Alyson Hannigan cette 10/10

Alyson Hannigan, contrairement à beaucoup d'actrices, et à plus forte raison les rousses, a ce côté girl next door qui plaît aux hommes. La plupart des autres font inaccessible, on a l'impression de voir des femmes figées sur pellicule tandis qu'Hannigan a ce sourire pétillant, cette sorte de proximité qui donne le sentiment d'être bien plus agréable à côtoyer.

Est-ce tout ? NON. Car la raison principale, la vraie raison qui fait que la majorité des adultes vont fantasmer dessus, c'est son air de sage demoiselle vite détrompé par son regard de gourgandine en manque. Un examen avisé par un mâle expérimenté ne trompe pas: dans l'intimité, la gentille petite Alyson se transforme en turbo-cochonne, le genre à faire bander les morts et à te lyophiliser les couilles. Une authentique chaudière qui te brûlera l'index au troisième degré si tu as le malheur de l'approcher de son entrejambe, et qui va aspirer ton âme par le chibre avec la voracité d'un vampire transylvanien. Elle se retourne en tout sens, par tout les temps et même les dieux arrêtent leurs occupations et se paluchent les yeux écarquillés et la bave aux lèvres quand elle écarte les cuisses, elle est tellement chaude qu'on pourrait reforger l'épée de Narsil sur sa vulve et abattre les portes du Mordor, mais ce serait inutile, parce que si elle avait été en Terre du Milieu, les nazguls n'en auraient rien eu à cirer des hobbits, de l'anneau et de tout ça, ils se seraient immolés en contemplant son petit cul brûlant comme un Balrog de la Moria. Elle ne te dira jamais non, non ne fait pas partie de sa structure mentale, tu pourras la monter partout, en public, à pied, à cheval, en voiture et même dans la soute à bagage de ce putain de Normandy, l'armée entière des Asari les nymphomanes azurées de l'espace ne pourra te détourner de l'attraction gravitationnelle créée par le vagin quantique d'Alyson Hannigan, tu t'y perdras comme dans un trou noir et tu n'en auras RIEN À FOUTRE de la putain de grand-mère d'Interstellar tellement tu seras occupé à lui pilonner la gaufrette. Les hommes, les dieux, les jaffas et même ce con de Thanos ne peuvent rien contre ça, ton seul but dans la vie sera de continuer à la tartiner, encore et encore, tant et si bien que tu finiras desséché comme Imhotep et que tu gicleras de la poussière dans la moiteur bénie de son intimité, et son feu intérieur te ramènera plus sûrement à la vie qu'un sarcophage goa'uld pour pouvoir encore mourir entre ses jambes avec un sourire aux lèvres. Elle n'a pas besoin de ton approbation, de ta tendresse ou de ta poésie, ce qu'il lui faut c'est ton jus d'homme, ton sirop d'orgeat à têtards, ton venin de couleuvre de calcif parce que c'est ce qu'elle est, pas une reproductrice, pas l'amour de ta vie, mais la plus grosse gourmande du Multivers, la pierre d'infinité de la Baise, le Tesseract de la jambe en l'air, le Livre Saint du coït débridé. Les lois de la thermodynamique n'ont pas court avec elle, elle te montrera des positions dont tu n'as même pas rêvé, elle s'activera comme le grand collisionneur de hadron sur ta barre de carbone, les détecteurs du CNRS enregistreront des perturbations sans précédents dans le tissu même de l'espace-temps, et les chercheurs du monde entier sauront, oui ils SAURONT qu'en ce moment précis, un chanceux est en train de se taper Alyson Hannigan et rien que pour ça tu auras droit au prix Nobel de physique, prix que tu n'iras pas récupérer car ton temps sera devenu trop précieux pour le passer ne serait-ce qu'une seule seconde en dehors de la figue de cette déesse à la chevelure cramoisie. Tu oublieras ta femme, tu oublieras ta mère, tu oublieras si c'était en Avril, en Septembre ou en Juillet, s'il faisait du soleil ou si la pluie tombait, et tu oublieras même les paroles de la chanson de Larusso quand elle plantera ses yeux de coquine dans les tiens avec ce simple mot : ENCORE.