[PAVE] L'école = Centre de DRESSAGE !!!

Eh oui, vous avez bien lu, école = dressage ! école = conditionnement social !

Je pourrais même dire que la société humaine en général = dressage, nous sommes dans un centre de dressage à ciel ouvert. Et nous vivons tous dedans.

Le dressage est un phénomène psychologique, et non pas un phénomène logique.

Vous connaissez l'exemple du dressage de chien ?

Avec les enfants c'est la même méthode. On récompense les plus obéissants, et on punis les plus rebelles, ceux qui décident par eux-mêmes, qui ne se soumettent pas.

Car l'école n'est qu'un lieu de formatage, pour formater et habituer les enfants dès leur plus jeune âge à devenir plus tard des esclaves juste bons à bosser pour le système et les élites, et ce toute leur vie.
C'est du lavage de cerveau, du conditionnement social, une manipulation de masse, un peu comme avec le covid où les gens ont été formatés et habitués par les gouvernements à porter un masque sous peine de sanctions, et ce même en extérieur, alors que c'est complètement inutile.

Car maintenant, cela est presque devenu la norme à cause de tous ces gens, ces "moutons" obéissant aux ordres du système, sans réfléchir par eux-mêmes, sans se rebeller.
Ces gens ont acceptés cette nouvelle normalité, ils l'ont acceptée consciemment ou non, car la normalité de 2021 n'était pas du tout celle de 2019.
Ces gens là n'ont plus la moindre once d'esprit critique et de réflexion, étant trop habitué à obéir aux ordres, ils préfèrent rester dans leur zone de confort et subir plutôt que de prendre le risque de penser par eux-mêmes, et c'est exactement ce que le système veut. Ils deviennent des robots obéissants dénués d'âmes, dénués d'une identité propre, sans aucune volonté propre, ni plus ni moins.

Pour reprendre l'exemple de la crise covid, cela est flagrant, la haine des vaccinés à l'égard des non-vaccinés est exactement dû à ce phénomène.

Les non-vaccinés sont un problème pour les vaccinés, car les vaccinés étant soumis malgré eux, sont jaloux des non-vaccinés qui eux ont le courage de se lever, d'affronter les autres, et de ne pas être soumis aux règles, les vaccinés aimeraient être comme eux, mais ils sont trop paresseux, et tiennent trop à leur petit confort et leur routine pour accomplir les efforts nécessaires pour être dominants et mener leur vie plutôt que de la subir.
Ils préfèrent donc choisir la solution de facilité.

Car il y'a toujours les bergers = les gouvernements, les élites qui décident de tout pour tout le monde.

Et les moutons du berger = les peuples qui obéissent et qui rentrent à la bergerie, comme par exemple, lors d'un couvre-feu à 18 heures.

Et les moutons préfèreront taper sur un mouton dominant qui n'est pas comme la masse, plutôt que de s'unir tous ensemble et de taper sur le berger qui les tondras tous ou même les amèneras tous à l'abattoir.
Les moutons étant trop occupés à se battre entre eux, ils ne se rendent pas compte qu'ils sont pourtant tous dans le camion du berger qui les amènent à l'abattoir.

Mais revenons au sujet principal.
Il faut savoir qu'à leur âges, le cerveau des enfants est toujours en développement, ils n'ont pas d'esprits critique, pas de réflexion personnelle, on peut leur faire apprendre n'importe quoi et leur faire apprendre que c'est la norme, un peu comme des robots que l'on programme, et une fois ces programmes bien enregistrés dans la base de données qu'est le cerveaux, il est quasiment impossible de les retirer.
Car ce que les enfants vivent, les émotions qu'ils vivent, ce que l'on leur apprend comme valeurs à cet âge là, auront un impact sur toute leur vie...

Apprendre les bases comme savoir compter, lire, et écrire oui c'est important.
Mais les méthodes employées pour contrôler les élèves, aussi bien que celles utilisées pour contrôler les salariés dans une entreprise, relèvent d'un autre registre, car apprendre sous la menace de recevoir des punitions n'est pas une bonne manière d'apprendre, c'est malsain.
Dans une société normale et saine, voulant le bien de ses individus, apprendre devrait être un plaisir et non pas une contrainte ou une corvée. Ce qui n'est clairement pas le cas.

