AHI mais y'a vraiment du GRAPHENE dans les vaccins + source
Suppriméce médecin redpill et confirme la présence de graphène dans les vaccins
https://www.youtube.com/watch?v=qer4aHltxcU
il confirme ce que jusque là je suspectais très fortement eu égard à divers documents que j'ai pu lire ici et là, mais là il balance tout au calme et s'en bat les couilles que sa chaîne saute :
brevets chinois qui confirment l'utilisation du graphène comme excipient dans le vaccin :
https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en
https://patents.google.com/patent/CN112089834A/en
sachant qu'une insider avait déjà révélé que l'excipient du principe actif mRNA était des nanocapsules lipidiques d'oxyde de graphène fabriquées par l'entreprise chinoise SinoPeg qu'on retrouve dans quasiment tous les vaccins (pfizer, moderna, astra, jensen, sinovac etc)
j'ai une amie pro médecine naturelle qui vit en thaïlande (ils ont reçu le sinovac là bas) qui m'a juré avoir approché une fourchette du bras d'un vax à 1 cm et la fourchette s'est littéralement décollée de ses doigts pour se coller sur le bras du mec
Les labos qui ont bien caché les infos ces enfoirés
J'étais un peu sceptique mais tout est vrai
les debunkers zététiciens avant : "Rien ne prouve qu'il y a du graphène dans les vaccins"
bientôt : "Oui, il y a du graphène dans les vaccins mais ce n'est pas dangereux, on vous explique"
Le 14 février 2022 à 06:08:36 :
Un peu de fer c'est très bon pour la santé la science le dit depuis toujours le complotiste
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/masques-sanitaires/covid-19-les-masques-ffp2-au-graphene-a-eviter-par-precaution-selon-l-anses_4880487.html
Je suis dubitatif , es mec comme Montagnier qui ont étudié le vaccin ou l'autre la qui a était banni ( je sais plus ) l'aurai déjà annoncé
Soit ils sont a côté de la plaque ou soit ils sont dans le plan
Le 14 février 2022 à 06:14:05 :
Le 14 février 2022 à 06:12:36 :
Je suis dubitatif , es mec comme Montagnier qui ont étudié le vaccin ou l'autre la qui a était banni ( je sais plus ) l'aurai déjà annoncéSoit ils sont a côté de la plaque ou soit ils sont dans le plan
Non mais tout est vérifiable au microscope ou avec d'autres outils khey , Montagnier a passé des mois a étudié le vaccin , c'est même lui qui a annoncé qu'il y avait des séquençage du sida dedans c'est pour te dire
j'avais pas vu il a posté une nouvelle vid y'a 24h :
Le 14 février 2022 à 06:15:56 :
Le 14 février 2022 à 06:14:05 :
Le 14 février 2022 à 06:12:36 :
Je suis dubitatif , es mec comme Montagnier qui ont étudié le vaccin ou l'autre la qui a était banni ( je sais plus ) l'aurai déjà annoncéSoit ils sont a côté de la plaque ou soit ils sont dans le plan
Non mais tout est vérifiable au microscope ou avec d'autres outils khey , Montagnier a passé des mois a étudié le vaccin , c'est même lui qui a annoncé qu'il y avait des séquençage du sida dedans c'est pour te dire
des scientifiques indépendants ont déjà fait des analyses au microscope et au spectromètre, confirmation du graphène et autres métaux lourds, mais perso ce qui m'a convaincu c'est les brevets chinois, on peut pas faire une preuve plus évidente
Le 14 février 2022 à 06:25:45 :
Un médecin non renommé qu'on ne connaît ni d'Adam ni de Eve
Tu reprendras bien une petite dose le golem
Le 14 février 2022 à 06:25:45 :
Un médecin non renommé qu'on ne connaît ni d'Adam ni de Eve
C’est un docteur en pharmacie
Source : son site officiel
Le 14 février 2022 à 06:18:21 :
j'avais pas vu il a posté une nouvelle vid y'a 24h :
ce ramassis de bullshit
Covid-19 : un risque accru de trouble cardio-vasculaire dans l’année qui suit la maladie
Les personnes infectées voient leur risque de développer un trouble cardio-vasculaire augmenter de 55 %, montre le suivi d’une cohorte de patients américains. Cela concerne également les patients n’ayant pas été hospitalisés.
