Le 22 janvier 2022 à 23:22:03 :
Etant donné qu'il y'a au moins 6 millions de musulmans descendants d'immigrés en France et qu'ils font beaucoup plus d'enfants que le couple français moyen (je n'ai pas les chiffres mais j'habite dans le 93 et les familles musulmanes avec 1 ou 2 enfants sont très très très rares et voir des mamans voilées avec plus de 5 enfants quand je vais au magasin/au marché n'est pas inhabituel), cela relève du bon sens d'affirmer que l'islam sera la religion majoritaire dans notre pays dans quelques décennies.
Pensez vous qu'il existe une solution ?
La vraie question c'est comment l'islam et la culture du pays se conserve quand il est arrivé en france. Et la réponse c'est : pas trop bien.
La plupart des gens, même les plus véhéments, puent la merde quand il s'agit de parler la langue de leur pays. Bien plus qu'en Belgique par exemple. L'islam, c'est encore pire.
Ensuite, il faut considérer le nombre de gens qui font réellement leurs 5 prières par jour, parce que les musulmans que pendant le ramadan, c'est de la bonne connerie et ça tient pas une génération.
En d'autres termes ça finit comme les italos-américains et les irlando-américains, catholiques très pratiquants à l'arrivée, américains athées ou quasi-athées non pratiquants intégrés trois générations plus tard.
La france aura une gueule différente, mais la vérité c'est qu'elle en a déjà une différente. Même Zemmour dans ses discours les plus aggressifs parle du grand remplacement lorsqu'il parle en réalité de la ghettoisation sociale, économique et culturelle de certaines zones. Il s'en branle que les ingénieurs, les professeurs et les médecins aient de plus en plus de noms de familles africains, du nord ou de l'ouest. Tout le monde est déjà résigné à l'idée que dans les zones urbaines de france, ça sera beaucoup plus coloré au fur et à mesure du temps. La question c'est juste si cette coloration va apporter une précarisation du pays. Ce dont personnellement je doute fortement. A chaque génération, les immigrés sont de plus en plus intégrés, tellement qu'ils forment la majorité invisible.
