[SUICIDE] L'ODEUR des NÈÈÈÈÈÈÈÈGRES :VOMI:
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Le 29 décembre 2021 à 11:34:34 :
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Le 29 décembre 2021 à 11:34:38 :
Le record c'est 70 pages hein
Non, 120 et quelques
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Cancer
"Je m’aperçus peu à peu que la presse social-démocrate était surtout dirigée par des J ; mais je n’attribuai aucune signification particulière à ce fait, puisqu’il en était de même pour les autres journaux. Une seule chose pouvait peut-être attirer l’attention ; il n’y avait pas une seule feuille comptant des J parmi ses rédacteurs qu’on pût considérer comme vraiment nationale au sens que mon éducation et mes convictions me faisaient donner à ce mot.
Je fis un effort sur moi-même et tentai de lire les productions de la presse marxiste, mais la répulsion qu’elles m’inspiraient finit par devenir si forte que je cherchai à mieux connaître ceux qui fabriquaient cette collection de canailleries.
C’étaient tous sans exception, à commencer par les éditeurs, des J.
Je pris en main toutes les brochures social-démocrates que je pus me procurer et cherchai les signataires : des J. Je notai le nom de presque tous les chefs : c’étaient également en énorme majorité des membres du « peuple élu », qu’il fût question de députés au Reichsrat ou de secrétaires des syndicats, de présidents des organismes du parti ou des agitateurs de la rue. C’était toujours le même tableau peu rassurant. Je n’oublierai jamais les noms des Austerlitz, David, Adler, Ellenbogen, etc.
Il devint alors clair pour moi que le parti, dont les simples comparses étaient mes adversaires depuis des mois du plus violent combat, se trouvait presque exclusivement, par ses chefs, dans les mains d’un peuple étranger ; car un J n’est pas un Allemand, je le savais définitivement pour le repos de mon esprit.
Je connaissais enfin le mauvais génie de notre peuple.
Une seule année à Vienne m’avait convaincu qu’il n’y a pas d’ouvrier si enraciné dans ses préjugés, qui ne rende les armes devant des connaissances plus justes et des explications plus claires. Je m’étais peu à peu mis au fait de leur propre doctrine et elle était devenue mon arme dans le combat que je menais pour mes convictions.
Presque toujours la victoire me restait.
Il fallait sauver la grande masse, même au prix des plus lourds sacrifices de temps et de patience.
Mais jamais je ne pus délivrer un J de sa façon de voir.
J’étais alors encore assez naïf pour vouloir les éclairer sur l’absurdité de leur doctrine ; dans mon petit cercle, je parlais à en avoir la langue écorchée et la gorge enrouée, et je m’imaginais que je parviendrais à les convaincre du danger des folies marxistes. J’obtenais le résultat opposé. Il semblait que les effets désastreux, fruit évident des théories social-démocrates et de leur application, ne servaient qu’à renforcer leur détermination.
Plus je discutais avec eux, mieux j’apprenais à connaître leur dialectique. Ils comptaient d’abord sur la sottise de leur adversaire et, quand ils ne trouvaient plus d’échappatoire, ils se donnaient à eux-mêmes l’air d’être des sots. Était-ce sans effet, ils ne comprenaient plus ou, mis au pied du mur, ils passaient d’un bond sur un autre terrain ; ils mettaient en ligne des truismes dont, sitôt admis, ils tiraient argument pour des questions entièrement différentes ; les acculait-on encore, ils vous glissaient des mains et on ne pouvait leur arracher de réponse précise. Quand on voulait saisir un de ces apôtres, la main ne prenait qu’une matière visqueuse et gluante qui vous filait entre les doigts pour se reformer le moment d’après. Si l’on portait à l’un d’entre eux un coup si décisif qu’il ne pouvait, en présence des assistants, que se ranger à votre avis et quand on croyait avoir au moins fait un pas en avant, on se trouvait bien étonné le jour suivant. Le J ne savait plus du tout ce qui s’était passé la veille ; il recommençait à divaguer comme auparavant, comme si de rien n’était, et lorsque, indigné, on le sommait de s’expliquer, il feignait l’étonnement, ne se souvenait absolument de rien, sinon qu’il avait déjà prouvé la veille le bien-fondé de ses dires.
