C'est un problème sociétal plus large, celui de l'infantilisation et de la féminisation de la société, qui en castrant l'Homme/le Père/le Mari (donc les symboles de l'Ordre, la Loi, la Force, bref tout ce qui est détesté par la gauche libertaire-sociétale); a rendu possible la dystopie postmoderne, d'un monde où des hommes sont déçues des femmes (plus assez féminines et dociles, à cause du mythe de la femme indépendante) et des femmes sont déçues des hommes (plus assez virils mais brainwashé à penser qu'elles ont besoin d'un nice guy); ce qui crée incompréhension mutuelle, couples instables, natalité en baisse, remplacement démographique, fin de la civilisation occidentale, etc... (bon je saute des médiations)
D'où le succès aussi des concepts dits de "redpills" car le bon sens populaire, d'instinct, se rend compte de l'escroquerie, de l'écart abyssale entre l'idéologie dominante gauchiste progressisto-sociétale et la réalité du vécu.
Ce qui a toujours prévalu dans la sagesse inconsciente collective des civilisations ("l'ordre des choses"), et que l'idéologie moderniste et postmoderniste du Progrès et de la Table Rase, a complètement perturbé, c'est
ce besoin d'éducation, d'instruction, de structure, de hiérarchie, d'Ordre, d’Autorité. Mais c'est tant pour les femmes, un besoin essentielle (on dira plus poliment, de les canaliser, de les guider), mais aussi pour les hommes modernes, s’infantilisant et se féminisant, ont besoin aussi d'être redressé.
Par une espèce de dialectique malsaine, des hommes faibles (ou affaiblies ?... autre débat glissant) permet l'existence de femmes fortes (ou se leurrant à penser qu'elles le sont), qui crée un cercle vicieux de frustration entre cette idéologie et la réalité (les hommes sont plus forts, ils veulent des femmes "faibles/soumises"; les femmes sont plus faibles, elles veulent des hommes "forts/dominants")
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