Topic de DiogeneClodo :

Poupeto

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Misères du désir, Alain Soral, éd. éditions blanche, 2004, p. 56

« J’allais me retirer quand une étrange sensation, humide et brûlante au bas des couilles, me fit perdre à nouveau toute notion de distance de la Terre à la Lune.

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/23/2/1528197912-poupetolechesoral.png

Abandonné inconscient au plaisir, je m’obligeai bientôt à porter une main ferme à sa source pour me saisir, au milieu des peluches, d’une petite touffe de poils vivante. Ouaf, ouaf !La honte rétrospective pourrait me faire taire mais je dois à mon lecteur. C’était son petit chien qui me léchait l’arrière du scrotum de sa langue râpeuse et enfiévrée.Que dire ? Que faire ?La fille dont les fesses allaient et venaient devant moi comme du pudding anglais, était déjà partie trop loin pour s’intéresser à autre chose qu’à son fuyant plaisir. Je remis donc l’innocente petite bête au sol qui reprit aussitôt sa besogne.

Pétale de rose, concours canin. Oserai-je l’avouer ? Nous jouîmes en même temps, elle seule, moi avec le chien. Un petit yorkshire mâle à poils long de trois ans, vierge, prénommé Poupeto.

Poupeto mi corazon, à la langue rêche et aux yeux de velours ! Je ne sus jamais si tu avais été dressé à cet exercice par une paumée perverse, ou si cet élan d’amour t’était venu d’instinct. Quoi qu’il en fût, ce pur moment de tendresse – resté jusqu’à ce jour secret – est le plus beau moment de communion charnelle dont je me souvienne. Ouaf, ouaf ! »

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/51/4/1640255412-8115-full.png

Le 23 décembre 2021 à 11:31:44 :

Misères du désir, Alain Soral, éd. éditions blanche, 2004, p. 56

« J’allais me retirer quand une étrange sensation, humide et brûlante au bas des couilles, me fit perdre à nouveau toute notion de distance de la Terre à la Lune.

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/23/2/1528197912-poupetolechesoral.png

Abandonné inconscient au plaisir, je m’obligeai bientôt à porter une main ferme à sa source pour me saisir, au milieu des peluches, d’une petite touffe de poils vivante. Ouaf, ouaf !La honte rétrospective pourrait me faire taire mais je dois à mon lecteur. C’était son petit chien qui me léchait l’arrière du scrotum de sa langue râpeuse et enfiévrée.Que dire ? Que faire ?La fille dont les fesses allaient et venaient devant moi comme du pudding anglais, était déjà partie trop loin pour s’intéresser à autre chose qu’à son fuyant plaisir. Je remis donc l’innocente petite bête au sol qui reprit aussitôt sa besogne.

Pétale de rose, concours canin. Oserai-je l’avouer ? Nous jouîmes en même temps, elle seule, moi avec le chien. Un petit yorkshire mâle à poils long de trois ans, vierge, prénommé Poupeto.

Poupeto mi corazon, à la langue rêche et aux yeux de velours ! Je ne sus jamais si tu avais été dressé à cet exercice par une paumée perverse, ou si cet élan d’amour t’était venu d’instinct. Quoi qu’il en fût, ce pur moment de tendresse – resté jusqu’à ce jour secret – est le plus beau moment de communion charnelle dont je me souvienne. Ouaf, ouaf ! »

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/51/4/1640255412-8115-full.png

C'est vraiment écrit comme ça dans le livre ? :ouch2:

Le 23 décembre 2021 à 11:42:02 MichelJvsWorld a écrit :

Le 23 décembre 2021 à 11:31:44 :

Misères du désir, Alain Soral, éd. éditions blanche, 2004, p. 56

« J’allais me retirer quand une étrange sensation, humide et brûlante au bas des couilles, me fit perdre à nouveau toute notion de distance de la Terre à la Lune.

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/23/2/1528197912-poupetolechesoral.png

Abandonné inconscient au plaisir, je m’obligeai bientôt à porter une main ferme à sa source pour me saisir, au milieu des peluches, d’une petite touffe de poils vivante. Ouaf, ouaf !La honte rétrospective pourrait me faire taire mais je dois à mon lecteur. C’était son petit chien qui me léchait l’arrière du scrotum de sa langue râpeuse et enfiévrée.Que dire ? Que faire ?La fille dont les fesses allaient et venaient devant moi comme du pudding anglais, était déjà partie trop loin pour s’intéresser à autre chose qu’à son fuyant plaisir. Je remis donc l’innocente petite bête au sol qui reprit aussitôt sa besogne.

Pétale de rose, concours canin. Oserai-je l’avouer ? Nous jouîmes en même temps, elle seule, moi avec le chien. Un petit yorkshire mâle à poils long de trois ans, vierge, prénommé Poupeto.

Poupeto mi corazon, à la langue rêche et aux yeux de velours ! Je ne sus jamais si tu avais été dressé à cet exercice par une paumée perverse, ou si cet élan d’amour t’était venu d’instinct. Quoi qu’il en fût, ce pur moment de tendresse – resté jusqu’à ce jour secret – est le plus beau moment de communion charnelle dont je me souvienne. Ouaf, ouaf ! »

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/51/4/1640255412-8115-full.png

C'est vraiment écrit comme ça dans le livre ? :ouch2:

Oui

Le 23 décembre 2021 à 12:33:27 :

Le 23 décembre 2021 à 11:42:02 MichelJvsWorld a écrit :

Le 23 décembre 2021 à 11:31:44 :

Misères du désir, Alain Soral, éd. éditions blanche, 2004, p. 56

« J’allais me retirer quand une étrange sensation, humide et brûlante au bas des couilles, me fit perdre à nouveau toute notion de distance de la Terre à la Lune.

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/23/2/1528197912-poupetolechesoral.png

Abandonné inconscient au plaisir, je m’obligeai bientôt à porter une main ferme à sa source pour me saisir, au milieu des peluches, d’une petite touffe de poils vivante. Ouaf, ouaf !La honte rétrospective pourrait me faire taire mais je dois à mon lecteur. C’était son petit chien qui me léchait l’arrière du scrotum de sa langue râpeuse et enfiévrée.Que dire ? Que faire ?La fille dont les fesses allaient et venaient devant moi comme du pudding anglais, était déjà partie trop loin pour s’intéresser à autre chose qu’à son fuyant plaisir. Je remis donc l’innocente petite bête au sol qui reprit aussitôt sa besogne.

Pétale de rose, concours canin. Oserai-je l’avouer ? Nous jouîmes en même temps, elle seule, moi avec le chien. Un petit yorkshire mâle à poils long de trois ans, vierge, prénommé Poupeto.

Poupeto mi corazon, à la langue rêche et aux yeux de velours ! Je ne sus jamais si tu avais été dressé à cet exercice par une paumée perverse, ou si cet élan d’amour t’était venu d’instinct. Quoi qu’il en fût, ce pur moment de tendresse – resté jusqu’à ce jour secret – est le plus beau moment de communion charnelle dont je me souvienne. Ouaf, ouaf ! »

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/51/4/1640255412-8115-full.png

C'est vraiment écrit comme ça dans le livre ? :ouch2:

Oui

Bordel le malaise https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png

Le 23 décembre 2021 à 13:48:55 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/23/2/1528197912-poupetolechesoral.png

https://image.noelshack.com/fichiers/2016/36/1473157817-1469875304-1469450880-mdlol.png

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Données du topic

Auteur
DiogeneClodo
Date de création
23 décembre 2021 à 11:31:44
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