranoïaque à cause de leur ontologie déficiente.

La liberté dans l'économie de marché est pas réelle, l'économie de marché est possible seulement avec un état qui l'impose par la force :non:

Commences par faire ta propre introspection pour savoir de quoi tu parles avant d'écrire sans savoir.

Pourquoi tu te fâches ? C'est pas comme si t'avais pas le drapeau d'une dictature en pp :hap:

Parceque tu tiens un discours libéral.

T'as pas compris le principe philosophique qui oppose le collectif de l'individuel.
Les libéraux tiennent exactement ce discours car selon leur idéologie, les décisions collectivent mènent à la tyrannie de la majorité.
à l'inverse, ce qui est dénoncé par les communistes, c'est que les libéraux imposent une tyrannie de la minorité.

J'espère au moins que ça te fera réfléchir sur le sens de tes propos. :nah:

Les libéraux veulent un minimum d'état, sans régulation, parce qu'ils savent que pour que l'économie de marché fonctionne il faut une force qui garantisse la propriété privé, qui garantisse la valeur d'une monnaie, qui garantisse la dette etc. Sans l'état ces choses sont impossible. Il faut comprendre que ce sont des fictions contingentes à l'ordre politique, la monnaie par exemple c'est un bout de papier ce n'est pas une richesse réelle.

Dans beaucoup de ces points, il n'y a plus besoin d'état.

Je veux bien t'entendre m'expliquer comment pourrait fonctionner une société capitaliste sans état :hap:

https://www.imdb.com/title/tt0079501/

C'est caricaturale, mais dans l'idée c'est ça.
Le capitalisme n'a pas besoin d'état, mais les libéraux préfèrent différents degrés d'état pour corriger les irrégularités du marché et éviter que ça vire en mad max.

Puis je ne m'oppose pas au collectif au contraire. Je suis un socialiste, je mécrois en l'individualisme, je crois en l'entraide, en la discipline, au travail commun, à l'abnégation pour le collectif. Mais le plus haut degré de socialisme ne peut en aucun cas être atteint par la contrainte, il est atteint quand il est réalisé par une foi commune, une foi en acier qui rattache chaque individu comme un seul corps.

C'est complètement vide ce que tu dis, le collectif impose forcément une contrainte collective, et vice versa pour l'individualisme, si la liberté est un droit alors elle impose un devoir.
La contrainte collective est connu depuis au moins les philosophes grecques, tu n'y échapperas jamais et sa dureté est proportionnel à la densité de citoyen environnant.
Si t'es seul en forêt, tu peux jouer de la batterie sans emmerder le monde, si t'habite un immeuble en ville ça va forcément emmerdé un voisin qui demande de la quiétude.

Mais bien sûr qu'il y a des devoirs, où ai-je dit le contraire ? Il doit y avoir des règles, et elles peuvent être arbitrairement exigeante. Et une société forte a besoin de règles exigeantes. Mais ces règles on s'y engage volontaire, ou on peut aller voir ailleurs: ce ne sont pas des lois qu'une institution impose. C'est comme un monastère: les moines sont libre de partir, mais s'ils restent dans le communauté ils s'engagent à une certaine ascèse.

Non mais là, tu t'enfonces... Les services publiques, les hôpitaux, les trains, les routes, les écoles, c'est pas chacun fait ce qu'il veut selon sa communauté,
Il y a des règles communes qui s'imposent, tout comme les lois de la physiques s'imposent de partout où que tu sois.
Sans compter que croire ne serait-ce qu'une seule seconde qu'on fait une société comme ça, tu ré-inventes juste le tribalisme à ta sauce bisounours, tout les communautés s’aiment et se côtoient, les licornes volent dans le ciel etc.
T'aura jamais de collectif sans cohésion sociale, c'est un point fondateur.
Et c'est pour cette raison que les capitalistes imposent souvent les idées les plus ségrégationnistes à gauche (immigration, religieux, intersectionnalité etc.), au moins ils sont sûr de ne jamais avoir à faire face à une coagulation des luttes.

Le 18 février 2022 à 01:43:47 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:30:19 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:23:20 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:14:51 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:06:18 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:01:52 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:54:19 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:44:55 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:41:21 PatrickDan a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:38:03 :

Le 18 février 2022 à 00:36:22 PatrickDan a écrit :
Même sans fonder de colonie tous les gauchos deter qui ont pris le pouvoir, partout dans le monde, ont viré en dictature totalitaire, et avec des réalisations concrètes comme par exemple en URSS sur le long terme se sont révélés inefficients, corrompus, en plus de causer de graves crimes contre leurs citoyens. Je vois pas un seul exemple de réussite, mais peut être que.

