Topic de Messi_a_Paris :

Brad Pitt dans Troie c'est un combien/10 ?

Le 15 janvier 2022 à 17:50:28 FemmeChanceuse a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:48:14 :

Le 15 janvier 2022 à 17:42:56 :

Le 15 janvier 2022 à 17:27:41 :

Le 15 janvier 2022 à 17:20:44 :

Le 15 janvier 2022 à 17:19:27 :

Le 15 janvier 2022 à 17:10:49 :

Le 15 janvier 2022 à 17:04:52 :

Le 15 janvier 2022 à 17:01:42 :

Le 15 janvier 2022 à 16:59:22 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 16:41:18 :

Le 15 janvier 2022 à 16:31:36 :

Le 15 janvier 2022 à 16:27:35 :

Le 15 janvier 2022 à 16:26:56 Asket a écrit :
Mon ex préférait largement Bloom dans le film, même quand il se soumet comme une pute pendant le combat https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et tu la crois cette hypocrite ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Oui, malheureusement.

Elle avait plein de réactions quand elle le voyait, s'accrochait à moi quand il était en mauvaise posture https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et pourtant c'était une modèle slave, à dire qu'il n'existe plus de vrais hommes. Comme quoi les femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

et ce gros dzeta tout fier de venir nous raconter qu'il servait d'animal de réconfort à sa meuf qui s'inquiétait pour un autre ahii

Elle t'incluait surement quand elle parlait du fait qu'il n'y avait plus de vrais hommes

Le gros zéta à la fin du film il a sauté une fille qui avait posé pour les plus grand marques de mode https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Tu gères comment la situation ? Tu coupes le film et tu la vires de chez toi ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Si tu l'a pas fait orgasmer ça compte pas https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

Et donc tu te rassures comme ça ?

Tu crois que j'ai que ça à faire de vanter mes exploits sexuels sur ce forum ?

La seule chose que je peux montrer c'est ça : https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642263366-feeler.jpg
Libre à vous de croire que j'ai accès au sexe féminin ou pas.

Non mais je te demandais simplement si tu te rassurais en te disant que de toutes façons tu es surement dans les 95%:hap:

Non mais je pense toujours à cette chanson de Brassens quand ça part en concours de performances sexuelle sur ce forum.

Après des années d'expériences, et multiples conquêtes je pense justement être dans le top 10% :hap:

Alterner violence/douceur, comprendre quelle position déclenche son orgasme (ça dépend clairement de chaque fille), la mettre dans un bon conexte (très important pour les plus belles filles) et bien leur bouffer la chatte :hap:

Brassens dit totalement vrai dans la chanson en tout cas

En lisant les paroles on dirait pas que c'est un homme qui parle d'ailleurs

Un de ses plus belle chanson, intemporelle... enfin jusqu'à la démocratisation des robots sexuels https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Après son texte, c'est surtout pour les relations longues je trouve. Les premiers mois vous avez un peu de libido :hap:

Il a clairement pénétré la psyché féminine

Il a eu pleins de femmes dans sa vie et a su les observer, s'y intéresser

Lis Otto Weininger maintenant https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Le 15 janvier 2022 à 17:51:23 MaximusMarlou a écrit :
Je raconte my life : quand j'étais gamin, je croyais que le cheval de Troie s'était passé à Troyes dans l'Aube https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

On a des grosses infos sur ce topic https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Le 15 janvier 2022 à 17:32:07 :

Le 15 janvier 2022 à 17:30:12 AXIDENTANAL a écrit :
le films véhicule un message faux, beau égale valeureux guerrier, ce n'est pas le cas cela ne sera jamais. ceux qui regadent ce genre de filme plustit que d'ouvrir un livre vous etres égaré

Sugar Ray Robinson le prince des rings, le plus grand boxeur de l'histoire était beau, arrête de rager le moche https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

tu vois tu es stupide, tu n'es pas un vrai mec. ton model marche pas, tu pense avoir une légitimité de par les lobby, les médiat. Un soldat 10/10 = un celestin soldat. Les médiat te font croire que les gens beaux sont compétent mais c'est faux. Zemour est moche mais il est un peu intelligent, ou sont les BG pour le contredire. ton bareme est le bareme de gonzesse. il y a des homme qui te brayeraient l'op juste pasque il sont plus musclés. Mais vit dans ton cocon parisien a croire que Bg pour les mec c'est quelques chose. +Je suis pas homophobe, mais il convients de mettre des limites.

Le 15 janvier 2022 à 17:54:34 AXIDENTANAL a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:32:07 :

Le 15 janvier 2022 à 17:30:12 AXIDENTANAL a écrit :
le films véhicule un message faux, beau égale valeureux guerrier, ce n'est pas le cas cela ne sera jamais. ceux qui regadent ce genre de filme plustit que d'ouvrir un livre vous etres égaré

Sugar Ray Robinson le prince des rings, le plus grand boxeur de l'histoire était beau, arrête de rager le moche https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

tu vois tu es stupide, tu n'es pas un vrai mec. ton model marche pas, tu pense avoir une légitimité de par les lobby, les médiat. Un soldat 10/10 = un celestin soldat. Les médiat te font croire que les gens beaux sont compétent mais c'est faux. Zemour est moche mais il est un peu intelligent, ou sont les BG pour le contredire. ton bareme est le bareme de gonzesse. il y a des homme qui te brayeraient l'op juste pasque il sont plus musclés. Mais vit dans ton cocon parisien a croire que Bg pour les mec c'est quelques chose. +Je suis pas homophobe, mais il convients de mettre des limites.

Achille était vraiment très beau et aussi le plus grand guerrier de l'histoire https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Le 15 janvier 2022 à 17:41:54 :

Le 15 janvier 2022 à 17:40:24 FemmeChanceuse a écrit :
J'ai vu qu'Alexandre et je l'ai directement associé au personnage d'Achille.

Alexandre et sa mégalomanie m'ont saoulée pendant tout le film (que j'ai bien aimée par ailleurs).

Alexandre=Achille

Oui ils sont très proches, c'est ton premier post intéressant, tu profite de mon influence positive pour t'améliorer https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Mais il me semble que dès l'époque d'Alexandre le rapprochement avait été fait, il se considérait pas comme un Achille bis ? :(

Le 15 janvier 2022 à 17:50:28 :

Le 15 janvier 2022 à 17:48:14 :

Le 15 janvier 2022 à 17:42:56 :

Le 15 janvier 2022 à 17:27:41 :

Le 15 janvier 2022 à 17:20:44 :

Le 15 janvier 2022 à 17:19:27 :

Le 15 janvier 2022 à 17:10:49 :

Le 15 janvier 2022 à 17:04:52 :

Le 15 janvier 2022 à 17:01:42 :

Le 15 janvier 2022 à 16:59:22 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 16:41:18 :

Le 15 janvier 2022 à 16:31:36 :

Le 15 janvier 2022 à 16:27:35 :

Le 15 janvier 2022 à 16:26:56 Asket a écrit :
Mon ex préférait largement Bloom dans le film, même quand il se soumet comme une pute pendant le combat https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et tu la crois cette hypocrite ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Oui, malheureusement.

