VACCINS, la raison de votre ABSTINENCE ?
Le 01 décembre 2021 à 22:10:39 :
J'ai voté esprit de contradiction car je trouve juste que c'est une mascarade (Rhume nécessitant un pass et un contrôle généralisé de la population) mais c'est aussi pour les effets à court, moyen et long terme
Hm, j'aurais du ajouter une option "C'est juste un rhume, yorarien "
Vous craignez le pire avec toute cette folie covidiste?
Vous êtes un vacciné de force pour pas perdre votre emploi?
Ou un non-vax deter ?
Vous voulez changer les choses? Alors rejoignez la résistance !!
https://discord.gg/mbSEEWA6 ensemble nous changerons la donne
On impose un pass vaccinal Ă une population jeune alors qu'on a 0,5 personnes agĂŞes de 20 Ă 29 ans en soins critiques pour 100 000 habitants, Ă l'heure actuelle (soit 5 pour 1 million)
SOURCE SANTE PUBLIQUE FRANCE DU 16 DECEMBRE 2021 : https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/398301/3296817
Voici une petite info intéressante :
Le rôle du cabinet McKinsey dans la gestion de la pandémie de Covid-19 en France a été souligné par plusieurs grands médias, et a été confirmé par Gabriel Attal comme étant déterminant en ce qui concerne la campagne de vaccination.
En décembre 2020, McKinsey est impliquée dans le scandale des opioïdes avec Purdue Pharma, qui commercialise l'OxyContin aux USA, et Johnson&Johnson. La société de conseil est notamment accusée d'avoir fait des recommandations marketing à ces fabricants d'opioïdes afin d'accroitre leurs ventes. D'après les documents judiciaires produits par les plaignants, le cabinet de conseil a recommandé au groupe pharmaceutique de se concentrer sur les dosages élevés considérés comme les plus lucratifs. On estime que la consommation de telles substances sur ordonnance a quadruplé entre 1999 et 2018, période visée par ces procédures, et pendant laquelle près de 500 000 Américains sont morts des suites d'un usage abusif d'opioïdes. En février 2021, la presse révèle que McKinsey accepte de verser 573 millions de dollars pour clore les procédures engagées par 49 États américains. L'entreprise n'a ni reconnu ni rejeté les faits qui lui étaient reprochés.
1 - Crise de confiance scientifique. J'ai l'impression que la balance bénéfice-risque n'est pas avantageuse pour les gens de mon profil. Je dis l'impression parce que je ne peux pas être sûr et que c'est dû au fait que je ne fais pas confiance aux gouvernements et aux laboratoires qui affirment le contraire. Et la raison pour laquelle je ne leur fait pas confiance, c'est parce que depuis le début des campagnes de vaccination, on a fait que nous mentir sur l'efficacité des vaccins, sur leur potentiel altruiste, et sur leur balance bénéfice-risque (Astrazeneca, puis Moderna, puis Janssen).
2 - Par réaction politique. Les campagnes de vaccination et plus largement les politiques de gestion sanitaires de l'épidémie ont fait l'objet d'une politisation massive, avec la cristallisation artificielle des doutes en manichéisme pour/contre, avec pour cause une rhétorique gouvernementale extrêmement clivante et agressive, reprise et intensifiée par les grands médias. Cela a été accompagné par la désignation permanente de bouc-émissaires variés :
- Chinois, Italiens, et leurs gouvernements ;
- Personnes sortant de chez elles pendant les confinements et couvre-feux, alors qu'on pouvait parfaitement sortir sans infecter qui que ce soit, pour autant qu'on ne se réunisse pas en intérieur ou qu'on ne se touche pas en extérieur ;
- Personnes ne portant pas leur masque en extérieur, alors que nous avons depuis plus d'un an des données concrètes qui confirment qu'il n'y a quasiment aucune chance d'attraper la COVID-19 en aéroporté à l'air libre en extérieur ;
- Non-vaccinés, quelles que soient leurs raisons, et certains en ont de très bonnes, notamment ceux et celles pour qui la vaccination serait dangereuse pour la stabilité de leur santé. Je pense en premier lieu aux personnes ayant des maladies auto-immunes et aux femmes enceintes ;
Je souhaite exprimer mon rejet de ces pratiques intolérables dans un pays qui se dit soucieux des Droits de l'Homme, qui les a créé, mais qui ne fait que les souiller en permanence.
3 - Par éthique politique et médicale. Certes, les vaccins ont été testés, re-testés, et re-re-testés. Certes, ils ont été largement financés et la recherche était solide. Il n'en demeure pas moins que les phases de test ne sont pas finies et que, et nous en avons eu la démonstration avec le cirque Astrazeneca (certes géopolitisé, mais tout de même), Moderna et Janssen que le recul sur les effets secondaires est, quoi qu'en disaient les experts de plateaux télévisés et de petits fours, insuffisant. Autoriser une telle violation de l'éthique sur le plan de la recherche et de la médecine, alors que nous sommes loin d'être dans une situation remettant en cause la pérennité de nos nations, est extrêmement dangereux car va inévitablement ouvrir la voie à des abus. Si nous en arrivons là pour une maladie dont le taux de mortalité oscille entre 0,25 et 1,30%, ce sera quoi face à une maladie grave ? Je laisse la question ouverte.