J’en demeurai souvent pétrifié.
On ne savait pas ce qu’on devait le plus admirer : l’abondance de leur verbiage ou leur art du mensonge.
Je finis par les haïr.
Tout cela avait son bon côté : à mesure que je connaissais mieux les chefs, ou du moins les propagandistes de la social-démocratie, mon peuple me devenait plus cher. Qui aurait pu, en présence de l’habileté diabolique de ces séducteurs, maudire les malheureux qui en étaient victimes ? Quelle peine n’avais-je pas moi-même à triompher de la dialectique perfide de cette race ! Et combien vaine était une pareille victoire avec des hommes dont la bouche déforme la vérité, niant carrément le mot qu’elle vient de prononcer, pour s’en prévaloir dans la minute suivante.
Non, plus j’apprenais à connaître les J, et plus j’étais porté à excuser les ouvriers."
A.H , 1925
"Le mérite du national-socialisme, c'est qu'il a été le premier à poser le problème J
de façon réaliste.
Les J ont toujours suscité l'antisémitisme. Les peuples non J, au cours des
siècles, et des Égyptiens jusqu'à nous, ont tous réagi de la même manière. Un moment
arrive où ils sont las d'être exploités par le J abusif. Alors ils s'ébrouent comme
l'animal qui secoue sa vermine. Ils réagissent brutalement, ils finissent par se révolter.
C'est là une façon de réagir instinctive. C'est une réaction de xénophobie à l'égard de
l'étranger qui refuse de s'adapter, de se fondre, qui s'incruste, qui s'impose et qui vous
exploite. Le J est par définition l'étranger inassimilable et qui refuse de s'assimiler.
C'est ce qui distingue le J des autres étrangers: il prétend avoir chez vous les droits
d'un membre de la communauté tout en demeurant J. Il considère comme un dû
cette possibilité de jouer simultanément sur deux tableaux, et il est seul dans le monde
à revendiquer un aussi exorbitant privilège.
Le national-socialisme a posé le problème J sur le plan des faits: en dénonçant la
volonté de domination mondiale des J, en s'attaquant à eux systématiquement,
dans tous les domaines, en les éliminant de toutes les positions usurpées par eux, en les traquant partout avec la volonté bien établie de laver le monde allemand du poison
J. II s'est agi pour nous d'une cure de désintoxication indispensable, entreprise à la
dernière limite, sans quoi nous eussions été asphyxiés et submergés.
Réussissant cette opération en Allemagne, nous avions des chances qu'elle fît tache
d'huile. Cela était même fatal, car il est normal que la santé triomphe de la maladie.
Les J furent aussitôt conscients de ce risque, et c'est la raison pour laquelle ils
décidèrent de jouer leur va-tout dans la lutte à mort qu'ils déclenchèrent contre nous.
Il leur fallait abattre le national-socialisme à n'importe quel prix, la planète dût-elle
être détruite. Aucune guerre n'a été aussi typiquement que celle-ci, ni aussi
exclusivement, une guerre J.
Je les ai en tout cas obligés à jeter bas le masque. Et même si notre entreprise se solde
par un échec, cet échec ne saurait être que provisoire. J'aurai ouvert les yeux du
monde sur la réalité du péril J.