Elle avait plein de réactions quand elle le voyait, s'accrochait à moi quand il était en mauvaise posture https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et pourtant c'était une modèle slave, à dire qu'il n'existe plus de vrais hommes. Comme quoi les femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

et ce gros dzeta tout fier de venir nous raconter qu'il servait d'animal de réconfort à sa meuf qui s'inquiétait pour un autre ahii

Elle t'incluait surement quand elle parlait du fait qu'il n'y avait plus de vrais hommes

Le gros zéta à la fin du film il a sauté une fille qui avait posé pour les plus grand marques de mode https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Tu gères comment la situation ? Tu coupes le film et tu la vires de chez toi ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Si tu l'a pas fait orgasmer ça compte pas https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

Et donc tu te rassures comme ça ?

Tu crois que j'ai que ça à faire de vanter mes exploits sexuels sur ce forum ?

La seule chose que je peux montrer c'est ça : https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642263366-feeler.jpg
Libre à vous de croire que j'ai accès au sexe féminin ou pas.

Non mais je te demandais simplement si tu te rassurais en te disant que de toutes façons tu es surement dans les 95%:hap:

Non mais je pense toujours à cette chanson de Brassens quand ça part en concours de performances sexuelle sur ce forum.

Après des années d'expériences, et multiples conquêtes je pense justement être dans le top 10% :hap:

Alterner violence/douceur, comprendre quelle position déclenche son orgasme (ça dépend clairement de chaque fille), la mettre dans un bon conexte (très important pour les plus belles filles) et bien leur bouffer la chatte :hap:

Brassens dit totalement vrai dans la chanson en tout cas

En lisant les paroles on dirait pas que c'est un homme qui parle d'ailleurs

Un de ses plus belle chanson, intemporelle... enfin jusqu'à la démocratisation des robots sexuels https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Après son texte, c'est surtout pour les relations longues je trouve. Les premiers mois vous avez un peu de libido :hap:

Il a clairement pénétré la psyché féminine

Il a eu pleins de femmes dans sa vie et a su les observer, s'y intéresser

Ça fait des millénaires qu'on le sait que les relations hommes femmes sont un simple échange de valeur, malgré toute la surcouche d’hypocrisie qu'on y rajoute.

Un khey m'a fait découvrir un petit texte de Maupassant dans le même style il y a peu :

Faisons l’histoire banale et simple de toutes les tendresses mondaines. La psychologie en est toujours la même.

Le cœur féminin diffère en tout du cœur de l’homme. Nous autres, vrais amateurs de beauté, c’est la femme que nous adorons ; et quand nous choisissons passagèrement une femme, c’est un hommage rendu à leur race entière. Est-il un ivrogne, est-il un gourmet qui boive sempiternellement d’un seul cru ? Il aime le vin et non pas un vin ; le bordeaux, parce que c’est le bordeaux, et le bourgogne, parce que c’est le bourgogne. Nous, nous idolâtrons les brunes, parce qu’elles sont brunes, et les blondes parce qu’elles sont blondes ; l’une, pour ses yeux aigus, qui vont au cœur, l’autre pour sa voix qui fait vibrer nos nerfs ; celle-ci pour sa lèvre rouge, celle-là pour la cambrure de sa taille ; et, comme nous ne pouvons cueillir toutes ces fleurs en même temps, la nature a mis en nous la toquade, le caprice fou qui nous les fait désirer à tour de rôle, augmentant ainsi la valeur de chacune à l’heure de l’affolement.

Or, l’affolement chez l’homme ne dure guère ; c’est la période d’attente. Le désir satisfait change l’amour en reconnaissance polie. Indignez-vous, idéalistes !

Les uns font ce trajet d’une passion à l’autre en huit jours, d’autres en un mois, d’autres en six, d’autres en un an. Question de temps, de lenteur de cœur et d’habitudes prises.

Mais la femme ! Ah ! la femme suit une route diamétralement opposée. Voilà le danger.

Au moment où l’amoureux fait le siège, où tous ses désirs éveillés lui font croire qu’il aime de passion, il est éloquent, pressant, persuasif. Il promet tout ce qu’on veut, s’engage aux sacrifices les plus surhumains. La femme, elle, est inquiète, troublée, ravie qu’on s’occupe d’elle, mais pas amoureuse pour un sou. Elle se dit : « Ce pauvre garçon, il m’aime terriblement tout de même » ; et elle s’attendrit sur cet amour par bonté de cœur et par vanité satisfaite. Cependant elle a des craintes, ne veut pas trop s’engager, et elle parle de caprice, de caprice sans durée trop longue. C’est si charmant, un caprice ! Cela laisse au cœur un souvenir doux, nullement amer. C’est la page volante de la vie.

Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.

Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais — Comment ? dira-t-on. — Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.

Alors commence la chaîne.

Lui de jour en jour, regarde de plus en plus les autres femmes : de jour en jour, il sent poindre en son cœur des soupçons de désirs nouveaux, des chatouillements de passions à naître. De jour en jour il comprend davantage que l’âme n’est jamais satisfaite, que la beauté a des manifestations sans nombre, que le charme de la vie est dans le changement et la variété.

Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !

C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » — La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !

Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.

L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.

Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.

Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :

— Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?

— Mais, oui.

— Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !

— Mais puisque je te le dis !

— C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?

— Oui.

— Promets-moi que tu ne me trompes pas ?

— Non.

— Quoi, non ?

— Je ne te trompe pas.

— Tu me le jures ?

Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.

Le nœud gordien est là, indénouable.

Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :

Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;

Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…

Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.

J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?

Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.

Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde. — « On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? » — On les garde toutes, monsieur.

Le 15 janvier 2022 à 17:57:42 FemmeChanceuse a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:41:54 :

Le 15 janvier 2022 à 17:40:24 FemmeChanceuse a écrit :
J'ai vu qu'Alexandre et je l'ai directement associé au personnage d'Achille.

Alexandre et sa mégalomanie m'ont saoulée pendant tout le film (que j'ai bien aimée par ailleurs).

