Ensuite elle a continué :
"On dit communément que la femme est plus fidèle que l'homme, et en effet, la fidélité est pour l'homme une contrainte, qu'il s'impose volontairement et consciemment. Il pourra trahir son engagement, mais le considérera, ou du moins le ressentira, toujours comme sacré. Lorsqu'il se rend coupable d'adultère, c'est qu'il n'a pas laissé parler en lui son moi intelligible. Pour la femme, l'adultère n'est qu'un jeu excitant, dans lequel la pensée de la moralité n'a pas de part, mais seulement celle de la sécurité et de la réputation. Il n'existe aucune femme qui n'ait, en pensée au moins, trompé son mari sans cependant avoir jugé devoir se le reprocher. "
Chaud quand même