Une des conséquences de notre attitude, c'est que nous avons rendu le J agressif. Or
il est moins dangereux sous cette forme qu'à l'état sournois. Mieux vaut cent fois le
J qui avoue sa ràce que le J honteux qui prétend ne différer de vous que par la
religion. Si je gagne cette guerre, je mets un terme à la puissance J dans le monde,
je la blesse à mort. Si je perds cette guerre, cela n'assure pas davantage leur triomphe
- car, eux, ils en perdraient la tête. Ils pousseraient l'arrogance à un tel degré qu'ils
provoqueraient par là même le choc en retour. Ils continueraient, bien entendu, de
miser sur les deux tableaux, de revendiquer dans tous les pays les avantages des
nationaux, et sans renoncer à l'orgueil de demeurer de surcroît les membres de la ràce
élue. Ce serait la fin du J honteux, remplacé par le J glorieux - aussi puant que
l'autre, sinon plus. En sorte que l'antisémitisme ne saurait disparaître, les J euxmêmes
l'alimentant et le ranimant sans cesse. Il faudrait que la cause disparût pour
que disparût la réaction de défense. L'on peut faire confiance aux J.
L'antisémitisme ne disparaîtra qu'avec eux.
Ceci étant dit en dehors de tout sentiment de haine raciale, il n'est souhaitable pour
aucune ràce de se mêler à d'autres ràces. Le métissage systématique, et sans nier des
réussites fortuites, n'a jamais donné de bons résultats. C'est une preuve de vitalité et
de santé de la part d'une ràce de vouloir se préserver pure. Il est normal au surplus que
chacun éprouve l'orgueil de sa ràce, et cela n'implique aucun mépris à l'égard des
autres. Je n'ai jamais pensé qu'un Chinais ou un Japonais nous fussent inférieurs. Ils
appartiennent à de vieilles civilisations, et j'admets même que leur passé soit
supérieur au nôtre. Ils ont des raisons d'en être fiers comme nous sommes fiers de la
civilisation à laquelle nous appartenons. Je pense même que plus les Chinais et les
Japonais demeureront fiers de leur ràce, plus il me sera 'facile de m'entendre avec eux.
Cet orgueil basé sur l'appartenance à une ràce n'existe pas fondamentalement chez
l'Allemand. Cela s'explique par ces trois derniers siècles de divisions intestines, par
les guerres de religion, par les influences étrangères qu'il a subies, par l'influence du
christianisme - car le christianisme n'est pas une religion naturelle aux Germains, c'est
une religion importée et qui ne correspond pas à leur génie propre. L'orgueil de la
ràce, chez l'Allemand, quand il se manifeste et prend même un air agressif, n'est
qu'une réaction compensatrice du complexe d'infériorité qu'éprouvent beaucoups
d'Allemands. Il va sans dire que cela ne s'applique pas aux Prussiens. Eux, depuis
l'époque du grand Frédéric, ils ont acquis cet orgueil tranquille et simple qui est la
marque des gens qui sont sûrs d'eux-mêmes et qui sont ce qu'ils sont sans ostentation.
Du fait des qualités qui sont les leurs, les Prussiens étaient capables, et ils l'ont prouvé, de réaliser l'unité allemande. Le national-socialisme a essayé de donner à tous
les Allemands cet orgueil qui était jusqu'ici la caractéristique des . seuls Prussiens.
Les Autrichiens ont dans le sang un orgueil analogue à celui des Prussiens, né du fait
que durant des siècles ils n'ont pas été dominés par d'autres peuples, qu'ils ont été au
contraire, durant une longue période, ceux qui commandent et à qui l'on obéit. Ils ont
accumulé l'expérience de la domination et du pouvoir, et c'est là qu'il faut voir la
raison de l'atticisme que nul ne leur conteste.
Le national-socialisme fondra dans son creuset toutes les particularités de l'âme
allemande. Il en sortira le type de l'Allemand moderne, travailleur, . consciencieux,
sûr de soi mais simple, orgueilleux non de ce qu'il représente à titre individuel mais
de son appartenance à un grand ensemble qui fera l'admiration des autres peuples. Ce
sentiment de supériorité en tant qu'Allemand n'implique aucun désir d'écrasement à
l'égard des autres. Nous avons parfois exalté ce sentiment avec une certaine
exagération, mais cela était nécessaire en fonction du point de départ, et il fallait que
nous poussions les Allemands un peu brutalement dans la bonne voie. Un excès dans
un sens provoque presque toujours un excès de sens contraire. C'est dans la nature des
choses. Tout cela, au surplus, ne saurait se faire en un jour. Cela requiert le lent
travail du temps. Frédéric le Grand est le vrai créateur du type prussien. En fait, il a
fallu deux ou trois générations pour incarner ce type, pour que le style prussien devînt
un caractère propre à chaque Prussien.
