La commission d'enquête du Sénat dénonce la mascarade de l'épidémie

De H1N1

https://www.youtube.com/watch?v=6WYX-953keM

Le rapport en question : https://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-1_mono.html

-> Met en lumière la corruption des scientifiques qui faisaient une compétition à qui fera le plus peur aux gens pour se démarquer
->Le nombre d'études publiées sur le sujet qui augmente créent des biais de confirmation
->Les labos qui veulent juste rentabiliser leur investissement
-> Changement de la définition de "pandémie" par l'OMS afin de satisfaire les labos
-> L'OMS qui critique de "complotistes" ses détracteurs pour finalement avouer à demi mot qu'elle a fait de la merde
->Bill Gates premier financeur de cette organisation "neutre"
->Prédictions alarmistes basées sur des études frauduleuses, démenties par le réel
->Les même escrocs alarmistes de l'époque qui aujourd'hui nous disent qu'on doit tous se piquer et mettre le pass
->Les médecins, qui à ce moment avaient le droit de soigner, on empêcher les hôpitaux d'être engorgés. Montrant que la stratégie du tout vaccinal est bidon
->Absence de débats critiques qui a empêché de prendre du recul et à fortiori les bonnes décisions politiques
-> Les non-"spécialistes" avaient un avis plus pertinent sur la question
-> Les contrats passés avec les labos qui ont décidé de la stratégie politique, tout ça pour faire du fric au détriment de la santé publique
-> 602 millions d'euros foutu à la poubelle
-> Vacciner PENDANT une épidémie est totalement inutile

Les golems, vous vous lassez quand d'être prit pour des cons ?

Pour rappel : https://twitter.com/rifain_nouvelle/status/1466915426802311172?s=21

Le 08 février 2022 à 13:52:19 Lazzlo26 a écrit :
ça vous laisse pantois visiblement

Les golems sont des low-QI qui ont la mémoire d'un poisson rouge.

Ils ne se sont en réalité jamais seulement posé la question. C'est la spécificité du PNJ, c'est quelqu'un qui se refuse à essayer de penser et de comprendre le monde et les règles qui le régissent.

Il se vautre continuellement dans le confort du prêt-à-penser, et il a toujours besoin qu'une quelconque autorité supérieure pense pour lui. Ca le décharge de cette tâche, et il est heureux du moment que n'importe quoi qui représente vaguement une autorité lui dit quoi faire.

Ca lui laisse du temps de cerveau disponible pour mettre ses deux neurones en effervescence et les consacrer exclusivement à la quête de satisfaction de ses besoins primaires, bouffer, chier et bourriquer sur Tinder.