[CHEVALPILL] AYAAA La vraie Pill c'est la chevalpill, confirmée par Maupassant !
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Les kheys qui parle de la DogPill alors que les femmes fantasment en fait sur les HORSES
Confirmé par Maupassant
Alors, perdant la tête, pour ne plus la contempler, je me tournai vers la fenêtre, et j'aperçus un valet emmenant par la bride vers l'écurie son grand cheval qui se cabrait.
Elle aussi suivait de l'oeil l'animal ardent et bondissant. Puis, quand il eut disparu, elle s'endormit tout à coup.
Je songeais toute la nuit ; et il me sembla pénétrer des mystères que je n'avais jamais soupçonnés. Qui sondera jamais les perversions de la sensualité des femmes ? Qui comprendra leurs invraisemblables caprices et l'assouvissement étrange des plus étranges fantaisies ?
Chaque matin, dès l'aurore, elle partait au galop par les plaines et les bois ; et chaque fois, elle rentrait alanguie, comme après des frénésies d'amour.
J'avais compris ! j'était jaloux maintenant du cheval nerveux et galopant ; jaloux du vent qui caressait son visage quand elle allait d'une course folle ; jaloux des feuilles qui baisaient, en passant, ses oreilles ; des gouttes de soleil qui lui tombaient sur le front à travers les branches ; jaloux de la selle qui la portait et qu'elle étreignait de sa cuisse.
C'était tout cela qui la faisait heureuse, qui l'exaltait, l'assouvissait, l'épuisait et me la rendait ensuite insensible et presque pâmée.
Le 03 janvier 2022 à 19:18:15 :
Les kheys qui parle de la DogPill alors que les femmes fantasment en fait sur les HORSESConfirmé par Maupassant
Un soir, je vous l'ai dit, un soir, comme elle rentrait d'une longue promenade à cheval, elle tomba, les pommettes rouges, la poitrine battante, les jambes cassées, les yeux meurtris, sur une chaise basse, en face de moi. Je l'avais vue comme cela ! Elle aimait ! Je ne pouvais m'y tromper !
Alors, perdant la tête, pour ne plus la contempler, je me tournai vers la fenêtre, et j'aperçus un valet emmenant par la bride vers l'écurie son grand cheval qui se cabrait.
Elle aussi suivait de l'oeil l'animal ardent et bondissant. Puis, quand il eut disparu, elle s'endormit tout à coup.
Je songeais toute la nuit ; et il me sembla pénétrer des mystères que je n'avais jamais soupçonnés. Qui sondera jamais les perversions de la sensualité des femmes ? Qui comprendra leurs invraisemblables caprices et l'assouvissement étrange des plus étranges fantaisies ?
Chaque matin, dès l'aurore, elle partait au galop par les plaines et les bois ; et chaque fois, elle rentrait alanguie, comme après des frénésies d'amour.
J'avais compris ! j'était jaloux maintenant du cheval nerveux et galopant ; jaloux du vent qui caressait son visage quand elle allait d'une course folle ; jaloux des feuilles qui baisaient, en passant, ses oreilles ; des gouttes de soleil qui lui tombaient sur le front à travers les branches ; jaloux de la selle qui la portait et qu'elle étreignait de sa cuisse.
C'était tout cela qui la faisait heureuse, qui l'exaltait, l'assouvissait, l'épuisait et me la rendait ensuite insensible et presque pâmée.
j'arrete le forom pour aujourd'hui
Le 03 janvier 2022 à 19:29:16 :
Le 03 janvier 2022 à 19:18:15 :
Les kheys qui parle de la DogPill alors que les femmes fantasment en fait sur les HORSESConfirmé par Maupassant
Un soir, je vous l'ai dit, un soir, comme elle rentrait d'une longue promenade à cheval, elle tomba, les pommettes rouges, la poitrine battante, les jambes cassées, les yeux meurtris, sur une chaise basse, en face de moi. Je l'avais vue comme cela ! Elle aimait ! Je ne pouvais m'y tromper !
Alors, perdant la tête, pour ne plus la contempler, je me tournai vers la fenêtre, et j'aperçus un valet emmenant par la bride vers l'écurie son grand cheval qui se cabrait.
Elle aussi suivait de l'oeil l'animal ardent et bondissant. Puis, quand il eut disparu, elle s'endormit tout à coup.
Je songeais toute la nuit ; et il me sembla pénétrer des mystères que je n'avais jamais soupçonnés. Qui sondera jamais les perversions de la sensualité des femmes ? Qui comprendra leurs invraisemblables caprices et l'assouvissement étrange des plus étranges fantaisies ?
Chaque matin, dès l'aurore, elle partait au galop par les plaines et les bois ; et chaque fois, elle rentrait alanguie, comme après des frénésies d'amour.
J'avais compris ! j'était jaloux maintenant du cheval nerveux et galopant ; jaloux du vent qui caressait son visage quand elle allait d'une course folle ; jaloux des feuilles qui baisaient, en passant, ses oreilles ; des gouttes de soleil qui lui tombaient sur le front à travers les branches ; jaloux de la selle qui la portait et qu'elle étreignait de sa cuisse.
C'était tout cela qui la faisait heureuse, qui l'exaltait, l'assouvissait, l'épuisait et me la rendait ensuite insensible et presque pâmée.j'arrete le forom pour aujourd'hui
Validax par l'un de nos plus grands écrivains, ou est le problème
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Données du topic
- Auteur
- DiscoLysium
- Date de création
- 3 janvier 2022 à 19:18:15
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