Les gauchos non deter, au mieux ça fait des quartiers pseudo anarchistes dans certaines capitales, par bienveillance des bourgeoisies locales, ou des ZAD / communautés marginales, incapables de subvenir à l'existence d'états modernes.

Parles pour toi, ta dystopie d'économie de marché propage tout les travers que tu dénonces et on est en plein dedans.

L'économie de marché a certainement de grands défauts, mais un grand avantage qui est une bien plus grande liberté.
Après le réel parle de lui même, les gens fuient les utopies communistes quelles qu'elles soient, qui dérivent systématiquement en dictatures violentes, l'inverse est extrêmement rare.

C'est seulement les marxistes-leniniste ça qui ont une tendance autoritaire et paranoïaque à cause de leur ontologie déficiente.

La liberté dans l'économie de marché est pas réelle, l'économie de marché est possible seulement avec un état qui l'impose par la force :non:

Commences par faire ta propre introspection pour savoir de quoi tu parles avant d'écrire sans savoir.

Pourquoi tu te fâches ? C'est pas comme si t'avais pas le drapeau d'une dictature en pp :hap:

Parceque tu tiens un discours libéral.

T'as pas compris le principe philosophique qui oppose le collectif de l'individuel.
Les libéraux tiennent exactement ce discours car selon leur idéologie, les décisions collectivent mènent à la tyrannie de la majorité.
à l'inverse, ce qui est dénoncé par les communistes, c'est que les libéraux imposent une tyrannie de la minorité.

J'espère au moins que ça te fera réfléchir sur le sens de tes propos. :nah:

Les libéraux veulent un minimum d'état, sans régulation, parce qu'ils savent que pour que l'économie de marché fonctionne il faut une force qui garantisse la propriété privé, qui garantisse la valeur d'une monnaie, qui garantisse la dette etc. Sans l'état ces choses sont impossible. Il faut comprendre que ce sont des fictions contingentes à l'ordre politique, la monnaie par exemple c'est un bout de papier ce n'est pas une richesse réelle.

Dans beaucoup de ces points, il n'y a plus besoin d'état.

Je veux bien t'entendre m'expliquer comment pourrait fonctionner une société capitaliste sans état :hap:

https://www.imdb.com/title/tt0079501/

C'est caricaturale, mais dans l'idée c'est ça.
Le capitalisme n'a pas besoin d'état, mais les libéraux préfèrent différents degrés d'état pour corriger les irrégularités du marché et éviter que ça vire en mad max.

C'est quoi le rapport entre mad-max et le capitalisme ? Elle est où la propriété des moyens de production qui permet d'accumuler une plus-value ?

Puis je ne m'oppose pas au collectif au contraire. Je suis un socialiste, je mécrois en l'individualisme, je crois en l'entraide, en la discipline, au travail commun, à l'abnégation pour le collectif. Mais le plus haut degré de socialisme ne peut en aucun cas être atteint par la contrainte, il est atteint quand il est réalisé par une foi commune, une foi en acier qui rattache chaque individu comme un seul corps.

C'est complètement vide ce que tu dis, le collectif impose forcément une contrainte collective, et vice versa pour l'individualisme, si la liberté est un droit alors elle impose un devoir.
La contrainte collective est connu depuis au moins les philosophes grecques, tu n'y échapperas jamais et sa dureté est proportionnel à la densité de citoyen environnant.
Si t'es seul en forêt, tu peux jouer de la batterie sans emmerder le monde, si t'habite un immeuble en ville ça va forcément emmerdé un voisin qui demande de la quiétude.

Mais bien sûr qu'il y a des devoirs, où ai-je dit le contraire ? Il doit y avoir des règles, et elles peuvent être arbitrairement exigeante. Et une société forte a besoin de règles exigeantes. Mais ces règles on s'y engage volontaire, ou on peut aller voir ailleurs: ce ne sont pas des lois qu'une institution impose. C'est comme un monastère: les moines sont libre de partir, mais s'ils restent dans le communauté ils s'engagent à une certaine ascèse.

Non mais là, tu t'enfonces... Les services publiques, les hôpitaux, les trains, les routes, les écoles, c'est pas chacun fait ce qu'il veut selon sa communauté,
Il y a des règles communes qui s'imposent, tout comme les lois de la physiques s'imposent de partout où que tu sois.
Sans compter que croire ne serait-ce qu'une seule seconde qu'on fait une société comme ça, tu ré-inventes juste le tribalisme à ta sauce bisounours, tout les communautés s’aiment et se côtoient, les licornes volent dans le ciel etc.
T'aura jamais de collectif sans cohésion sociale, c'est un point fondateur.
Et c'est pour cette raison que les capitalistes imposent souvent les idées les plus ségrégationnistes à gauche (immigration, religieux, intersectionnalité etc.), au moins ils sont sûr de ne jamais avoir à faire face à une coagulation des luttes.