Donc, par ma non-vaccination, je souhaite fermement m'opposer à ce pied posé dans la porte.
4 - Pour défendre le système hospitalier. Oui je sais ça a l'air totalement fou de dire ça, mais je vais clarifier et ça va être SUPER LONG ET COMPLIQUÉ.
Tout d'abord, il faut saisir que le gouvernement qui nous dirige, et cela depuis trente ans, a pour rêve la destruction pure et simple des systèmes de services publics universels et mutualisant leurs coûts. Par idéologie néolibérale, elle même la traduction de la défense des intérêts de classe des financiers dominants, qui par ces mêmes capitaux, se paient nos représentants gouvernementaux et nos législatifs. Ils se paient littéralement notre Souverain, notre détermination populaire.
Pour respecter les désidératas des financiers qui les paient, nos représentants ne cessent :
A - D'organiser depuis vingt ans la bureaucratisation des fonctions de santé ;
B - D'imposer pas à pas des objectifs de neutralité budgétaire, puis de rentabilité ;
C - De faire des coupes budgétaires dans la santé publique.
C'est un cycle, un cercle vicieux organisé. Le gouvernement l'effectue de A à C, et recommence. Il justifie ses actions du fait des insuffisances constatées dans la délivrance de bons services universels. Sauf que ces carences sont du propre fait de SES réformes qu'il a IMPOSÉES. Quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage, et le gouvernement fait mieux, il ENRAGE le chien pour justifier ses démarches : c'est lui qui est la cause des insuffisances de l'hôpital, et c'est lui qui les orchestre pour mieux le tuer.
Ça c'était l'introduction préalable, nécessaire pour comprendre la suite :
Dès la promesse de développement des vaccins, le gouvernement a directement vu l'intérêt que ces derniers représentent pour justement ne pas avoir à réinvestir de façon sérieuse dans les hôpitaux et le système de soin, ce qui entrerait en contradiction avec les intérêts de classe de ceux qui les financent et donc engendrerait des difficultés de gouvernance. Les médias à la solde des familles riches leur rentrerait dans le lard, les dessous de table cesseraient, leurs pantouflages partiraient en fumée, tout comme le financements de leurs campagnes, leurs réseaux influents leur tourneraient le dos. C'était donc hors de question.
Mais comment ont-il pu faire basculer l'opinion de "nous devons prendre soin des hôpitaux", une position qui les dérange, vers "le vaccin est la seule solution" ?
Et bien il suffit tout simplement de marteler au pays entier que les vaccins seraient un moyen de contrôle efficace de la circulation du virus, en bref, que le vaccin éradiquerait l'épidémie dans notre pays. Donc, le vaccin serait une solution miracle : si tout le monde se vaccine, alors les hôpitaux seront soulagés. Et vu qu'ils seraient perçus comme soulagés, l'attention du public se détournera de ses dysfonctionnement et de ses appels à l'aide, et on pourra donc continuer le travail de sa destruction, du système de santé public en général, sans que la masse laborieuse ne s'en rende compte et ne s'en indigne.
C'est donc ce qu'ils ont fait. En l'espace de trois mois, on est passé des applaudissements à 20H et des promesses d'investissement de santé, aux campagnes de vaccination de masse. Puis juste après, au développement d'un narratif visant à faire percevoir les personnels de santé non-vaccinés comme dangereux, puis indésirables. Alors qu'on les présentait curieusement comme des dieux vivants à 90 jours d'intervalle.
Le fait que les hôpitaux aient tenu et que les vaccins (qui étaient bel et bien efficaces contre la souche Alpha, à l'époque) arrivent, ça a permis d'éviter le choc d'un effondrement hospitalier. Ce choc dans notre société, qui aurait été trop gros pour ne pas être médiatisé et causant l'indignation de toute la population, aurait forcé le gouvernement à renoncer à la destruction de notre système de santé. Comme ce choc d'opinion et d'indignation ne s'est pas produit (il s'en est fallu de peu), le gouvernement peut continuer son cirque. "Business As Usual".
Le gouvernement a donc implicitement glissé dans toutes les têtes l'idée selon laquelle le réinvestissement dans la mission de santé universelle en France serait bizarrement exclusif avec les campagnes de vaccination. L'idée selon laquelle la meilleure façon d'aider l'hôpital qui était déjà bancale AVANT la pandémie, ce serait de se faire vacciner. Or, nous savons tous que c'est du pipeau. C'est du pipeau parce que ça fait dix ans que les hôpitaux ferment, sont en sous effectifs de soignants, croulent sous la paperasse administrative et les objectifs de neutralité budgétaire. C'est pas un problème qui est survenu avec la COVID-19 ; il a juste été amplifié. Et quand on voit l'efficacité des vaccins face aux variants, on sait pertinemment que c'est encore plus du pipeau ; il n'y a qu'à voir pour ça les pays ayant une grande couverture vaccinale avec schéma complet, qui replongent dans l'épidémie comme les autres.
