[LeFigaro] Qui sont vraiment les 6,2 millions de Français non vaccinés ?
Le 29 novembre 2021 à 13:27:56 :
Réponse : tous les 0-12 ans.Et ~ 1 million de gens de tous horizons
non 6 millions de non vax parmi les +12 ans
Le 29 novembre 2021 à 13:29:21 :
Le 29 novembre 2021 à 13:27:56 :
Réponse : tous les 0-12 ans.Et ~ 1 million de gens de tous horizons
J'ai du mal a y croire, je connais beaucoup trop de non vaccinés autour de moi pour me dire qu'ils sont seulement 1 millions en France
Pareil j'ai du mal à croire peut-être que les chiffres sont fake
Le 29 novembre 2021 à 13:31:23 D4rkR4ffy a écrit :
Le 29 novembre 2021 à 13:29:21 :
Le 29 novembre 2021 à 13:27:56 :
Réponse : tous les 0-12 ans.Et ~ 1 million de gens de tous horizons
J'ai du mal a y croire, je connais beaucoup trop de non vaccinés autour de moi pour me dire qu'ils sont seulement 1 millions en France
Pareil j'ai du mal à croire peut-être que les chiffres sont fake
Bordel, mis a part le taf je fréquente que des non vax ! Ils vont pas me faire le coup du village gaulois !
Le 29 novembre 2021 à 13:29:21 :
Le 29 novembre 2021 à 13:27:56 :
Réponse : tous les 0-12 ans.Et ~ 1 million de gens de tous horizons
J'ai du mal a y croire, je connais beaucoup trop de non vaccinés autour de moi pour me dire qu'ils sont seulement 1 millions en France
Prend du recul sur ton milieu socio pro, en vrai on est très très peu nombreux.
Moi j'en connais aucun, à part moi.
Le 29 novembre 2021 à 13:31:23 :
Le 29 novembre 2021 à 13:29:21 :
Le 29 novembre 2021 à 13:27:56 :
Réponse : tous les 0-12 ans.Et ~ 1 million de gens de tous horizons
J'ai du mal a y croire, je connais beaucoup trop de non vaccinés autour de moi pour me dire qu'ils sont seulement 1 millions en France
Pareil j'ai du mal à croire peut-être que les chiffres sont fake
y'a 107% de vaxidosé à Paris d'après les chiffres officiel du gouvernement, et vous vous demandez encore si c'est fake ?
Covid-19 : qui sont vraiment les 6,2 millions de Français non vaccinés ?
DÉCRYPTAGE - Âge, lieu de résidence, catégorie socio-professionnelle... Certaines études permettent de mieux cerner le profil des personnes qui n'ont encore reçu aucune injection de vaccin.
Après onze mois de mobilisation, et malgré les efforts déployés par les autorités, un peu plus de six millions de nos concitoyens n'ont toujours pas démarré leur schéma vaccinal. De quoi susciter l'étonnement, voire l'agacement de certains, alors que l'épidémie repart et que les doses sont largement disponibles : jeudi, le ministre de la Santé a ainsi annoncé une nouvelle batterie de mesures, dont la limitation de la durée de validité des tests à 24 heures, pour inciter à la vaccination. Le passe sanitaire est désormais un « passe maximal », poussant autant que faire se peut les récalcitrants à recevoir leurs injections protectrices, a jugé le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, vendredi matin.
» LIRE AUSSI - Avec seulement 2% de patients Covid en 2020, les hôpitaux ont-ils vraiment été saturés ?
Mais qui sont ces Français qui, par conviction ou par manque d'information, par crainte ou par isolement, n'ont pas encore été vaccinés ? Certaines études et analyses permettent de mieux cerner le profil de ces individus.