Je ne suis pas contre l'école ou "anti-école", je suis contre les méthodes de contrôle utilisées, car le problème ne se limite pas qu'à l'école, car comme le démontre le crise covid, il s'agit d'un phénomène bien plus global, qui empoisonne la société toute entière, et qui créé des gens soumis, des dépendants de le société à tel point qu'ils sont prêts à tout pour être l'esclave de celle-ci sans même s'en rendre compte, des gens malheureux, dépressifs, etc...

Vous comprenez donc qu'avec le bourrage de crâne du covidisme que le gouvernement français fait subir aux enfants dans les écoles actuellement, nous sommes en train de créer des futures générations d'hypocondriaques maniaques de l'hygiène, devenant paniqués à la moindre personne qui tousse dans la rue...

Personnellement cela me terrifie... Je n'aimerais pas être un enfant en 2022...

Je terminerais avec ceci,

Emmanuel Macron sache le, tu auras beau m'exclure des restaurants ou autres, cela ne servira à rien, tu n'es pas mon berger, je ne suis pas ton mouton, donc quoi que tu puisses faire, je suis né en homme libre, et je mourrai en homme libre. La mort plutôt que le déshonneur.

Le 07 janvier 2022 à 03:17:49 :
L'OP qui découvre ça que maintenant

Pourquoi tu rage ?
Tu viens d'apprendre une vérité douloureuse à entendre ?

Le 07 janvier 2022 à 03:24:44 :
Pour une fois ça va c'est aéré. j'ai pas lu nonobstant mais je parie que c'est du défonçage en règle de portes ouvertes

Ecrire sans aérer... Quelle erreur grossière...

La sonnerie de l'école = la sonnerie de l'usine

Le prof = le chef

Les cours d'histoire-géo = la tv

Le pire c'est que ces enflures pendant qu'il se débarrasse de nous sans vergogne, car ce qui nous tombe dessus actuellement, n'est que le début de ce qui nous tombera dessus demain. Ils cherchent à ce que nous soyons d'accord avec eux sur un point, qui est vu d'ici profondément immature et ne détiens aucune sagesse d'esprit :

(Vous êtes notre détention, vous nous appartenez, vous faites ce qu'on vous dit, même si cela est contraire a la pérennité de votre évolution consciente sur terre et celle de vos semblables.)

Le 07 janvier 2022 à 04:15:05 :
up

D'instinct les enfants iraient souvent jouer par exemple à la rivière, les plus grands surveillant les plus petits. Cela soulagerait les parents.

Il n'y aurait pas trop de danger dans cet environnement naturel et traditionnel, celui d'un village d'Autochtones d'Amazonie, par exemple.

D'instinct les enfants apprendraient à coopérer entre eux à travers le jeu, ce serait sain et libre.

En grandissant, ils iraient souvent voir ce que font les adultes, comment tailler une pirogue, faire un collier, comment chanter soi-même, commencer à chasser ou bien à méditer.

Ils poseraient des questions et cela inciterait la réponse, et serait l'occasion de glaner un vrai apprentissage. Ce serait sain et libre.

Comme ces gens de la tribu auraient tous les mêmes intérêts, faute de dominants et de dominés, alors à leurs conseils la parole serait posée, on laisserait parler, on écouterait l'argument, on construirait une logique sans partis-pris, et on prendrait le temps de bien tout déplier bien proprement, de tout bien examiner naturellement, simplement, directement, sans inutile complexité.

D'ailleurs quiconque pourrait ou non participer à ces conseils, les enfants même pourraient au moins y assister et ainsi apprendre à avoir une réflexion.

Oh il y aurait des héros, certes, mais pas pour imposer, seulement pour incarner et susciter l'exemple. Puisque chacun travaillerait pour tous par civilisation depuis la nuit des temps.

Bref, tout serait fonction de la liberté, la vraie.

Et rien ne serait séparé de poésie, d'art, de grâce, de peintures, etc.

