Ainsi toujours le mal, toujours la haine, même dans l’amour. Encore n’est-ce point assez pour le pervers que ce contact passager qui l’unit, incube ou succube, aux enfans de cette triste famille d’Adam, qui souffrent de tant de douleurs et s’effraient de tant de choses. Non content de les affliger de ses caresses, de les obséder dans une lutte corps à corps, il pénètre en eux, se fond dans leur être, et substitue en quelque sorte son action, sa volonté, à l’action, à la volonté de l’âme. La réalité des possessions est attestée, on le sait