Pour faire suite au topic qui vient de se faire delete
C'est quand même marrant de voir à quel point tout le monde ici semble s'en foutre pour ne jamais s'intéresser au sujet mais en même temps donne son avis nauséabond sur la question
On est extrêmement minoritaire en france donc on ne confond pas les LGBT des USA avec les français svp (seulement 5 endocrinologues accepte de suivre des trans sur Paris d'après une association LGBT), la dysphorie de genre existe depuis toujours elle était considéré comme une maladie mentale avant, ce n'est plus le cas maintenant. Une transition reste en france, considéré pour la plupart comme un parcours de soin pour la personne.
Non il n'y a pas 40% de suicide mais 40% de tentative de suicide et oui la dysphorie est juste insupportable à vivre et non ce n'est pas juste vouloir porter des robes ou que sais-je.
Le problème est de l’interprétation de la dysphorie, ce n'est plus un trouble psy pour une meilleure inclusion sociale (l'immense majorité des trans son victime de reclus sociale souvent à cause de discrimination ou à cause de leurs dysphorie) mais en même temps on a un besoin de soutien médicaux.