"Tout État est pourriture. La génuflexion devant la société du spectacle et du totalitarisme marchand est une soumission sans condition à la dictature de la marchandise americano-atlantiste" Chaud j'étais pas prêt quand il a dit ça
Le 27 décembre 2021 à 12:39:33 : "Tout État est pourriture. La génuflexion devant la société du spectacle et du totalitarisme marchand est une soumission sans condition à la dictature de la marchandise americano-atlantiste" Chaud j'étais pas prêt quand il a dit ça
Pourtant c'est exactement ce monde là qui fait de lui ce qu'il est aujourd'hui
c'est justement dans cette atmosphère d'Autant en emporte le vent sur fond d'incendies planétaires et dans l'attente de la banqueroute générale qui doit se produire dans très peu de temps, où la peur s'affole de n'avoir nulle part où se cacher, que chaque instant peut prendre, ainsi détaché, cet éclat admirable, d'un sentiment si vif, complexe, presque douloureux ; et que c'est justement dans cette précipitation des circonstances, et l'écroulement de toutes les régularités et conventions de la vie sociale, dans ce trouble universel, que la civilisation se réfugie au fond de ces solitudes à deux, que l'amour recueille ce que l'affolement et la fièvre ne veulent plus : la confiance, le calme, la délicatesse, la civilité, l'amitié, le rire et l'intelligence réciproque ; que l'on y entend parler encore la douce langue natale.
Le 27 décembre 2021 à 13:35:18 : 50 Cent dans sa dernière interview:
c'est justement dans cette atmosphère d'Autant en emporte le vent sur fond d'incendies planétaires et dans l'attente de la banqueroute générale qui doit se produire dans très peu de temps, où la peur s'affole de n'avoir nulle part où se cacher, que chaque instant peut prendre, ainsi détaché, cet éclat admirable, d'un sentiment si vif, complexe, presque douloureux ; et que c'est justement dans cette précipitation des circonstances, et l'écroulement de toutes les régularités et conventions de la vie sociale, dans ce trouble universel, que la civilisation se réfugie au fond de ces solitudes à deux, que l'amour recueille ce que l'affolement et la fièvre ne veulent plus : la confiance, le calme, la délicatesse, la civilité, l'amitié, le rire et l'intelligence réciproque ; que l'on y entend parler encore la douce langue natale.