Une femme peut désormais détruire la vie d’un homme à cause d’une gifle.
C’est la seule chose à retenir de cette histoire.
Il n’y a pas de « féminisme identitaire », il n’y a que la volonté des femmes vaginocrates de mettre en coupe réglée la société. L’angle par lequel une femme s’y essaie est sans importance.
Dans cette société vaginocentrée, l’un des pires crimes que puisse commettre un homme blanc est de recadrer physiquement une femme. C’est donc la mort sociale pour le contrevenant. La carrière de ce YouTubeur vient de prendre fin, définitivement.
Toute la propagande contre « les violences faites aux femmes » provient de ce programme féministe visant à désarmer l’homme pour l’empêcher de contrôler la société par la force, son premier avantage comparatif.
La diabolisation de la « violence masculine » est similaire à la diabolisation de la « violence de l’extrême-droite ». La question n’est pas la violence en tant que telle, mais qui l’inflige et qui la subit.
L’extrême-gauche est ultra violente et tout le système trouve normal qu’elle l’utilise.
Quand une femme abat son mari, le système la fait libérer.
Si les hommes en France répondaient à l’entreprise de destruction systématique de la société à laquelle se livrent les femmes blanches en les remettant à leur place par la force, ce pays serait en ordre. Mais comme les hommes préfèrent ramper devant une femme hystérique et lui céder dans l’espoir de l’apaiser, la France est un pays faible et envahi.