Notre racisme n'est agressif qu'à l'égard de la ràce J. Nous parlons de ràce J
par commodité de langage, car il n'y a pas, à proprement parler, et du point de vue de
la génétique, une ràce J. Il existe toutefois une réalité de fait à laquelle, sans la
moindre hésitation, l'on peut accorder cette qualification et qui est admise par les J
eux-mêmes. C'est l'existence d'un groupe humain spirituellement homogène dont les
J de toutes les parties du monde ont conscience de faire partie, quels que soient les
pays dont, administrativement ils sont les ressortissants. C'est ce, groupe humain que
nous appelons la ràce J. Or il ne s'agit nullement, bien que la religion hébraïque
leur serve parfois de prétexte, d'une communauté religieuse ni d'un lien constitué par
l'appartenance à une religion commune.
La ràce J est avant tout une ràce mentale. Si elle a pour origine la religion
hébraïque, si elle a en partie été façonnée par elle, elle n'est pas néanmoins d'essence
purement religieuse, car elle englobe de la même façon les athées déterminés et les
pratiquants sincères. A cela, il faut ajouter le lien constitué par les persécutions subies
au cours des siècles et dont les J oublient toujours qu'ils n'ont cessé de les
provoquer. Anthropologiquement, les J ne réunissent pas les caractères qui
feraient d'eux une ràce unique. Il est pourtant indubitable que chaque J recèle dans
ses veines quelques gouttes de sang spécifiquement J. Il serait impossible
autrement d'expliquer la permanence, chez eux, de certains caractères physiques qui
leur appartiennent en propre et qu'on retrouve invariablement chez des J aussi
différents, par exemple, que le Pollak et le J marocain - leur nez indécent, leur
narine vicieuse, etc. Cela ne semble pouvoir s'expliquer par le type de vie qu'ils
mènent, toujours semblable, de génération en génération, dans les ghettos
principalement.
Une ràce mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable, qu'une ràce tout
court. Transplantez un Allemand aux États-Unis, vous en faites un Américain. Le
J, où qu'il aille, demeure un J. C'est un être par nature inassimilable. Et c'est ce
caractère même, qui le rend impropre à l'assimilation, qui définit sa ràce. Voilà une preuve de la supériorité de l'esprit sur la chair!
Leur ascension foudroyante, au cours du XIXe siècle, a donné aux J le sentiment
de leur puissance et les a incités à jeter bas leur masque. Aussi est-ce une chance pour
nous de pouvoir les combattre en tant que J avérés et agressivement fiers de l'être.
Étant donné la crédulité du peuple allemand, nous ne pouvons que nous louer de cet
accès de sincérité de la part de nos plus mortels ennemis.
Je me suis montré loyal envers les J. Je leur ai donné, à la veille de la guerre, un
ultime avertissement. Je les ai prévenus que, s'ils précipitaient à nouveau le monde
dans la guerre, ils ne seraient cette fois-ci pas épargnés - que la vermine serait
définitivement exterminée en Europe. Ils ont répondu à cet avertissement par une
déclaration de guerre, affirmant que partout où il y avait un J il y avait par
définition un ennemi inexpiable de l'Allemagne nationale-socialiste.
L'abcès J, nous l'avons crevé comme les autres. Le monde futur nous en sera
éternellement reconnaissant."
A.H , 1945
Données du topic
- Auteur
- Slavic-NS264
- Date de création
- 29 décembre 2021 à 11:08:45
- Date de suppression
- 29 décembre 2021 à 12:05:56
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