Le gouvernement et les médias nous ont donc enfermé implicitement dans un faux dilemme : se vacciner, ou prendre soin de l'hôpital. Ils ont réussi, c'est trop tard pour faire marche arrière, les gens l'ont imprimé et ne se rendent pas compte de la supercherie.
Donc, lorsqu'on se vaccine, on cautionne le gouvernement. Pas de sa volonté propre à soi, en tant que citoyen, mais on lui apporte du grain à moudre via des statistiques (les médias et le gouvernement aiment à marteler que la majorité des gens est pro-vax en brandissant les statistiques de couverture vaccinale : argumentum ad populum, appel à la majorité).
C'est débile, je sais, vous pouvez ne pas me croire et penser que je raconte des conneries, que vous ne voulez absolument pas contribuer à la casse des hôpitaux par votre vaccination, mais c'est la faute du gouvernement. C'est lui qui nous a mis dans cette impasse dialectique. C'est le pouvoir qu'ont ses mots et ceux des médias.
Je ne rejette pas la faute sur les vaccinés, je ne le ferai jamais. Je dis juste que vous êtes tombés dans le panneau : le gouvernement et la finance compte sur votre bonne volonté et votre bonne conduite citoyenne (louable) pour continuer cette merde, cette même merde qui nous a obligés à nous confiner en premier lieu (parce que oui, le confinement c'est pour que l'hôpital explose pas hein, rien d'autre).
Pour qu'on s'en sorte il faut absolument que vous compreniez que se vacciner, ça peut être effectivement utile individuellement (surtout si vous avez des comorbidités), mais en tant que geste citoyen, et au vu du contexte politique absurde que nous subissons dans ce pays, le meilleur geste citoyen que vous pouvez faire, c'est ne pas vous vacciner. Ne pas vous vacciner pour que l'hôpital souffre, pour qu'il soit en crise, et pour que les médias soient obligés d'admettre qu'il faut réinvestir dedans. Et puis de toute façon, si vous vous faites vacciner avec les vaccins actuellement administrés, ils ne sont pas assez efficaces contre les variants récents, donc les hospitalisations vont grimper quand même.
Merci d'avoir lu.
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TL;DR :
Au début, je me réjouissais des vaccins, et j'étais sur le point de prendre mon RDV.
Puis ensuite, très vite, j'ai vu la machine autoritaire se mettre en marche avec la diabolisation des non-vaccinés.
Ce déferlement de violence étatique et social m'a dégoûté et je n'y suis du coup pas allé. C'est con : s'ils avaient été sympas avec moi, je me serai fait vacciner de mon plein gré.
Ensuite, j'ai eu des semaines d'hésitation pendant lesquelles j'ai découvert progressivement qu'on nous mentait régulièrement sur l'efficacité des vaccins COVID-19 et je voyais de plus en plus de pays inexplicablement re-sombrer dans l'épidémie malgré des campagnes de vaccination couronnées de succès. Donc j'ai commencé à remettre en question la stratégie du tout vaccinal, notamment en connaissance du taux de contagiosité et de mutation tous deux élevés de la COVID-19.
J'ai alors réalisé ce que je pense être l'essence des politiques sanitaires récentes post-1er confinement : par tous les moyens, trouver une façon de ne pas avoir à sauver l'hôpital. Quitte à aligner mensonge sur mensonge, quitte à surenchérir dans des politiques fascistes en permanence.
Dès lors, j'ai décidé, avec fermeté, de ne pas me faire vacciner contre la COVID-19. Je ne le ferai que si cela me met en danger au regard de la maladie. Or, j'ai à peine 25 ans et je suis en bonne santé : donc je n'ai statistiquement quasiment aucun soucis à me faire.
Je ne suis pas anti-vax, j'ai fait mes rappels avec plaisir chez ma toubib ; j'ai même pris un vaccin facultatif contre la méningite. Mais vu que le vaccin contre la COVID-19 est instrumentalisé politiquement de façon honteuse et que ma confiance envers la gravité des effets secondaires n'a cessé d'être brisée par les retournements de veste permanents des autorités de santé, alors je le rejette.
J'ai voté effets long terme
Par rapport à la situation, donc une épidémie avec un taux de mortalité très faible, proposer une solution miracle avec des contrats classés secret, plus qui sont encore en phase expérimentale m'a freiné, plus de fait de vouloir contraindre à le prendre a ouvert ma méfiance, surtout aux jeunes et non à risque, alors que si ça tuais littéralement plein de gens on y serait allés de nous même.
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- 1 décembre 2021 à 22:09:25
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