Donc quand quelqu'un se sent de l'autre sexe ce ne serait pas un trouble psychologique qu'on accompagne par la psychiatrie mais au contraire on va lui valider son mal être et dire que c'est la faute du corps qui marche très bien ?
En gros on trouve normal de supprimer des hormones parfaitement naturel chez lui, ou d'en injecter dans des doses anormal, de le mutiler, de lui faire perdre de la masse musculaire ou autre pour "changer de genre" alors que rien n'a changé au niveau cérébrale, ou au niveaux des chromosomes.
J'appelle ça un manque de déontologie, c'est devenu un business pour chirurgiens. Et si je me sens dauphin, ils vont me greffer des nageoires et un orifice au sommet du crâne ?
Tout les problèmes aujourd'hui, avec l'inclusion, avec le sport où les trans effacent les femmes dans leur propre catégories, etc tout ça vient du fait que ce genre d'opérations n'aurais jamais dû exister. C'est comme des expériences du Dr Mengele pendant la seconde GM. Alors que pendant des millénaires des gens qui se prennait peut-être pendant un temps pour l'autre sexe ont parfaitement pu vivre et s'accepter.