Ceux qui croient en la démocratie et à son principe organisateur que sont les élections oublient qu’elles sont indexées sur la démographie.
Les classes actives blanches sont prises en étau entre une masse de retraités toujours plus pléthorique, surmobilisée électoralement, qui adore voter, et les allogènes, majoritairement non-européens. Mécaniquement, le candidat du système – que ce soit Macron ou Pécresse – reçoit toujours plus d’électeurs au fil des ans.
Rien moins que 4 millions de nouveaux retraités d’ici 2030, portant l’ensemble à 21 millions d’électeurs avec une seule et unique obsession : leurs pensions. Leurs enfants peuvent se faire poignarder, leurs filles violer, ils s'en foutent. Ce sont les pensions qui comptent.
Au bas de la pyramide, le même nombre d’allogènes, lui aussi en constante augmentation. Le but cynique des élites est d’irréversiblement contrôler le système électoral sur la base de ces deux paramètres démographiques. Jusqu’à ce que le remplacement total fasse son œuvre.
En 2030, c’est-à-dire dans huit ans, ces retraités et allogènes seront 40 millions sur une population de 68 millions d’individus. En 2040, retraités et allogènes environ 45 millions. D’ici moins de 20 ans, tout ce qui aura moins de 60 ans sera pour 50% d’origine extra-européenne.
C’est dans ce cauchemar créé de toutes pièces par les boomers qu’il faut survivre.
Quand les boomers parlent de « l’extrême-droite », ils parlent de vous, les Blancs en âge de travailler. Ils voient que vous ne voulez pas vous faire docilement dévorer par leur fisc et exigent de l’Etat qu’il vous écrase totalement, par tous les moyens.
Le Covid a encore accéléré ce pillage par l’endettement, pour sauver des vieux.
Nous entrons dans une gérontocratie autoritaire gardée par des vigiles noirs de sécu, avec et des femmes blanches fortes et indépendantes pour commissaires politiques.