Alexandre=Achille

Oui ils sont très proches, c'est ton premier post intéressant, tu profite de mon influence positive pour t'améliorer https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Mais il me semble que dès l'époque d'Alexandre le rapprochement avait été fait, il se considérait pas comme un Achille bis ? :(

Oui, Alexandre était le fils de Zeus et on tout le monde le voyait comme le nouveau Achille, même lui le prenait en modèle https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Le 15 janvier 2022 à 17:56:13 :

Le 15 janvier 2022 à 17:54:34 AXIDENTANAL a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:32:07 :

Le 15 janvier 2022 à 17:30:12 AXIDENTANAL a écrit :
le films véhicule un message faux, beau égale valeureux guerrier, ce n'est pas le cas cela ne sera jamais. ceux qui regadent ce genre de filme plustit que d'ouvrir un livre vous etres égaré

Sugar Ray Robinson le prince des rings, le plus grand boxeur de l'histoire était beau, arrête de rager le moche https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

tu vois tu es stupide, tu n'es pas un vrai mec. ton model marche pas, tu pense avoir une légitimité de par les lobby, les médiat. Un soldat 10/10 = un celestin soldat. Les médiat te font croire que les gens beaux sont compétent mais c'est faux. Zemour est moche mais il est un peu intelligent, ou sont les BG pour le contredire. ton bareme est le bareme de gonzesse. il y a des homme qui te brayeraient l'op juste pasque il sont plus musclés. Mais vit dans ton cocon parisien a croire que Bg pour les mec c'est quelques chose. +Je suis pas homophobe, mais il convients de mettre des limites.

Achille était vraiment très beau et aussi le plus grand guerrier de l'histoire https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

mensonge, achille est fait un produit avec un cahier de charge stricte. Il devait être un model pour les hommes, et plaire au femmes. Il n'ya rien de vrai la dedans. On a exagéré les choses comme toujours, On parle d'une époque on on pensais que il y avait des dieux sur l'olympe, ça plus les gens n'ont pas la science d'aujourd hui conduit les gens a cordre dedans. Mais c'est faux. c'est un produit sociale.

Les cheveux longs ne lui vont pas du tout.

En dehors de ça, il a la gueule + le charisme + le corps athlétique.

Sinon Héraclès > Achilles tout de même.

Sans deconner ça vous soule pas de boucler a ce point

Le 15 janvier 2022 à 17:51:26 :

Le 15 janvier 2022 à 17:50:28 FemmeChanceuse a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:48:14 :

Le 15 janvier 2022 à 17:42:56 :

Le 15 janvier 2022 à 17:27:41 :

Le 15 janvier 2022 à 17:20:44 :

Le 15 janvier 2022 à 17:19:27 :

Le 15 janvier 2022 à 17:10:49 :

Le 15 janvier 2022 à 17:04:52 :

Le 15 janvier 2022 à 17:01:42 :

Le 15 janvier 2022 à 16:59:22 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 16:41:18 :

Le 15 janvier 2022 à 16:31:36 :

Le 15 janvier 2022 à 16:27:35 :

Le 15 janvier 2022 à 16:26:56 Asket a écrit :
Mon ex préférait largement Bloom dans le film, même quand il se soumet comme une pute pendant le combat https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et tu la crois cette hypocrite ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Oui, malheureusement.

Elle avait plein de réactions quand elle le voyait, s'accrochait à moi quand il était en mauvaise posture https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et pourtant c'était une modèle slave, à dire qu'il n'existe plus de vrais hommes. Comme quoi les femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

et ce gros dzeta tout fier de venir nous raconter qu'il servait d'animal de réconfort à sa meuf qui s'inquiétait pour un autre ahii

Elle t'incluait surement quand elle parlait du fait qu'il n'y avait plus de vrais hommes

Le gros zéta à la fin du film il a sauté une fille qui avait posé pour les plus grand marques de mode https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Tu gères comment la situation ? Tu coupes le film et tu la vires de chez toi ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Si tu l'a pas fait orgasmer ça compte pas https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

Et donc tu te rassures comme ça ?

Tu crois que j'ai que ça à faire de vanter mes exploits sexuels sur ce forum ?

La seule chose que je peux montrer c'est ça : https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642263366-feeler.jpg
Libre à vous de croire que j'ai accès au sexe féminin ou pas.

Non mais je te demandais simplement si tu te rassurais en te disant que de toutes façons tu es surement dans les 95%:hap:

Non mais je pense toujours à cette chanson de Brassens quand ça part en concours de performances sexuelle sur ce forum.

Après des années d'expériences, et multiples conquêtes je pense justement être dans le top 10% :hap:

Alterner violence/douceur, comprendre quelle position déclenche son orgasme (ça dépend clairement de chaque fille), la mettre dans un bon conexte (très important pour les plus belles filles) et bien leur bouffer la chatte :hap:

Brassens dit totalement vrai dans la chanson en tout cas

En lisant les paroles on dirait pas que c'est un homme qui parle d'ailleurs

Un de ses plus belle chanson, intemporelle... enfin jusqu'à la démocratisation des robots sexuels https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Après son texte, c'est surtout pour les relations longues je trouve. Les premiers mois vous avez un peu de libido :hap:

Il a clairement pénétré la psyché féminine

Il a eu pleins de femmes dans sa vie et a su les observer, s'y intéresser

Lis Otto Weininger maintenant https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

The Manipulated Man - Esther Vila
Men on Strike - Helen Smith

Pour des redpills venant elles même des femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2019/24/7/1560644833-dracenfumette.png

Le 15 janvier 2022 à 17:58:27 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:50:28 :

Le 15 janvier 2022 à 17:48:14 :

Le 15 janvier 2022 à 17:42:56 :

Le 15 janvier 2022 à 17:27:41 :

Le 15 janvier 2022 à 17:20:44 :

Le 15 janvier 2022 à 17:19:27 :

Le 15 janvier 2022 à 17:10:49 :

Le 15 janvier 2022 à 17:04:52 :

Le 15 janvier 2022 à 17:01:42 :

Le 15 janvier 2022 à 16:59:22 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 16:41:18 :

Le 15 janvier 2022 à 16:31:36 :

Le 15 janvier 2022 à 16:27:35 :

Le 15 janvier 2022 à 16:26:56 Asket a écrit :
Mon ex préférait largement Bloom dans le film, même quand il se soumet comme une pute pendant le combat https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et tu la crois cette hypocrite ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Oui, malheureusement.

Elle avait plein de réactions quand elle le voyait, s'accrochait à moi quand il était en mauvaise posture https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et pourtant c'était une modèle slave, à dire qu'il n'existe plus de vrais hommes. Comme quoi les femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

et ce gros dzeta tout fier de venir nous raconter qu'il servait d'animal de réconfort à sa meuf qui s'inquiétait pour un autre ahii

Elle t'incluait surement quand elle parlait du fait qu'il n'y avait plus de vrais hommes

Le gros zéta à la fin du film il a sauté une fille qui avait posé pour les plus grand marques de mode https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Tu gères comment la situation ? Tu coupes le film et tu la vires de chez toi ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Si tu l'a pas fait orgasmer ça compte pas https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

Et donc tu te rassures comme ça ?

