Et ce n'est même pas lié à la forme catastrophique de sa prestation mais au fond. Elle aurait pu être divinement bonne et charismatique, cette phrase signe la fin du parti
Il n’y a pas de fatalité, ni au grand déclassement ni au grand remplacement.
Avec ces mots, et même l'ensemble de son discours, Pécresse a fait implosé LR : elle n'a fait que paraphraser, maladroitement, de manière incomplète et avec une forme désastreuse, le diagnostic du Z. Elle l'a de facto érigé en candidat unique de la droite.
Les LR se mettent à disserter maladroitement pour corriger le tir (elle refuse la théorie du Grand Remplacement mais pas le Grand Remplacement) mais personne n'y croit et le parti va se disloquer autour des interprétations cette phrase