Encore une fois tu me fais dire des choses que je n'ai pas dite. Déjà je ne soutiens ni les intersectionalisme, ni les wokisme ni quoi que ce soit. On sera d'accord sur le fait que soutenir les luttes particulières est stérile et qu'il faut un horizon commun: toi a priori c'est l'exploitation du prolétariat par la bourgeoisie ; moi c'est la même chose mais je rajoute que c'est permis par l'état - et de façon générale l'autorité usurpée par la force - qui avant le capitalisme a permis d'autres formes d'exploitation comme le servage.

Pour la communauté évidemment l'idée serait pas de vivre avec 15 personnes dans un petit village babacool :hap: Mais d'avoir des cités qui rassemblent des gens qui ont des affinités à suivre des règles communes, et qui elles-mêmes se fédèrent autour d'affinité plus générales. Et bien sûr il doit y avoir un principe supérieur qui permet la cohésion de tous. Et il peut évidemment y avoir des institutions partagés, des institutions chargés d'innover, des institutions militaires disciplinés chargé de la défense ou de la libération etc..

Le 18 février 2022 à 01:58:45 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:43:47 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:30:19 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:23:20 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:14:51 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:06:18 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 01:01:52 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:54:19 Volvini a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:44:55 Nefrarchie a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:41:21 PatrickDan a écrit :

Le 18 février 2022 à 00:38:03 :

Le 18 février 2022 à 00:36:22 PatrickDan a écrit :
Même sans fonder de colonie tous les gauchos deter qui ont pris le pouvoir, partout dans le monde, ont viré en dictature totalitaire, et avec des réalisations concrètes comme par exemple en URSS sur le long terme se sont révélés inefficients, corrompus, en plus de causer de graves crimes contre leurs citoyens. Je vois pas un seul exemple de réussite, mais peut être que.

Les gauchos non deter, au mieux ça fait des quartiers pseudo anarchistes dans certaines capitales, par bienveillance des bourgeoisies locales, ou des ZAD / communautés marginales, incapables de subvenir à l'existence d'états modernes.

Parles pour toi, ta dystopie d'économie de marché propage tout les travers que tu dénonces et on est en plein dedans.

L'économie de marché a certainement de grands défauts, mais un grand avantage qui est une bien plus grande liberté.
Après le réel parle de lui même, les gens fuient les utopies communistes quelles qu'elles soient, qui dérivent systématiquement en dictatures violentes, l'inverse est extrêmement rare.

C'est seulement les marxistes-leniniste ça qui ont une tendance autoritaire et paranoïaque à cause de leur ontologie déficiente.

La liberté dans l'économie de marché est pas réelle, l'économie de marché est possible seulement avec un état qui l'impose par la force :non:

Commences par faire ta propre introspection pour savoir de quoi tu parles avant d'écrire sans savoir.

Pourquoi tu te fâches ? C'est pas comme si t'avais pas le drapeau d'une dictature en pp :hap:

Parceque tu tiens un discours libéral.

T'as pas compris le principe philosophique qui oppose le collectif de l'individuel.
Les libéraux tiennent exactement ce discours car selon leur idéologie, les décisions collectivent mènent à la tyrannie de la majorité.
à l'inverse, ce qui est dénoncé par les communistes, c'est que les libéraux imposent une tyrannie de la minorité.

J'espère au moins que ça te fera réfléchir sur le sens de tes propos. :nah:

Les libéraux veulent un minimum d'état, sans régulation, parce qu'ils savent que pour que l'économie de marché fonctionne il faut une force qui garantisse la propriété privé, qui garantisse la valeur d'une monnaie, qui garantisse la dette etc. Sans l'état ces choses sont impossible. Il faut comprendre que ce sont des fictions contingentes à l'ordre politique, la monnaie par exemple c'est un bout de papier ce n'est pas une richesse réelle.

Dans beaucoup de ces points, il n'y a plus besoin d'état.

Je veux bien t'entendre m'expliquer comment pourrait fonctionner une société capitaliste sans état :hap:

https://www.imdb.com/title/tt0079501/

C'est caricaturale, mais dans l'idée c'est ça.
Le capitalisme n'a pas besoin d'état, mais les libéraux préfèrent différents degrés d'état pour corriger les irrégularités du marché et éviter que ça vire en mad max.

C'est quoi le rapport entre mad-max et le capitalisme ? Elle est où la propriété des moyens de production qui permet d'accumuler une plus-value ?

Mad max c'est toujours de l'économie de marché, les individus possèdent, défendent leur propriété etc selon leurs propres moyens de production.