Tu crois que j'ai que ça à faire de vanter mes exploits sexuels sur ce forum ?

La seule chose que je peux montrer c'est ça : https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642263366-feeler.jpg
Libre à vous de croire que j'ai accès au sexe féminin ou pas.

Non mais je te demandais simplement si tu te rassurais en te disant que de toutes façons tu es surement dans les 95%:hap:

Non mais je pense toujours à cette chanson de Brassens quand ça part en concours de performances sexuelle sur ce forum.

Après des années d'expériences, et multiples conquêtes je pense justement être dans le top 10% :hap:

Alterner violence/douceur, comprendre quelle position déclenche son orgasme (ça dépend clairement de chaque fille), la mettre dans un bon conexte (très important pour les plus belles filles) et bien leur bouffer la chatte :hap:

Brassens dit totalement vrai dans la chanson en tout cas

En lisant les paroles on dirait pas que c'est un homme qui parle d'ailleurs

Un de ses plus belle chanson, intemporelle... enfin jusqu'à la démocratisation des robots sexuels https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Après son texte, c'est surtout pour les relations longues je trouve. Les premiers mois vous avez un peu de libido :hap:

Il a clairement pénétré la psyché féminine

Il a eu pleins de femmes dans sa vie et a su les observer, s'y intéresser

Ça fait des millénaires qu'on le sait que les relations hommes femmes sont un simple échange de valeur, malgré toute la surcouche d’hypocrisie qu'on y rajoute.

Un khey m'a fait découvrir un petit texte de Maupassant dans le même style il y a peu :

Faisons l’histoire banale et simple de toutes les tendresses mondaines. La psychologie en est toujours la même.

Le cœur féminin diffère en tout du cœur de l’homme. Nous autres, vrais amateurs de beauté, c’est la femme que nous adorons ; et quand nous choisissons passagèrement une femme, c’est un hommage rendu à leur race entière. Est-il un ivrogne, est-il un gourmet qui boive sempiternellement d’un seul cru ? Il aime le vin et non pas un vin ; le bordeaux, parce que c’est le bordeaux, et le bourgogne, parce que c’est le bourgogne. Nous, nous idolâtrons les brunes, parce qu’elles sont brunes, et les blondes parce qu’elles sont blondes ; l’une, pour ses yeux aigus, qui vont au cœur, l’autre pour sa voix qui fait vibrer nos nerfs ; celle-ci pour sa lèvre rouge, celle-là pour la cambrure de sa taille ; et, comme nous ne pouvons cueillir toutes ces fleurs en même temps, la nature a mis en nous la toquade, le caprice fou qui nous les fait désirer à tour de rôle, augmentant ainsi la valeur de chacune à l’heure de l’affolement.

Or, l’affolement chez l’homme ne dure guère ; c’est la période d’attente. Le désir satisfait change l’amour en reconnaissance polie. Indignez-vous, idéalistes !

Les uns font ce trajet d’une passion à l’autre en huit jours, d’autres en un mois, d’autres en six, d’autres en un an. Question de temps, de lenteur de cœur et d’habitudes prises.

Mais la femme ! Ah ! la femme suit une route diamétralement opposée. Voilà le danger.

Au moment où l’amoureux fait le siège, où tous ses désirs éveillés lui font croire qu’il aime de passion, il est éloquent, pressant, persuasif. Il promet tout ce qu’on veut, s’engage aux sacrifices les plus surhumains. La femme, elle, est inquiète, troublée, ravie qu’on s’occupe d’elle, mais pas amoureuse pour un sou. Elle se dit : « Ce pauvre garçon, il m’aime terriblement tout de même » ; et elle s’attendrit sur cet amour par bonté de cœur et par vanité satisfaite. Cependant elle a des craintes, ne veut pas trop s’engager, et elle parle de caprice, de caprice sans durée trop longue. C’est si charmant, un caprice ! Cela laisse au cœur un souvenir doux, nullement amer. C’est la page volante de la vie.

Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.

Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais — Comment ? dira-t-on. — Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.

Alors commence la chaîne.

Lui de jour en jour, regarde de plus en plus les autres femmes : de jour en jour, il sent poindre en son cœur des soupçons de désirs nouveaux, des chatouillements de passions à naître. De jour en jour il comprend davantage que l’âme n’est jamais satisfaite, que la beauté a des manifestations sans nombre, que le charme de la vie est dans le changement et la variété.

Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !

C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » — La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !

Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.

L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.

Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.

Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :

— Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?

— Mais, oui.

— Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !

— Mais puisque je te le dis !

— C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?

— Oui.

— Promets-moi que tu ne me trompes pas ?

— Non.

— Quoi, non ?

— Je ne te trompe pas.

— Tu me le jures ?

Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.

Le nœud gordien est là, indénouable.

Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :

Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;

Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…

Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.

J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?

Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.

Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde. — « On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? » — On les garde toutes, monsieur.

Maupassant qui nous incite à posséder un harem https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Le 15 janvier 2022 à 18:00:42 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:51:26 :

Le 15 janvier 2022 à 17:50:28 FemmeChanceuse a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:48:14 :

Le 15 janvier 2022 à 17:42:56 :

Le 15 janvier 2022 à 17:27:41 :

Le 15 janvier 2022 à 17:20:44 :

Le 15 janvier 2022 à 17:19:27 :

Le 15 janvier 2022 à 17:10:49 :

Le 15 janvier 2022 à 17:04:52 :

Le 15 janvier 2022 à 17:01:42 :

Le 15 janvier 2022 à 16:59:22 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 16:41:18 :

Le 15 janvier 2022 à 16:31:36 :

Le 15 janvier 2022 à 16:27:35 :

Le 15 janvier 2022 à 16:26:56 Asket a écrit :
Mon ex préférait largement Bloom dans le film, même quand il se soumet comme une pute pendant le combat https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et tu la crois cette hypocrite ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Oui, malheureusement.

Elle avait plein de réactions quand elle le voyait, s'accrochait à moi quand il était en mauvaise posture https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et pourtant c'était une modèle slave, à dire qu'il n'existe plus de vrais hommes. Comme quoi les femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

et ce gros dzeta tout fier de venir nous raconter qu'il servait d'animal de réconfort à sa meuf qui s'inquiétait pour un autre ahii

Elle t'incluait surement quand elle parlait du fait qu'il n'y avait plus de vrais hommes

Le gros zéta à la fin du film il a sauté une fille qui avait posé pour les plus grand marques de mode https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Tu gères comment la situation ? Tu coupes le film et tu la vires de chez toi ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Si tu l'a pas fait orgasmer ça compte pas https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

Et donc tu te rassures comme ça ?