Prenons d'abord une vue d'ensemble sur la situation. Au 24 novembre, Santé publique France rapportait quelque 51,81 millions de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin, soit 77,3% des 67,4 millions de Français, et 89,8% de la population éligible (un peu plus de 58 millions de personnes), âgée de douze ans et plus. Aujourd'hui, une personne éligible sur dix n'a donc reçu aucune dose de vaccin, soit environ 6,2 millions de personnes. La couverture progresse désormais plus lentement que cet été : autour de 22.000 premières doses sont injectées chaque jour, fin novembre.
Dans le détail, des disparités apparaissent d'abord selon l'âge. La couverture est particulièrement élevée chez les septuagénaires, mais une personne sur dix n'a pas démarré son schéma vaccinal dans quatre tranches d'âge, et les mineurs, peu concernés par les formes graves, sont les moins vaccinés : un peu moins du quart de cette population n'a pas reçu sa primo-injection. À noter, la couverture progresse cependant de manière plus rapide chez les jeunes de 12 à 17 ans.
1,15 million d'adolescents n'ont pas encore démarré leur schéma vaccinal, de même qu'1,07 million de trentenaires et plus de 880.000 quarantenaires. En outre, 510.000 personnes âgées de 80 ans et plus n'ont toujours pas reçu d'injection, selon le ministère de la Santé : le gouvernement compte sur ses actions d'aller vers, dont la vaccination à domicile et l'envoi de courriers par l'Assurance maladie, pour renforcer une couverture insuffisante, alors que nombre de nos voisins européens ont totalement protégé leurs aînés.
La campagne vaccinale n'est pas non plus terminée dans les Ehpad et unités de soin longue durée (USLD) : au 24 novembre, un peu plus de 6% des résidents n'avaient pas reçu leur première dose. Et, du côté des personnels soignants, la campagne doit, là encore, progresser. Un peu moins de 8% des professionnels en Ehpad et USLD n'avaient reçu aucune dose, à la même date, contre seulement 3,1% chez les soignants libéraux. Également, 7,7% des personnels soignants salariés exerçant en établissement de santé n'avaient pas démarré leur schéma vaccinal, au 23 novembre. Et ce, malgré l'obligation vaccinale en vigueur depuis plusieurs semaines.
À VOIR AUSSI – La majorité présidentielle « ne souhaite pas » reconfiner les non vaccinés
Des différences subsistent entre les départements
En France entière, les personnes atteintes de comorbidité, pourtant plus fragiles et susceptibles de développer des formes graves de la maladie, sont également plus ou moins vaccinées selon leur problème de santé. Au 21 novembre, selon l'Assurance maladie, la majorité des patients traités pour des comorbidités avaient terminé leur schéma vaccinal, mais certaines pathologies restaient en retard, comme les personnes atteintes du VIH (15% n'ont reçu encore aucune dose), de maladies du foie (14%), les paraplégiques (16%) ou les personnes atteintes de sclérose en plaques (16%). 68% seulement des individus dépendants aux opioïdes avaient ainsi reçu leur première dose.
On retrouve également des différences de taux de couverture entre les territoires : en métropole, d'après Santé publique France, seuls trois départements présentent un taux de couverture de première dose inférieur à 80% : les Yvelines, l'Ain et la Haute-Corse. Est pris en compte dans ces indicateurs le lieu d'injection. Tous les départements de la façade Atlantique présentent d'excellents résultats, bien supérieurs aux zones méditerranéennes. La différence géographique, observée dès les premières heures de la campagne vaccinale, ne s'est toujours pas résorbée.
Les données de l'Assurance maladie, qui s'appuient sur le lieu de résidence des personnes vaccinées, non celui de vaccination, corroborent cette analyse : la partie nord-ouest et ouest de l'Hexagone est plus vaccinée que le sud-est, Corse comprise. En Bretagne, au 21 novembre, les taux de couverture pour une première injection dépassaient 89% dans toutes les tranches d'âge éligibles, y compris les mineurs, quand ceux de la région Paca oscillaient entre 59% et 90%. En Corse, ils s'échelonnaient entre 50% et 86%. L'effort pour convaincre les populations doit donc se concentrer sur ces territoires.