L'instinct de tout cela est au départ en l'être humain, mais cette société dite moderne tue cet instinct dès le plus jeune âge. Chez nous, le bébé obéit et est tancé vertement. Et il y a certes les dangers. Et les parents sont obligés. Et les pressions sont pour tous innombrables. Alors place aux compétitions, normes, processus, automatismes, règles. Il faut l'étouffement de la conscience, du respect, de la parole. Il faut l'étouffemernt de tout, c'est pourquoi on se ferme, c'est pourquoi on hait l'autre qui ne dit pas la même chose.

Mais une économie viable nécessite des modalités de décision à même de produire des décisions adaptées aux enjeux. Faute de structures décisionnelles équitables, les décisions seront iniques et dénuées de perspective. Et le fait que les décisions, soient, par le pouvoir en tant que principe, confisquées, cela fait diverger les intérêts des uns et des autres, oppose tout le monde, et rend les décisions aveugles en terme même de gestion à long terme.

Ce qu'on appelle société en est l'inverse.

Alors la Terre "souffre" et est "malade". Un Aborigène peut le comprendre et le voir. Il peut se dire, mais où sont les abeilles, les oiseaux, les fleurs? Je vous le dis en vérité, il y a des bois où ne règne plus que le silence, et cela fait peur. Mais nous? On ne voit même le niveau des eaux monter, les guerres se multiplier, ou bien les algues pulluler, autrement qu'en thématiques isolées, alors que tout est relié.

Il serait complotiste de constater simplement qu’il y a exponentiellement plus de CO2 dans l’atmosphère, en même temps que les eaux et les sols sont plus acides, en même temps que les cas d’autisme, bien qu'encore rares, dans la population augmentent aussi exponentiellement, en même temps que l’andométriose est elle aussi multipliée, ou bien que la biodiversité a cessé de décroître pour commencer à s'effondrer en fait. Ce serait du complot de dire que tout converge, alors que notre Terre est une, bien sûr.

Pour nous: tel symptôme → tel médicament. Peut-être, cela se peut souvent. Mais la médecine est d'abord équilibre et corps tout entier. De même la Terre est une aussi.

Et l'individu est de liberté essentiellement. Comme la société dans son vrai sens. Privé de liberté il ne pourra rien respecter ni établir dans l'équilibre.

Achèteriez-vous une maison qui change de jour en jour de matériaux et de volume? Elle ne serait pas habitable longtemps. Pourtant c'est ce que prétend faire la "civilisation" du monde entier. Le changer tous les jours, aller toujours plus vite. Ce qui devient trop turbulent et trop exubérant finit par tomber brutalement. Long à l’échelle d’une vie humaine, mais le plus instantané à l’échelle de la vie terrestre.

La réussite de l’évolution n’est pas l’homme, cet exubérant qui accélère, mais le plus stable : le cœlacanthe, fossile vivant, qui a toujours été en équilibre et en complétude, et ne menace pas son environnement ni les autres espèces.

Plus haut, plus haut le CO2, plus profond et plus visqueux le pétrole ; plus intégrée et mondialisée, seulement à flux tendu, l'économie. Si on peut appeler économie cette façon de détruire la Terre et d'accélérer les choses parce qu'on n'a plus d'autre choix en fait pour maintenir la hiérarchie.

Effectivement, l'école est une de ces monstruosités. Elle est le lieu où l'on dresse les enfants à ne pas être en interaction sociale, mais à être des terminaux de hiérarchie.

Effectivement, l'école est le massacre des vraies constructions, et on est formaté pour ne produire que les seuls commentaires attendus et stériles des dissertations. Non pour pouvoir apprendre ni formuler par soi-même.

Heureusement qu'il reste encore souvent en nous l'instinct bohème, nomade, humain, inscrit au fond de nos gènes.

Bien que désormais sans doute aussi nos aptitudes sociales puissent être influencées par les imitateurs hormonaux, alors que ce sont normalement les hormones naturelles qui déterminent les comportements sociaux.

D'où viendra la réponse? Un déséquilibre n'a qu'un temps. Sans doute de la Terre qui nous démontrera qu'on a voulu construire sur du sable une maison bien trop exubérante et complètement déréglée et folle.

Mais on ne l'apprendra pas à l'école.

Sauf à l'école de l'Anarchie au sens noble et philosophique du terme et que Paul Paillette a chanté comme l'Heureux Temps.