Tu crois que j'ai que ça à faire de vanter mes exploits sexuels sur ce forum ?

La seule chose que je peux montrer c'est ça : https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642263366-feeler.jpg
Libre à vous de croire que j'ai accès au sexe féminin ou pas.

Non mais je te demandais simplement si tu te rassurais en te disant que de toutes façons tu es surement dans les 95%:hap:

Non mais je pense toujours à cette chanson de Brassens quand ça part en concours de performances sexuelle sur ce forum.

Après des années d'expériences, et multiples conquêtes je pense justement être dans le top 10% :hap:

Alterner violence/douceur, comprendre quelle position déclenche son orgasme (ça dépend clairement de chaque fille), la mettre dans un bon conexte (très important pour les plus belles filles) et bien leur bouffer la chatte :hap:

Brassens dit totalement vrai dans la chanson en tout cas

En lisant les paroles on dirait pas que c'est un homme qui parle d'ailleurs

Un de ses plus belle chanson, intemporelle... enfin jusqu'à la démocratisation des robots sexuels https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Après son texte, c'est surtout pour les relations longues je trouve. Les premiers mois vous avez un peu de libido :hap:

Il a clairement pénétré la psyché féminine

Il a eu pleins de femmes dans sa vie et a su les observer, s'y intéresser

Lis Otto Weininger maintenant https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

The Manipulated Man - Esther Vila
Men on Strike - Helen Smith

Pour des redpills venant elles même des femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2019/24/7/1560644833-dracenfumette.png

Rien que les titres sont violents https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Le 15 janvier 2022 à 18:07:22 :

Le 15 janvier 2022 à 17:58:27 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:50:28 :

Le 15 janvier 2022 à 17:48:14 :

Le 15 janvier 2022 à 17:42:56 :

Le 15 janvier 2022 à 17:27:41 :

Le 15 janvier 2022 à 17:20:44 :

Le 15 janvier 2022 à 17:19:27 :

Le 15 janvier 2022 à 17:10:49 :

Le 15 janvier 2022 à 17:04:52 :

Le 15 janvier 2022 à 17:01:42 :

Le 15 janvier 2022 à 16:59:22 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 16:41:18 :

Le 15 janvier 2022 à 16:31:36 :

Le 15 janvier 2022 à 16:27:35 :

Le 15 janvier 2022 à 16:26:56 Asket a écrit :
Mon ex préférait largement Bloom dans le film, même quand il se soumet comme une pute pendant le combat https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et tu la crois cette hypocrite ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Oui, malheureusement.

Elle avait plein de réactions quand elle le voyait, s'accrochait à moi quand il était en mauvaise posture https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et pourtant c'était une modèle slave, à dire qu'il n'existe plus de vrais hommes. Comme quoi les femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

et ce gros dzeta tout fier de venir nous raconter qu'il servait d'animal de réconfort à sa meuf qui s'inquiétait pour un autre ahii

Elle t'incluait surement quand elle parlait du fait qu'il n'y avait plus de vrais hommes

Le gros zéta à la fin du film il a sauté une fille qui avait posé pour les plus grand marques de mode https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Tu gères comment la situation ? Tu coupes le film et tu la vires de chez toi ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Si tu l'a pas fait orgasmer ça compte pas https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

Et donc tu te rassures comme ça ?

Tu crois que j'ai que ça à faire de vanter mes exploits sexuels sur ce forum ?

La seule chose que je peux montrer c'est ça : https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642263366-feeler.jpg
Libre à vous de croire que j'ai accès au sexe féminin ou pas.

Non mais je te demandais simplement si tu te rassurais en te disant que de toutes façons tu es surement dans les 95%:hap:

Non mais je pense toujours à cette chanson de Brassens quand ça part en concours de performances sexuelle sur ce forum.

Après des années d'expériences, et multiples conquêtes je pense justement être dans le top 10% :hap:

Alterner violence/douceur, comprendre quelle position déclenche son orgasme (ça dépend clairement de chaque fille), la mettre dans un bon conexte (très important pour les plus belles filles) et bien leur bouffer la chatte :hap:

Brassens dit totalement vrai dans la chanson en tout cas

En lisant les paroles on dirait pas que c'est un homme qui parle d'ailleurs

Un de ses plus belle chanson, intemporelle... enfin jusqu'à la démocratisation des robots sexuels https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Après son texte, c'est surtout pour les relations longues je trouve. Les premiers mois vous avez un peu de libido :hap:

Il a clairement pénétré la psyché féminine

Il a eu pleins de femmes dans sa vie et a su les observer, s'y intéresser

Ça fait des millénaires qu'on le sait que les relations hommes femmes sont un simple échange de valeur, malgré toute la surcouche d’hypocrisie qu'on y rajoute.

Un khey m'a fait découvrir un petit texte de Maupassant dans le même style il y a peu :

Faisons l’histoire banale et simple de toutes les tendresses mondaines. La psychologie en est toujours la même.

Le cœur féminin diffère en tout du cœur de l’homme. Nous autres, vrais amateurs de beauté, c’est la femme que nous adorons ; et quand nous choisissons passagèrement une femme, c’est un hommage rendu à leur race entière. Est-il un ivrogne, est-il un gourmet qui boive sempiternellement d’un seul cru ? Il aime le vin et non pas un vin ; le bordeaux, parce que c’est le bordeaux, et le bourgogne, parce que c’est le bourgogne. Nous, nous idolâtrons les brunes, parce qu’elles sont brunes, et les blondes parce qu’elles sont blondes ; l’une, pour ses yeux aigus, qui vont au cœur, l’autre pour sa voix qui fait vibrer nos nerfs ; celle-ci pour sa lèvre rouge, celle-là pour la cambrure de sa taille ; et, comme nous ne pouvons cueillir toutes ces fleurs en même temps, la nature a mis en nous la toquade, le caprice fou qui nous les fait désirer à tour de rôle, augmentant ainsi la valeur de chacune à l’heure de l’affolement.

Or, l’affolement chez l’homme ne dure guère ; c’est la période d’attente. Le désir satisfait change l’amour en reconnaissance polie. Indignez-vous, idéalistes !

Les uns font ce trajet d’une passion à l’autre en huit jours, d’autres en un mois, d’autres en six, d’autres en un an. Question de temps, de lenteur de cœur et d’habitudes prises.

Mais la femme ! Ah ! la femme suit une route diamétralement opposée. Voilà le danger.

