L'institution se montre en particulier virulente sur l'accompagnement des allocataires, effectué par Pôle emploi ou les départements, qui comporte des « dysfonctionnements majeurs » et de « graves lacunes » avec, notamment, de trop faibles actions d'insertion professionnelle. Plus alarmant encore, 40 % des allocataires ne disposent pas d'un contrat d'accompagnement, qui est pourtant obligatoire.
Bientôt le début de l'accompagnement, terminé le RSA sans rien faire les golems