Malgré une progression timide ces derniers mois, les territoires d'Outre-mer restent à la traîne, avec des taux de première injection particulièrement faibles à Mayotte et en Guyane. Légèrement supérieurs en Guadeloupe et en Martiaime, ils sont bien plus élevés à La Réunion.
Timide reprise de la demande sur les premières injections
Outre ces données, le profil précis des personnes encore réticentes à la vaccination est souligné par les enquêtes Coviprev, menées par Santé publique France en partenariat avec l'institut BVA. La dernière vague date de début octobre : elle révèle notamment que l'adhésion est plus forte chez les individus âgés de 65 ans et plus, chez les personnes habitant en ville et chez les catégories socioprofessionnelles favorisées. Les personnes réticentes dénonçaient des vaccins jugés « pas sûrs » et des informations contradictoires dans les médias sur les produits injectés.
De son côté, le ministère de la Santé soulignait, mi-novembre, que le taux de vaccination des populations bénéficiant de la complémentaire santé solidaire (C2S) est « plus faible qu'en population générale », de l'ordre de 40% seulement. Un symbole des « divergences en fonction de critères socioéconomiques » entre les types de ménages.
L'adhésion globale reste haute : 87% des personnes interrogées déclaraient avoir débuté leur vaccination ou souhaiter « certainement ou probablement » recevoir leurs injections. S'il reste donc un noyau de non-vaccinés – loin d'être négligeable, puisqu'il pèse 10% de la population éligible -, celui-ci se réduit donc peu à peu.
Ces données pourraient cependant évoluer. Contrairement à juillet dernier, la prise de parole d'Emmanuel Macron, en novembre, n'a eu que peu d'effet sur la prise de rendez-vous pour une primoinjection. Mais la prise de parole du président de la République a quand même donné un sérieux coup de fouet aux rendez-vous pour un rappel vaccinal. Et, depuis le 1er novembre, les créneaux réservés chaque jour sur Doctolib pour une première dose ont augmenté : la moyenne sur sept jours est ainsi passée de 10.400, le 1er, à 15.100, trois semaines plus tard. L'appel à la mobilisation, jeudi, a peut-être accentué cette dynamique : jeudi, jour de la prise de parole d'Olivier Véran, le nombre de rendez-vous pour une primoinjection a passé la barre des 23.000 pour la première fois depuis fin septembre. Reste à voir si cette évolution s'ancrera dans la durée.
Note(s) :Mise à jour : 2021-11-26 16:30 UTC +01:00
Le 29 novembre 2021 à 13:29:56 :
Perso -> bac +5
Le 29 novembre 2021 à 13:27:56 :
Réponse : tous les 0-12 ans.Et ~ 1 million de gens de tous horizons
Les 0-12 sont pas compté pour le moment
Le 29 novembre 2021 à 13:30:41 :
Sans doute des scientifiques et des ingénieurs
généralement dans une population y'a d'avantage de cons que de génies
Le 29 novembre 2021 à 13:29:46 Tremensides a écrit :
Le 29 novembre 2021 à 13:27:56 :
Réponse : tous les 0-12 ans.Et ~ 1 million de gens de tous horizons
Il y a 51 millions de double dosed
On est 70 millions en France
On est presque 76 millions en France, suffit de compter le nombre de carte vitale actives.
Le 29 novembre 2021 à 13:33:34 :
<spoil>Covid-19 : qui sont vraiment les 6,2 millions de Français non vaccinés ?DÉCRYPTAGE - Âge, lieu de résidence, catégorie socio-professionnelle... Certaines études permettent de mieux cerner le profil des personnes qui n'ont encore reçu aucune injection de vaccin.