Au moment où l’amoureux fait le siège, où tous ses désirs éveillés lui font croire qu’il aime de passion, il est éloquent, pressant, persuasif. Il promet tout ce qu’on veut, s’engage aux sacrifices les plus surhumains. La femme, elle, est inquiète, troublée, ravie qu’on s’occupe d’elle, mais pas amoureuse pour un sou. Elle se dit : « Ce pauvre garçon, il m’aime terriblement tout de même » ; et elle s’attendrit sur cet amour par bonté de cœur et par vanité satisfaite. Cependant elle a des craintes, ne veut pas trop s’engager, et elle parle de caprice, de caprice sans durée trop longue. C’est si charmant, un caprice ! Cela laisse au cœur un souvenir doux, nullement amer. C’est la page volante de la vie.

Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.

Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais — Comment ? dira-t-on. — Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.

Alors commence la chaîne.

Lui de jour en jour, regarde de plus en plus les autres femmes : de jour en jour, il sent poindre en son cœur des soupçons de désirs nouveaux, des chatouillements de passions à naître. De jour en jour il comprend davantage que l’âme n’est jamais satisfaite, que la beauté a des manifestations sans nombre, que le charme de la vie est dans le changement et la variété.

Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !

C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » — La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !

Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.

L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.

Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.

Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :

— Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?

— Mais, oui.

— Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !

— Mais puisque je te le dis !

— C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?

— Oui.

— Promets-moi que tu ne me trompes pas ?

— Non.

— Quoi, non ?

— Je ne te trompe pas.

— Tu me le jures ?

Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.

Le nœud gordien est là, indénouable.

Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :

Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;

Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…

Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.

J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?

Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.

Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde. — « On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? » — On les garde toutes, monsieur.

Maupassant qui nous incite à posséder un harem https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Je ne crois pas beaucoup a la loi de la pesanteur, il est en effet plus facile de lever une femme que de la laisser tomber.

Courteline qui devait boucler sur le jvc de son époque https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Le 15 janvier 2022 à 18:09:42 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 18:07:22 :

Le 15 janvier 2022 à 17:58:27 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 17:50:28 :

Le 15 janvier 2022 à 17:48:14 :

Le 15 janvier 2022 à 17:42:56 :

Le 15 janvier 2022 à 17:27:41 :

Le 15 janvier 2022 à 17:20:44 :

Le 15 janvier 2022 à 17:19:27 :

Le 15 janvier 2022 à 17:10:49 :

Le 15 janvier 2022 à 17:04:52 :

Le 15 janvier 2022 à 17:01:42 :

Le 15 janvier 2022 à 16:59:22 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 16:41:18 :

Le 15 janvier 2022 à 16:31:36 :

Le 15 janvier 2022 à 16:27:35 :

Le 15 janvier 2022 à 16:26:56 Asket a écrit :
Mon ex préférait largement Bloom dans le film, même quand il se soumet comme une pute pendant le combat https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et tu la crois cette hypocrite ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Oui, malheureusement.

Elle avait plein de réactions quand elle le voyait, s'accrochait à moi quand il était en mauvaise posture https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et pourtant c'était une modèle slave, à dire qu'il n'existe plus de vrais hommes. Comme quoi les femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

et ce gros dzeta tout fier de venir nous raconter qu'il servait d'animal de réconfort à sa meuf qui s'inquiétait pour un autre ahii

Elle t'incluait surement quand elle parlait du fait qu'il n'y avait plus de vrais hommes

Le gros zéta à la fin du film il a sauté une fille qui avait posé pour les plus grand marques de mode https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Tu gères comment la situation ? Tu coupes le film et tu la vires de chez toi ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Si tu l'a pas fait orgasmer ça compte pas https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

Et donc tu te rassures comme ça ?

Tu crois que j'ai que ça à faire de vanter mes exploits sexuels sur ce forum ?

La seule chose que je peux montrer c'est ça : https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642263366-feeler.jpg
Libre à vous de croire que j'ai accès au sexe féminin ou pas.

Non mais je te demandais simplement si tu te rassurais en te disant que de toutes façons tu es surement dans les 95%:hap:

Non mais je pense toujours à cette chanson de Brassens quand ça part en concours de performances sexuelle sur ce forum.

Après des années d'expériences, et multiples conquêtes je pense justement être dans le top 10% :hap:

Alterner violence/douceur, comprendre quelle position déclenche son orgasme (ça dépend clairement de chaque fille), la mettre dans un bon conexte (très important pour les plus belles filles) et bien leur bouffer la chatte :hap:

Brassens dit totalement vrai dans la chanson en tout cas

En lisant les paroles on dirait pas que c'est un homme qui parle d'ailleurs

Un de ses plus belle chanson, intemporelle... enfin jusqu'à la démocratisation des robots sexuels https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Après son texte, c'est surtout pour les relations longues je trouve. Les premiers mois vous avez un peu de libido :hap:

Il a clairement pénétré la psyché féminine

Il a eu pleins de femmes dans sa vie et a su les observer, s'y intéresser

Ça fait des millénaires qu'on le sait que les relations hommes femmes sont un simple échange de valeur, malgré toute la surcouche d’hypocrisie qu'on y rajoute.

Un khey m'a fait découvrir un petit texte de Maupassant dans le même style il y a peu :

Faisons l’histoire banale et simple de toutes les tendresses mondaines. La psychologie en est toujours la même.

Le cœur féminin diffère en tout du cœur de l’homme. Nous autres, vrais amateurs de beauté, c’est la femme que nous adorons ; et quand nous choisissons passagèrement une femme, c’est un hommage rendu à leur race entière. Est-il un ivrogne, est-il un gourmet qui boive sempiternellement d’un seul cru ? Il aime le vin et non pas un vin ; le bordeaux, parce que c’est le bordeaux, et le bourgogne, parce que c’est le bourgogne. Nous, nous idolâtrons les brunes, parce qu’elles sont brunes, et les blondes parce qu’elles sont blondes ; l’une, pour ses yeux aigus, qui vont au cœur, l’autre pour sa voix qui fait vibrer nos nerfs ; celle-ci pour sa lèvre rouge, celle-là pour la cambrure de sa taille ; et, comme nous ne pouvons cueillir toutes ces fleurs en même temps, la nature a mis en nous la toquade, le caprice fou qui nous les fait désirer à tour de rôle, augmentant ainsi la valeur de chacune à l’heure de l’affolement.

Or, l’affolement chez l’homme ne dure guère ; c’est la période d’attente. Le désir satisfait change l’amour en reconnaissance polie. Indignez-vous, idéalistes !

Les uns font ce trajet d’une passion à l’autre en huit jours, d’autres en un mois, d’autres en six, d’autres en un an. Question de temps, de lenteur de cœur et d’habitudes prises.

Mais la femme ! Ah ! la femme suit une route diamétralement opposée. Voilà le danger.

