[BORDEL] Le CACA quand tu as de la fièvre :bave:
Bordel de merde, cette sensation unique
La céleste praline qui descend tout en éructant un concerto de pets brûlants, musique amplifiée par le dôme immaculé de la blanche latrine
Les gargouillements tonitruants dans les malboges que sont nos entrailles, les frissons dans l'échine, le souffle chaud, la température qui grimpe à chaque minute passée sur le trône divin
Puis, c'est le déluge
Météore de merde qui s'en va en brisant les cieux et en rompant les sphincters, elle plonge telle une sirène marron et grasse aux fins fonds des profondeurs de la cuvette blafarde
Même Noé n'aurait pas été prêt, nulle arche n'aurait pu résister face à un tel torrent fécal
Et enfin, survient le crescendo, l'apothéose, le Ravissement
L'incroyable et étourdissant coup de caisse final, cette immense éclaboussure qui s'en va jusqu'au firmament chatouiller l'orifice meurtri, et qui permet de rappeler à toutes les âmes de la maisonnée qui donc a le plus gros fion du domaine
Bon par contre vu comment c'est gras on met 500 ans et 2 rouleaux de PQ pour s'essuyer décemment
Des questions ?
+ le pauvre Jacob les heures les plus sombres
Le 11 janvier 2022 à 22:08:57 :
Pour ça que si je suis chez moi, je go direct me rincer le cul sous la douche juste après, trop d'irritations y en a PLEIN LE CULdes arbres
Diantre mais comment aurais-je pû oublier
Après l'ouragan, sur la mer déchainée, arrive soudainement le calme, sous la forme d'une délicate pluie
Chassant au loin les brisures brunes sur l'orifice sacré, son toucher calme et humide n'a aucun égal en ce triste monde
Le 11 janvier 2022 à 22:11:16 :
Le 11 janvier 2022 à 22:08:57 :
Pour ça que si je suis chez moi, je go direct me rincer le cul sous la douche juste après, trop d'irritations y en a PLEIN LE CULdes arbresDiantre mais comment aurais-je pû oublier
Après l'ouragan, sur la mer déchainée, arrive soudainement le calme, sous la forme d'une délicate pluie
Chassant au loin les brisures brunes sur l'orifice sacré, son toucher calme et humide n'a aucun égal en ce triste monde
Tu m'as fait pleurer khey https://youtu.be/7DSY9IKWdFU&t=1m33s
Lorsqu’après un repas l’estomac vous tiraille,
Que tout au fond de vous le haricot travaille…
Qu’il est doux de penser que bientôt, pas très loin,
Vous courrez prestement pour chier dans un coin.
Qu’on est bien, accroupi, les coudes sur les cuisses,
Tandis qu’environné d’une troupe de Suisses
On exhibe au grand air l’hémisphère dodu
Qui cache encore aux yeux le chef-d’œuvre attendu.
Ami ! Il est, dit-on, un art en toute chose,
Aussi bien à chier qu’à cultiver les roses.
Or donc, pour opérer avec discernement,
Gardez-vous qu’un papier ne vienne absurdement
Lorsque l’œuvre est parfaite, écraser l’accessoire.
Tss ! Tss ! Pas de papier si vous voulez m’en croire,
Laissez aux constipés ce procédé piteux
Qui gâche absolument un plaisir si juteux,
Que le bout de l’index, seul, fasse cet office.
Quand il aura touché trois fois votre orifice
Qui vient de s’entrouvrir comme une tendre fleur,
Il teindra votre doigt d’une étrange couleur.
Ami, si vous voulez encor goûter des charmes,
Sur la blanche muraille, esquissez quelques larmes.
Et si, par aventure, abondant est l’extrait,
De celle que vous aimez vous ferez le portrait.
Le 11 janvier 2022 à 22:13:38 :
Cette ôde à la chiasse putain, c'est beauJe préfère démouler un étron bien solide en dépit de la prose de l'auteur
Le météore décrit plus tôt est un étron dantesque, tout comme le torrent est une chiasse des plus carabinées
Ce afin que le lecteur puisse se reconnaître et que ses souvenirs d'une grippe lointaine s'harmonisent avec ma prose
Le 11 janvier 2022 à 22:15:42 :
Le 11 janvier 2022 à 22:13:01 :
Quand on lit ton récit on a presque l'impression que tous les dieux étaient rassemblés quand ton caca est venuTel Orphée qui jadis jouait de sa lyre, on aurait cru que la nature entière se serait arrêtée, uniquement pour écouter cette symphonie issue des Enfers
On a presque l'impression que Lucifer pourrait surgir capturer ton caca pour le ramener dans les flammes
Le 11 janvier 2022 à 22:16:36 :
Lorsqu’après un repas l’estomac vous tiraille,Que tout au fond de vous le haricot travaille…
Qu’il est doux de penser que bientôt, pas très loin,
Vous courrez prestement pour chier dans un coin.
Qu’on est bien, accroupi, les coudes sur les cuisses,
Tandis qu’environné d’une troupe de Suisses
On exhibe au grand air l’hémisphère dodu
Qui cache encore aux yeux le chef-d’œuvre attendu.
Ami ! Il est, dit-on, un art en toute chose,
Aussi bien à chier qu’à cultiver les roses.
Or donc, pour opérer avec discernement,
Gardez-vous qu’un papier ne vienne absurdement
Lorsque l’œuvre est parfaite, écraser l’accessoire.
Tss ! Tss ! Pas de papier si vous voulez m’en croire,
Laissez aux constipés ce procédé piteux
Qui gâche absolument un plaisir si juteux,
Que le bout de l’index, seul, fasse cet office.
Quand il aura touché trois fois votre orifice
Qui vient de s’entrouvrir comme une tendre fleur,
Il teindra votre doigt d’une étrange couleur.
Ami, si vous voulez encor goûter des charmes,
Sur la blanche muraille, esquissez quelques larmes.
Et si, par aventure, abondant est l’extrait,
De celle que vous aimez vous ferez le portrait.
Le 11 janvier 2022 à 22:16:36 :
Lorsqu’après un repas l’estomac vous tiraille,Que tout au fond de vous le haricot travaille…
Qu’il est doux de penser que bientôt, pas très loin,
Vous courrez prestement pour chier dans un coin.
Qu’on est bien, accroupi, les coudes sur les cuisses,
Tandis qu’environné d’une troupe de Suisses
On exhibe au grand air l’hémisphère dodu
Qui cache encore aux yeux le chef-d’œuvre attendu.
Ami ! Il est, dit-on, un art en toute chose,
Aussi bien à chier qu’à cultiver les roses.
Or donc, pour opérer avec discernement,
Gardez-vous qu’un papier ne vienne absurdement
Lorsque l’œuvre est parfaite, écraser l’accessoire.
Tss ! Tss ! Pas de papier si vous voulez m’en croire,
Laissez aux constipés ce procédé piteux
Qui gâche absolument un plaisir si juteux,
Que le bout de l’index, seul, fasse cet office.
Quand il aura touché trois fois votre orifice
Qui vient de s’entrouvrir comme une tendre fleur,
Il teindra votre doigt d’une étrange couleur.
Ami, si vous voulez encor goûter des charmes,
Sur la blanche muraille, esquissez quelques larmes.
Et si, par aventure, abondant est l’extrait,
De celle que vous aimez vous ferez le portrait.
Données du topic
- Auteur
- SatnicTarass
- Date de création
- 11 janvier 2022 à 22:05:10
- Nb. messages archivés
- 41
- Nb. messages JVC
- 41