Après onze mois de mobilisation, et malgré les efforts déployés par les autorités, un peu plus de six millions de nos concitoyens n'ont toujours pas démarré leur schéma vaccinal. De quoi susciter l'étonnement, voire l'agacement de certains, alors que l'épidémie repart et que les doses sont largement disponibles : jeudi, le ministre de la Santé a ainsi annoncé une nouvelle batterie de mesures, dont la limitation de la durée de validité des tests à 24 heures, pour inciter à la vaccination. Le passe sanitaire est désormais un « passe maximal », poussant autant que faire se peut les récalcitrants à recevoir leurs injections protectrices, a jugé le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, vendredi matin.
» LIRE AUSSI - Avec seulement 2% de patients Covid en 2020, les hôpitaux ont-ils vraiment été saturés ?
Mais qui sont ces Français qui, par conviction ou par manque d'information, par crainte ou par isolement, n'ont pas encore été vaccinés ? Certaines études et analyses permettent de mieux cerner le profil de ces individus.
Prenons d'abord une vue d'ensemble sur la situation. Au 24 novembre, Santé publique France rapportait quelque 51,81 millions de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin, soit 77,3% des 67,4 millions de Français, et 89,8% de la population éligible (un peu plus de 58 millions de personnes), âgée de douze ans et plus. Aujourd'hui, une personne éligible sur dix n'a donc reçu aucune dose de vaccin, soit environ 6,2 millions de personnes. La couverture progresse désormais plus lentement que cet été : autour de 22.000 premières doses sont injectées chaque jour, fin novembre.
Dans le détail, des disparités apparaissent d'abord selon l'âge. La couverture est particulièrement élevée chez les septuagénaires, mais une personne sur dix n'a pas démarré son schéma vaccinal dans quatre tranches d'âge, et les mineurs, peu concernés par les formes graves, sont les moins vaccinés : un peu moins du quart de cette population n'a pas reçu sa primo-injection. À noter, la couverture progresse cependant de manière plus rapide chez les jeunes de 12 à 17 ans.
1,15 million d'adolescents n'ont pas encore démarré leur schéma vaccinal, de même qu'1,07 million de trentenaires et plus de 880.000 quarantenaires. En outre, 510.000 personnes âgées de 80 ans et plus n'ont toujours pas reçu d'injection, selon le ministère de la Santé : le gouvernement compte sur ses actions d'aller vers, dont la vaccination à domicile et l'envoi de courriers par l'Assurance maladie, pour renforcer une couverture insuffisante, alors que nombre de nos voisins européens ont totalement protégé leurs aînés.
La campagne vaccinale n'est pas non plus terminée dans les Ehpad et unités de soin longue durée (USLD) : au 24 novembre, un peu plus de 6% des résidents n'avaient pas reçu leur première dose. Et, du côté des personnels soignants, la campagne doit, là encore, progresser. Un peu moins de 8% des professionnels en Ehpad et USLD n'avaient reçu aucune dose, à la même date, contre seulement 3,1% chez les soignants libéraux. Également, 7,7% des personnels soignants salariés exerçant en établissement de santé n'avaient pas démarré leur schéma vaccinal, au 23 novembre. Et ce, malgré l'obligation vaccinale en vigueur depuis plusieurs semaines.
À VOIR AUSSI – La majorité présidentielle « ne souhaite pas » reconfiner les non vaccinés
Des différences subsistent entre les départements
En France entière, les personnes atteintes de comorbidité, pourtant plus fragiles et susceptibles de développer des formes graves de la maladie, sont également plus ou moins vaccinées selon leur problème de santé. Au 21 novembre, selon l'Assurance maladie, la majorité des patients traités pour des comorbidités avaient terminé leur schéma vaccinal, mais certaines pathologies restaient en retard, comme les personnes atteintes du VIH (15% n'ont reçu encore aucune dose), de maladies du foie (14%), les paraplégiques (16%) ou les personnes atteintes de sclérose en plaques (16%). 68% seulement des individus dépendants aux opioïdes avaient ainsi reçu leur première dose.