Au moment où l’amoureux fait le siège, où tous ses désirs éveillés lui font croire qu’il aime de passion, il est éloquent, pressant, persuasif. Il promet tout ce qu’on veut, s’engage aux sacrifices les plus surhumains. La femme, elle, est inquiète, troublée, ravie qu’on s’occupe d’elle, mais pas amoureuse pour un sou. Elle se dit : « Ce pauvre garçon, il m’aime terriblement tout de même » ; et elle s’attendrit sur cet amour par bonté de cœur et par vanité satisfaite. Cependant elle a des craintes, ne veut pas trop s’engager, et elle parle de caprice, de caprice sans durée trop longue. C’est si charmant, un caprice ! Cela laisse au cœur un souvenir doux, nullement amer. C’est la page volante de la vie.

Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.

Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais — Comment ? dira-t-on. — Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.

Alors commence la chaîne.

Lui de jour en jour, regarde de plus en plus les autres femmes : de jour en jour, il sent poindre en son cœur des soupçons de désirs nouveaux, des chatouillements de passions à naître. De jour en jour il comprend davantage que l’âme n’est jamais satisfaite, que la beauté a des manifestations sans nombre, que le charme de la vie est dans le changement et la variété.

Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !

C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » — La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !

Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.

L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.

Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.

Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :

— Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?

— Mais, oui.

— Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !

— Mais puisque je te le dis !

— C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?

— Oui.

— Promets-moi que tu ne me trompes pas ?

— Non.

— Quoi, non ?

— Je ne te trompe pas.

— Tu me le jures ?

Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.

Le nœud gordien est là, indénouable.

Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :

Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;

Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…

Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.

J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?

Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.

Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde. — « On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? » — On les garde toutes, monsieur.

Maupassant qui nous incite à posséder un harem https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Je ne crois pas beaucoup a la loi de la pesanteur, il est en effet plus facile de lever une femme que de la laisser tomber.

Courteline qui devait boucler sur le jvc de son époque https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Exact il avait tout compris https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Le 15 janvier 2022 à 17:58:27 :

Le 15 janvier 2022 à 17:50:28 :

Le 15 janvier 2022 à 17:48:14 :

Le 15 janvier 2022 à 17:42:56 :

Le 15 janvier 2022 à 17:27:41 :

Le 15 janvier 2022 à 17:20:44 :

Le 15 janvier 2022 à 17:19:27 :

Le 15 janvier 2022 à 17:10:49 :

Le 15 janvier 2022 à 17:04:52 :

Le 15 janvier 2022 à 17:01:42 :

Le 15 janvier 2022 à 16:59:22 Asket a écrit :

Le 15 janvier 2022 à 16:41:18 :

Le 15 janvier 2022 à 16:31:36 :

Le 15 janvier 2022 à 16:27:35 :

Le 15 janvier 2022 à 16:26:56 Asket a écrit :
Mon ex préférait largement Bloom dans le film, même quand il se soumet comme une pute pendant le combat https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et tu la crois cette hypocrite ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Oui, malheureusement.

Elle avait plein de réactions quand elle le voyait, s'accrochait à moi quand il était en mauvaise posture https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Et pourtant c'était une modèle slave, à dire qu'il n'existe plus de vrais hommes. Comme quoi les femmes https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

et ce gros dzeta tout fier de venir nous raconter qu'il servait d'animal de réconfort à sa meuf qui s'inquiétait pour un autre ahii

Elle t'incluait surement quand elle parlait du fait qu'il n'y avait plus de vrais hommes

Le gros zéta à la fin du film il a sauté une fille qui avait posé pour les plus grand marques de mode https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Tu gères comment la situation ? Tu coupes le film et tu la vires de chez toi ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Si tu l'a pas fait orgasmer ça compte pas https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642152520-66124298-c86e-47d6-acde-c0aa05b1dcd1.jpeg

Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
À l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère!
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seule fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

Et donc tu te rassures comme ça ?

Tu crois que j'ai que ça à faire de vanter mes exploits sexuels sur ce forum ?

La seule chose que je peux montrer c'est ça : https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642263366-feeler.jpg
Libre à vous de croire que j'ai accès au sexe féminin ou pas.

Non mais je te demandais simplement si tu te rassurais en te disant que de toutes façons tu es surement dans les 95%:hap:

Non mais je pense toujours à cette chanson de Brassens quand ça part en concours de performances sexuelle sur ce forum.

Après des années d'expériences, et multiples conquêtes je pense justement être dans le top 10% :hap:

Alterner violence/douceur, comprendre quelle position déclenche son orgasme (ça dépend clairement de chaque fille), la mettre dans un bon conexte (très important pour les plus belles filles) et bien leur bouffer la chatte :hap:

Brassens dit totalement vrai dans la chanson en tout cas

En lisant les paroles on dirait pas que c'est un homme qui parle d'ailleurs

Un de ses plus belle chanson, intemporelle... enfin jusqu'à la démocratisation des robots sexuels https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Après son texte, c'est surtout pour les relations longues je trouve. Les premiers mois vous avez un peu de libido :hap:

Il a clairement pénétré la psyché féminine

Il a eu pleins de femmes dans sa vie et a su les observer, s'y intéresser

Ça fait des millénaires qu'on le sait que les relations hommes femmes sont un simple échange de valeur, malgré toute la surcouche d’hypocrisie qu'on y rajoute.

Un khey m'a fait découvrir un petit texte de Maupassant dans le même style il y a peu :

Faisons l’histoire banale et simple de toutes les tendresses mondaines. La psychologie en est toujours la même.

Le cœur féminin diffère en tout du cœur de l’homme. Nous autres, vrais amateurs de beauté, c’est la femme que nous adorons ; et quand nous choisissons passagèrement une femme, c’est un hommage rendu à leur race entière. Est-il un ivrogne, est-il un gourmet qui boive sempiternellement d’un seul cru ? Il aime le vin et non pas un vin ; le bordeaux, parce que c’est le bordeaux, et le bourgogne, parce que c’est le bourgogne. Nous, nous idolâtrons les brunes, parce qu’elles sont brunes, et les blondes parce qu’elles sont blondes ; l’une, pour ses yeux aigus, qui vont au cœur, l’autre pour sa voix qui fait vibrer nos nerfs ; celle-ci pour sa lèvre rouge, celle-là pour la cambrure de sa taille ; et, comme nous ne pouvons cueillir toutes ces fleurs en même temps, la nature a mis en nous la toquade, le caprice fou qui nous les fait désirer à tour de rôle, augmentant ainsi la valeur de chacune à l’heure de l’affolement.

Or, l’affolement chez l’homme ne dure guère ; c’est la période d’attente. Le désir satisfait change l’amour en reconnaissance polie. Indignez-vous, idéalistes !

