Topic de Azlok379 :

Et si les rêves ne se passait pas dans le cerveau

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Les rêves se passerait dans le vrai monde et notre réalité n'est qu'un rêve qu'il se termine une fois mort. À la mort ont est renvoyer dans le monde des rêves donc le vrai monde.

Le 03 janvier 2022 à 03:30:34 :
L'auteur en ce moment --->
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1493857217-and-that-s-how-medic-lost-his-medical-license-by-thetig3r42-d4kljwy.jpg

Le pseudo à beau être Azlok, le seul mongole que je vois ici c'est toi. Ce qu'il dit est une réflexion pertinente

Et pourtant la vie la plus intense de cette réalité de rêve nous laisse encore le sentiment confus qu’elle n’est qu’une apparence. C’est du moins le résultat de ma propre expérience et je pourrais citer maints témoignages et aussi les déclarations des poètes pour montrer combien cette impression est normale et répandue. L’homme doué d’un esprit philosophique a même le pressentiment que, derrière la réalité dans laquelle nous existons et vivons, il s’en cache une autre toute différente, et que, par conséquent, la première n’est, elle aussi, qu’une apparence ; et Schopenhauer définit formellement, comme étant le signe distinctif de l’aptitude philosophique, la faculté pour certains de se représenter parfois les hommes et toutes les choses comme de purs fantômes, des images de rêve. Eh bien, l’homme doué d’une sensibilité artistique se comporte à l’égard de la réalité du rêve de la même manière que le philosophe en face de la réalité de l’existence ; il l’examine minutieusement et volontiers : car, dans ces tableaux, il découvre une interprétation de la vie ; à l’aide de ces exemples, il s’exerce pour la vie. Ce ne sont pas seulement, comme on pourrait croire, les images agréables et plaisantes qu’il retrouve en soi-même avec cette absolue lucidité : le sévère, le sombre, le triste, le sinistre, les obstacles soudains, les railleries du hasard, les attentes angoissées, en un mot toute la Divine Comédie de la vie, avec son Inferno, se déroule aussi devant lui, non pas seulement comme un spectacle de fantômes, d’ombres, — car, ces scènes, il les vit et les souffre, — et cependant sans qu’il puisse écarter tout à fait cette impression fugitive qu’elles ne sont qu’une apparence. Et peut-être quelques-uns se souviendront comme moi de s’être écrié, en se rassurant au milieu des périls et des terreurs d’un rêve : « C’est un rêve ! Je ne veux pas qu’il cesse ! Je veux le rêver encore ! »

Le 03 janvier 2022 à 03:32:57 :

Le 03 janvier 2022 à 03:30:34 :
L'auteur en ce moment --->
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1493857217-and-that-s-how-medic-lost-his-medical-license-by-thetig3r42-d4kljwy.jpg

Le pseudo à beau être Azlok, le seul mongole que je vois ici c'est toi. Ce qu'il dit est une réflexion pertinente

Ok masturbin https://image.noelshack.com/fichiers/2019/01/6/1546726912-2ldenj.jpg

Le 03 janvier 2022 à 03:33:26 FionDeBloom a écrit :
Et pourtant la vie la plus intense de cette réalité de rêve nous laisse encore le sentiment confus qu’elle n’est qu’une apparence. C’est du moins le résultat de ma propre expérience et je pourrais citer maints témoignages et aussi les déclarations des poètes pour montrer combien cette impression est normale et répandue. L’homme doué d’un esprit philosophique a même le pressentiment que, derrière la réalité dans laquelle nous existons et vivons, il s’en cache une autre toute différente, et que, par conséquent, la première n’est, elle aussi, qu’une apparence ; et Schopenhauer définit formellement, comme étant le signe distinctif de l’aptitude philosophique, la faculté pour certains de se représenter parfois les hommes et toutes les choses comme de purs fantômes, des images de rêve. Eh bien, l’homme doué d’une sensibilité artistique se comporte à l’égard de la réalité du rêve de la même manière que le philosophe en face de la réalité de l’existence ; il l’examine minutieusement et volontiers : car, dans ces tableaux, il découvre une interprétation de la vie ; à l’aide de ces exemples, il s’exerce pour la vie. Ce ne sont pas seulement, comme on pourrait croire, les images agréables et plaisantes qu’il retrouve en soi-même avec cette absolue lucidité : le sévère, le sombre, le triste, le sinistre, les obstacles soudains, les railleries du hasard, les attentes angoissées, en un mot toute la Divine Comédie de la vie, avec son Inferno, se déroule aussi devant lui, non pas seulement comme un spectacle de fantômes, d’ombres, — car, ces scènes, il les vit et les souffre, — et cependant sans qu’il puisse écarter tout à fait cette impression fugitive qu’elles ne sont qu’une apparence. Et peut-être quelques-uns se souviendront comme moi de s’être écrié, en se rassurant au milieu des périls et des terreurs d’un rêve : « C’est un rêve ! Je ne veux pas qu’il cesse ! Je veux le rêver encore ! »

Intéressant j'ai tout lu

Le 03 janvier 2022 à 03:30:34 :
L'auteur en ce moment --->
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1493857217-and-that-s-how-medic-lost-his-medical-license-by-thetig3r42-d4kljwy.jpg

C'est sa tête au naturel

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Données du topic

Auteur
Azlok379
Date de création
3 janvier 2022 à 03:29:31
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