Par Florence Rosier
Publié hier à 18h39, mis à jour à 10h05Temps de Lecture 5 min.
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Les personnes qui ont contracté le Covid-19 ont un risque augmenté de 55 % de développer un trouble cardio-vasculaire dans l’année qui suit l’infection. C’est ce que montre le suivi d’une vaste cohorte américaine, publié dans la revue Nature Medicine du 7 février. Les troubles observés étaient de tout type : anomalies du rythme cardiaque (arythmies), survenue de caillots sanguins (thromboses) et embolies pulmonaires, accident vasculaire cérébral (AVC), maladie coronarienne, insuffisance cardiaque et infarctus du myocarde, et même décès par une de ces causes, mais aussi inflammation du cœur ou de son enveloppe (myocardites et péricardites).
Lire aussi Article réservé à nos abonnés Covid-19 : les cas de syndrome inflammatoire infantile augmentent, mais semblent moins sévèresAu total, l’étude a inclus 153 760 personnes dont le test a révélé la présence du virus SARS-CoV-2 entre le 1er mars 2020 et le 15 janvier 2021 et ayant survécu aux trente premiers jours de la maladie. Très peu avaient été vaccinées avant l’infection – les vaccins n’étant disponibles qu’à la fin de cette période.
Les personnes infectées ont été comparées à un premier groupe de plus de 5,6 millions de personnes non infectées sur la même période ; et à un autre groupe témoin de plus de 5,8 millions de patients suivis avant la pandémie, entre mars 2018 et janvier 2019. L’étude n’a pas concerné les variants Delta et Omicron, apparus après la période du suivi.
« Un peu froid dans le dos »Tous les dossiers médicaux analysés, rendus anonymes, provenaient de la « cohorte des vétérans », gérée par le département américain des anciens combattants et suivie à l’université Washington de Saint Louis. Cette cohorte incluait une majorité d’hommes (89 %) blancs (71 %), âgés en moyenne de 61,4 ans.
Résultats : entre le deuxième et le douzième mois après l’infection, le risque de faire un infarctus aigu était augmenté de 72 %. Soit, en risque absolu, 5 ou 6 cas supplémentaires pour 1 000 personnes infectées. Le risque d’insuffisance cardiaque était accru de 72 % (12 cas de plus). De même que le risque de développer une athérosclérose, résultant d’une accumulation de plaques de graisses et de protéines à l’intérieur de la paroi des artères, ralentissant le flux de sang qui irrigue le cœur (11 cas de plus). Le risque de fibrillation atriale, un trouble du rythme cardiaque qui expose au risque d’AVC et d’insuffisance cardiaque, augmentait quant à lui de 71 % (11 cas de plus) ; le risque d’embolie pulmonaire, de 193 % (5 cas de plus) et le risque d’AVC de 52 % (4 cas de plus).
Lire aussi Article réservé à nos abonnés Covid-19 : le défi de la gestion d’un état endémique« C’est une étude robuste, estime le professeur Xavier Jouven, chef du pôle cardio-vasculaire de l’hôpital européen Georges-Pompidou (AP-HP, Paris). L’augmentation du risque concerne l’ensemble des événements cardio-vasculaires, ce qui fait un peu froid dans le dos. »
Un surrisque de troubles cardio-vasculaires lié à une infection, cependant, « n’est pas une énorme surprise », observe le professeur Gabriel Steg, chef du service de cardiologie de l’hôpital Bichat (AP-HP, Paris). Ce risque a été clairement mis en évidence après certaines infections bactériennes – pneumonies, infections urinaires… – et, dans une moindre mesure, après une grippe grave.
Vigilance nécessaireIci, ce surrisque s’observe même chez les personnes qui n’ont fait que des formes légères de Covid-19 – soit 84 % des individus de la cohorte. « Mais plus la maladie liée au Covid-19 est grave, plus le risque de survenue d’un trouble cardio-vasculaire augmente », relève Gabriel Steg. C’est très frappant pour le critère qui associe risque d’infarctus, risque d’AVC et risque de décès : ces trois risques combinés augmentent de 30 % chez les personnes infectées non hospitalisées ; ils sont multipliés par 2,5 chez celles qui ont été admises à l’hôpital pour avoir développé le Covid-19 ; et par 4,5 chez celles admises en soins intensifs pour cette infection.