Les uns font ce trajet d’une passion à l’autre en huit jours, d’autres en un mois, d’autres en six, d’autres en un an. Question de temps, de lenteur de cœur et d’habitudes prises.

Mais la femme ! Ah ! la femme suit une route diamétralement opposée. Voilà le danger.

Au moment où l’amoureux fait le siège, où tous ses désirs éveillés lui font croire qu’il aime de passion, il est éloquent, pressant, persuasif. Il promet tout ce qu’on veut, s’engage aux sacrifices les plus surhumains. La femme, elle, est inquiète, troublée, ravie qu’on s’occupe d’elle, mais pas amoureuse pour un sou. Elle se dit : « Ce pauvre garçon, il m’aime terriblement tout de même » ; et elle s’attendrit sur cet amour par bonté de cœur et par vanité satisfaite. Cependant elle a des craintes, ne veut pas trop s’engager, et elle parle de caprice, de caprice sans durée trop longue. C’est si charmant, un caprice ! Cela laisse au cœur un souvenir doux, nullement amer. C’est la page volante de la vie.

Quant à lui, caprice ou autre chose, il s’en moque bien, pourvu que le résultat soit le même. Et le résultat qu’il poursuit est le même.

Alors il triomphe. L’assiégeant emporte la place. Or, une fois maître, il s’aperçoit peu à peu que cette conquête, qu’il jugeait de loin incomparable, ne vaut en somme ni plus ni moins que les précédentes. Mais la vaincue commence à aimer son vainqueur, bien faiblement encore, il est vrai, comme un usurier peut aimer le beau viveur à qui il vient de prêter cinq cents louis. Elle a fait une avance de fonds et elle tient à rentrer dans ses frais — Comment ? dira-t-on. — Mais elle a risqué sa réputation, sa tranquillité, l’ordre de sa vie. Et puis toute femme prend toujours au sérieux le fameux mot : « capital » de M. Dumas. Oh ! elle en altère le sens, par exemple, estimant inépuisable ce capital que M. Dumas juge perdu si vite.

Alors commence la chaîne.

Lui de jour en jour, regarde de plus en plus les autres femmes : de jour en jour, il sent poindre en son cœur des soupçons de désirs nouveaux, des chatouillements de passions à naître. De jour en jour il comprend davantage que l’âme n’est jamais satisfaite, que la beauté a des manifestations sans nombre, que le charme de la vie est dans le changement et la variété.

Mais, elle, de jour en jour s’attache davantage, comme une plante qui pousse en un sol nouveau. Ses baisers sont des racines qui s’enfoncent de plus en plus. Elle aime ! Elle s’est donnée, toute, s’est enfermée, murée dans son amour. Son existence n’a plus d’autre horizon, sa pensée d’autre aspiration, toute sa personne d’autre besoin que d’être aimée !

C’est la chaîne, la servitude involontaire, qui commence. C’est la litanie des paroles tendres, enfantines et ridicules : « Mon rat, mon chat, mon gros loup, mon adoré. » — La persécution de la tendresse. Elle avait parlé de caprice ! Ah ! bien, oui !

Il veut rompre, il essaye timidement. Mais allez-vous-en rompre avec une femme qui vous adore, qui vous martyrise d’attentions, qui vous torture de prévenances, une femme dont l’unique souci est de vous plaire. Rompre ! Plus souvent ! La chaîne est solide ; on ne la casse pas ainsi, on la traîne.

L’affection de l’une augmentant toujours, et celle de l’autre diminuant sans cesse, ils en arrivent à faire comme deux musiciens jouant ensemble, dont l’un accélérerait peu à peu son mouvement, tandis que l’autre ralentirait le sien.

Un proverbe a dit : « La femme est comme votre ombre ; suivez-la, elle vous fuit ; fuyez-la, elle vous suit. » Ce proverbe est d’une éternelle vérité. Avec son instinct d’amoureuse, elle devine que vous l’abandonnez, et elle s’acharne, se cramponne à vous.

Tous les jours recommencent les questions harcelantes et intempestives, auxquelles il est impossible de répondre :

— Tu m’aimes toujours, n’est-ce pas ?

— Mais, oui.

— Répète-le-moi, j’ai besoin de l’entendre !

— Mais puisque je te le dis !

— C’est bien vrai, ça, que vous m’aimez encore un peu, gros méchant ?

— Oui.

— Promets-moi que tu ne me trompes pas ?

— Non.

— Quoi, non ?

— Je ne te trompe pas.

— Tu me le jures ?

Eh ! parbleu, oui, il le jure. Que voulez-vous qu’il fasse ? Et les femmes les plus intelligentes, à ce moment psychologique, répètent invariablement ces séries d’interpellations aussi inutiles que maladroites.

Le nœud gordien est là, indénouable.

Deux solutions se présentent, toujours les mêmes :

Ou bien, de scène en scène, on arrive au combat final, au vrai combat ; aux gifles odieuses, aux coups déshonorants pour l’homme ; car celui qui lève la main sur une femme, pour n’importe quel motif, en quelque occasion que ce soit, n’est jamais qu’un pleutre, un goujat et une brute ;

Ou bien, il disparaît, lui, il s’éclipse, introuvable. Mais alors elle le cherche, acharnée, exaspérée, et quand elle le rencontre adorant une autre dans tout l’emportement d’une ardeur nouvelle, elle s’embusque au coin d’une rue, la fiole de vitriol à la main…

Voilà pourquoi, au lieu de nous faire des traités de morale qui ne servent à personne, ou des traductions d’Horace en vers français, il serait infiniment plus pratique de nous offrir un manuel raisonné de l’art de rompre. S’il est vrai (et c’est mon avis) que la gourmandise et l’amour soient les deux passe-temps les plus délicieux que nous ait donnés la nature, je ne vois pas pourquoi un philosophe subtil ne nous offrirait point le traité que je réclame, de même qu’on nous a présenté des collections de menus savants et des recettes de tout genre pour la satisfaction de notre palais.

J’en appelle à tous ceux qui font de l’amour la plus douce occupation de leur vie. La séparation n’est-elle pas le problème le plus redoutable proposé à leur intelligence et, toujours, le plus insoluble pour un galant homme ?

Jusqu’ici je n’entrevois qu’une solution que j’indique avec timidité, parce qu’elle n’est peut-être pas à la portée de tout le monde.

Quand on en a assez d’une femme, eh bien… eh bien, on la garde. — « On la garde, direz-vous ; mais la suivante… ? » — On les garde toutes, monsieur.

C'est une grosse pilule noire mais pour les femmes.

Et après les hommes ici se demandent pourquoi les femmes n'aiment pas les hommes mais il n'y a littéralement aucun intérêt pour nous d'après ce texte ahi :hap:

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Messi_a_Paris
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15 janvier 2022 à 15:38:38
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