On retrouve également des différences de taux de couverture entre les territoires : en métropole, d'après Santé publique France, seuls trois départements présentent un taux de couverture de première dose inférieur à 80% : les Yvelines, l'Ain et la Haute-Corse. Est pris en compte dans ces indicateurs le lieu d'injection. Tous les départements de la façade Atlantique présentent d'excellents résultats, bien supérieurs aux zones méditerranéennes. La différence géographique, observée dès les premières heures de la campagne vaccinale, ne s'est toujours pas résorbée.
Les données de l'Assurance maladie, qui s'appuient sur le lieu de résidence des personnes vaccinées, non celui de vaccination, corroborent cette analyse : la partie nord-ouest et ouest de l'Hexagone est plus vaccinée que le sud-est, Corse comprise. En Bretagne, au 21 novembre, les taux de couverture pour une première injection dépassaient 89% dans toutes les tranches d'âge éligibles, y compris les mineurs, quand ceux de la région Paca oscillaient entre 59% et 90%. En Corse, ils s'échelonnaient entre 50% et 86%. L'effort pour convaincre les populations doit donc se concentrer sur ces territoires.
Malgré une progression timide ces derniers mois, les territoires d'Outre-mer restent à la traîne, avec des taux de première injection particulièrement faibles à Mayotte et en Guyane. Légèrement supérieurs en Guadeloupe et en Martiaime, ils sont bien plus élevés à La Réunion.
Timide reprise de la demande sur les premières injections
Outre ces données, le profil précis des personnes encore réticentes à la vaccination est souligné par les enquêtes Coviprev, menées par Santé publique France en partenariat avec l'institut BVA. La dernière vague date de début octobre : elle révèle notamment que l'adhésion est plus forte chez les individus âgés de 65 ans et plus, chez les personnes habitant en ville et chez les catégories socioprofessionnelles favorisées. Les personnes réticentes dénonçaient des vaccins jugés « pas sûrs » et des informations contradictoires dans les médias sur les produits injectés.
De son côté, le ministère de la Santé soulignait, mi-novembre, que le taux de vaccination des populations bénéficiant de la complémentaire santé solidaire (C2S) est « plus faible qu'en population générale », de l'ordre de 40% seulement. Un symbole des « divergences en fonction de critères socioéconomiques » entre les types de ménages.
L'adhésion globale reste haute : 87% des personnes interrogées déclaraient avoir débuté leur vaccination ou souhaiter « certainement ou probablement » recevoir leurs injections. S'il reste donc un noyau de non-vaccinés – loin d'être négligeable, puisqu'il pèse 10% de la population éligible -, celui-ci se réduit donc peu à peu.
Ces données pourraient cependant évoluer. Contrairement à juillet dernier, la prise de parole d'Emmanuel Macron, en novembre, n'a eu que peu d'effet sur la prise de rendez-vous pour une primoinjection. Mais la prise de parole du président de la République a quand même donné un sérieux coup de fouet aux rendez-vous pour un rappel vaccinal. Et, depuis le 1er novembre, les créneaux réservés chaque jour sur Doctolib pour une première dose ont augmenté : la moyenne sur sept jours est ainsi passée de 10.400, le 1er, à 15.100, trois semaines plus tard. L'appel à la mobilisation, jeudi, a peut-être accentué cette dynamique : jeudi, jour de la prise de parole d'Olivier Véran, le nombre de rendez-vous pour une primoinjection a passé la barre des 23.000 pour la première fois depuis fin septembre. Reste à voir si cette évolution s'ancrera dans la durée.
Note(s) :
Mise à jour : 2021-11-26 16:30 UTC +01:00</spoil>
Le 29 novembre 2021 à 13:34:12 :
Le 29 novembre 2021 à 13:29:46 Tremensides a écrit :
Le 29 novembre 2021 à 13:27:56 :
Réponse : tous les 0-12 ans.Et ~ 1 million de gens de tous horizons
Il y a 51 millions de double dosed
On est 70 millions en FranceOn est presque 76 millions en France, suffit de compter le nombre de carte vitale actives.
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- Auteur
- helicoVaxx_
- Date de création
- 29 novembre 2021 à 13:26:13
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