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Les gauchistes : "Clement Meric a été assassiné par des nazis"

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Regardez moi ce gauchiste, Thomas Portes :
https://twitter.com/Portes_Thomas/status/1467831890744942600?t=OtOfXk2CGve5AXFQB5E7GQ&s=19
Parlez en à Clément Meric tué par des nazis.

Deux groupes de trois personnes, un de militants de l'Action antifasciste Paris-Banlieue, l'autre de militants des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, se rencontrent par hasard le 5 juin 2013, en fin d'après-midi, au cours d'une vente privée de vêtements dans le 9e arrondissement de Paris. Ni Clément Méric, ni Esteban Morillo, principal inculpé dans cette affaire, ne sont présents sur les lieux à ce moment-là.

Réagissant au slogan affiché sur le t-shirt d'un skinhead « Par le sang et pour l'honneur », proche de la devise des Jeunesses hitlériennes, un des militants d'extrême gauche, Steve Domas, interpelle d'abord les nationalistes qui se trouvent dans la salle de vente en leur disant, de son propre aveu : « Alors les nazis, on fait ses courses ? ». Selon les nationalistes, le groupe d'antifascistes aurait alors continué à les provoquer, menaçant de les « attendre en bas », tandis qu'eux-mêmes auraient demandé aux antifascistes de les laisser poursuivre leurs courses.

Les militants d'extrême gauche (Steve Domas, Aurélien Boudon, Matthias Bouchenot) quittent alors l'espace de vente vers 18 h et se mettent un peu plus loin rue Caumartin, au pied des marches de l'église Saint-Louis-d'Antin. Selon la chambre de l'instruction en avril 2014, ils auraient alors attendu « ostensiblement » l'autre groupe « en faisant téléphoniquement appel à du renfort ».

Clément Méric les rejoint un quart d'heure plus tard.

Pendant ce temps, les nationalistes terminent leurs courses et appellent du renfort par téléphone. Samuel Dufour appelle en particulier Esteban Morillo.

Un vigile, alerté par une cliente des tensions entre les deux groupes, tente d'abord de calmer les nationalistes, puis descend à la rencontre des antifascistes. L'un d'eux, Matthias Bouchenot, lui signifie que les nationalistes ont caché un poing américain dans un sac avant de pénétrer dans le magasin et l'invite à prendre des dispositions. Selon le vigile, Clément Méric aurait alors déclaré : « Ce sont des gens qui ne devraient même pas être vivants », ou, dans une autre version du même témoin, « Ces gens-là ne devraient pas exister ». Lorsque le vigile retourne dans le magasin, Clément Méric le suit. En montant, il croise les nationalistes dans les escaliers et envoie à 18 h 27 un dernier SMS à ses amis : « ils descendent ». En haut, le vigile et un de ses collègues lui enjoignent, au vu notamment de sa faible corpulence, de ne pas s'engager dans une bagarre. En redescendant de la salle de vente où il est resté quelques minutes, il aurait de nouveau croisé les nationalistes, désormais rejoints par Esteban Morillo, dans la cour de l'immeuble. Selon ces derniers, il leur aurait dit « On vous attend ».

Les nationalistes partent alors directement à la rencontre des antifascistes, qui attendent depuis une quarantaine de minutes sur le parvis de l'église Saint-Louis-d'Antin.

Une rixe éclate alors, décrite par le procureur comme une « scène de violence avec des échanges de coups », sans que l'on sache qui a initié le combat, les deux groupes se renvoyant mutuellement cette responsabilité.

Esteban Morillo reconnaît avoir porté deux coups à Clément Méric, dont celui qui a entraîné sa mort.

Petite précision sur Clement Meric;
Il est également « antifa », membre de l'Action antifasciste Paris-Banlieue et, selon une source policière, « il était connu des services spécialisés comme appartenant à un groupe de militants d'extrême gauche qui recherchaient la confrontation avec des militants d'extrême droite, notamment la vingtaine d'activistes constituant le noyau dur des JNR (Jeunesses nationalistes révolutionnaires, groupuscule radical).

Résumé :
-Les antifas provoquent les natios et leurs proposent de venir se battre à l'extérieur. Ceux-ci refusent dans un premier temps.
-Les antifas attendent des dizaines de minutes à l'extérieur pour se battre. Clément Meric vient pour se battre, exprime oralement sa volonté de violence et sa volonté de voir morts les natios.
-Ils se battent. Clément Meric est un fragile. Mort d'un coup de point dans la tête.

je savais pas :( semi-méritax du coup ?

dire que la presse nous a vendu ça comme "le saint petit Méric tué par les méchants nazis sanguinaires" bordel

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ELGNOUGNOU
Date de création
21 décembre 2021 à 12:26:23
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