Ces complications cardio-vasculaires concernent à la fois des patients qui avaient déjà une pathologie silencieuse, qui a été révélée par le Covid-19, et des patients chez qui cette infection a déclenché une maladie nouvelle. « Les infarctus du myocarde ou les AVC sont plutôt des conséquences de l’activation inflammatoire et de la réaction immunitaire chez des sujets déjà malades, avec ou sans symptômes », explique Gabriel Steg.
Lire aussi Article réservé à nos abonnés Sur le Covid long, des connaissances partielles et des questions nombreusesMais « le plus étonnant », relève Ziyad Al-Aly, qui a coordonné ce travail, vient des personnes qui n’avaient jamais eu de problème cardio-vasculaire auparavant : elles aussi développent des troubles cardiaques post-Covid-19. « Ce sont alors souvent des péricardites et des myocardites, qui surviennent plutôt chez des sujets sains et plus jeunes », explique Gabriel Steg. Ces inflammations du cœur ou de son enveloppe se traduisent par des douleurs et des dysfonctions du cœur qui, dans une minorité de cas, peuvent évoluer vers une insuffisance cardiaque.
« Cette étude a concerné une cohorte de vétérans, par essence âgés, observe le cardiologue de Bichat. Je serais très intéressé de connaître l’ampleur et la nature de ce risque chez une population plus jeune. » Trouverait-on davantage de péricardites ? « Au quotidien, nous voyons beaucoup plus de ces troubles que d’habitude. De fait, ils touchent des gens qui ont fait un Covid-19 », témoigne Gabriel Steg.
Dans cette cohorte, 4 % de personnes supplémentaires ont été atteintes d’un trouble cardio-vasculaire dans le groupe touché par le Covid-19, par rapport aux groupes non infectés. Depuis le début de la pandémie, plus de 380 millions de personnes dans le monde ont été touchées par le Covid-19. Par conséquent, « les infections par le SARS-CoV-2 ont contribué à 15 millions de nouveaux cas de maladies cardio-vasculaires dans le monde », calcule Ziyad Al-Aly, pour qui ce surrisque confirme « l’importance de se faire vacciner ».
Lire aussi Article réservé à nos abonnés Covid long : les enfants et les ados dans le brouillard médicalFaudrait-il mettre en place un suivi spécifique ? Les avis divergent. « Il est essentiel qu’un suivi cardio-vasculaire fasse partie intégrante des soins après la phase aiguë de l’infection », estime Ziyad Al-Aly. Xavier Jouven pointe la nécessité d’une « vigilance accrue » de la part des médecins qui suivent les patients après un Covid-19. « Compte tenu de l’incidence de ces troubles cardio-vasculaires post-Covid, un bilan cardio-vasculaire systématique serait très peu rentable, coûteux et sources d’examens inutiles, avec leur lot de faux positifs, de faux négatifs et de stress », estime pour sa part Gabriel Steg. En revanche, il est important que les professionnels de santé soient informés de ce nouveau facteur de risque.
Quels pourraient être les mécanismes en jeu dans cet impact cardio-vasculaire du Covid-19 ? Les auteurs listent une série d’hypothèses. Parmi elles, l’infection des cellules du cœur et leur mort subséquente pourraient expliquer certains dommages persistants. L’infection des cellules de la paroi des vaisseaux et leur inflammation pourraient aussi intervenir ; ou encore, l’altération de l’activité des gènes de plusieurs types de cellules du tissu cardiaque… Les différentes voies d’action du virus SARS-CoV-2 « pourraient expliquer la gamme de séquelles cardio-vasculaires post-aiguës du Covid-19 », concluent les auteurs.
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Données du topic
- Auteur
- PoisonPfizer
- Date de création
- 14 février 2022 à 06:05:05
- Date de suppression
- 15 février 2022 à 01:19:44
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