Puis je ne m'oppose pas au collectif au contraire. Je suis un socialiste, je mécrois en l'individualisme, je crois en l'entraide, en la discipline, au travail commun, à l'abnégation pour le collectif. Mais le plus haut degré de socialisme ne peut en aucun cas être atteint par la contrainte, il est atteint quand il est réalisé par une foi commune, une foi en acier qui rattache chaque individu comme un seul corps.

C'est complètement vide ce que tu dis, le collectif impose forcément une contrainte collective, et vice versa pour l'individualisme, si la liberté est un droit alors elle impose un devoir.
La contrainte collective est connu depuis au moins les philosophes grecques, tu n'y échapperas jamais et sa dureté est proportionnel à la densité de citoyen environnant.
Si t'es seul en forêt, tu peux jouer de la batterie sans emmerder le monde, si t'habite un immeuble en ville ça va forcément emmerdé un voisin qui demande de la quiétude.

Mais bien sûr qu'il y a des devoirs, où ai-je dit le contraire ? Il doit y avoir des règles, et elles peuvent être arbitrairement exigeante. Et une société forte a besoin de règles exigeantes. Mais ces règles on s'y engage volontaire, ou on peut aller voir ailleurs: ce ne sont pas des lois qu'une institution impose. C'est comme un monastère: les moines sont libre de partir, mais s'ils restent dans le communauté ils s'engagent à une certaine ascèse.

Non mais là, tu t'enfonces... Les services publiques, les hôpitaux, les trains, les routes, les écoles, c'est pas chacun fait ce qu'il veut selon sa communauté,
Il y a des règles communes qui s'imposent, tout comme les lois de la physiques s'imposent de partout où que tu sois.
Sans compter que croire ne serait-ce qu'une seule seconde qu'on fait une société comme ça, tu ré-inventes juste le tribalisme à ta sauce bisounours, tout les communautés s’aiment et se côtoient, les licornes volent dans le ciel etc.
T'aura jamais de collectif sans cohésion sociale, c'est un point fondateur.
Et c'est pour cette raison que les capitalistes imposent souvent les idées les plus ségrégationnistes à gauche (immigration, religieux, intersectionnalité etc.), au moins ils sont sûr de ne jamais avoir à faire face à une coagulation des luttes.

Encore une fois tu me fais dire des choses que je n'ai pas dite. Déjà je ne soutiens ni les intersectionalisme, ni les wokisme ni quoi que ce soit. On sera d'accord sur le fait que soutenir les luttes particulières est stérile et qu'il faut un horizon commun: toi a priori c'est l'exploitation du prolétariat par la bourgeoisie ; moi c'est la même chose mais je rajoute que c'est permis par l'état - et de façon générale l'autorité usurpée par la force - qui avant le capitalisme a permis d'autres formes d'exploitation comme le servage.

Jamais je t'ai fais un procès en wokisme depuis le début. Juste en tribalisme :hap:
Quand à l'état, il est dépendant du gouvernement.
Gouvernement qui peut être aussi bien un croupier de l'économie de marché, un monarque absolu qu'un grand soviet.

Le problème vient surtout de la formation du gouvernement et de sa politique.
De nos jours on peut même rajouter les strates supra-nationales (union européenne, FMI, ONU...) qui ont des pouvoirs qui leur sont délégué en fonction d'accords, de traités etc.

Pour la communauté évidemment l'idée serait pas de vivre avec 15 personnes dans un petit village babacool :hap: Mais d'avoir des cités qui rassemblent des gens qui ont des affinités à suivre des règles communes, et qui elles-mêmes se fédèrent autour d'affinité plus générales. Et bien sûr il doit y avoir un principe supérieur qui permet la cohésion de tous. Et il peut évidemment y avoir des institutions partagés, des institutions chargés d'innover, des institutions militaires disciplinés chargé de la défense ou de la libération etc..

Ok je vois mais en fait tu parles tout simplement de commune et de progressivité des compétences.
ça s'est toujours + ou - fait -ça doit dater du bas moyen âge je pense- la France à toujours eu une progressivité des compétences en fonction des échelons.
Avec des épisodes ou les communes pouvaient devenir omnipotente.
On prend l'épisode de la commune de Paris comme exemple, mais il y a aussi la République des Escartons qui est un cas méconnue mais intéressant.
Sauf que quelque soit le modèle politique ces échelons existeront toujours en fait et on en reviens sur la boucle dont on parlait initialement vis à vis de la coercition du droit collectif, qui n'échappe pas à la règle, même pour une commune...

Bon, je vais me coucher, Nefrarchie, tu devrais lire Friedrich Engels, il aborde bien ces sujets et les différents degrés de socialisme, de l'utopique au plus scientifique. :ok:
Bonne nuit ++

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Cas-Mille
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18 février 2022 à 00:18:24
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