Topic de Choysia_37 :

[ZEMMOUR] Tout était sous nos yeux depuis le début

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https://www.dailymotion.com/video/x19nb5h

Ce qu'il dit concernant l'affaire Hollande-Gayet en 2014 :
:

Depuis son avènement, on présentait François Hollande comme mou, velléitaire, indécis. Un portrait pas très viril. Même deux guerres n'avaient pas réussi à lui conférer l'éclat du sceptre monarchique. Pourtant, on se souvient de son exaltation au Mali au milieu des femmes en boubous qui
l'acclamaient. Désormais, il n'y a plus doute : nous avons un roi !
Tous nos rois affichèrent leurs maîtresses comme signe de puissance et de magnificence. Nos deux empereurs firent aussi honneur à leur rang. Dans la longue lignée de nos monarques, des deux seuls à qui on ne connut pas d'aventure, l'un finit en saint, et l'autre sur la guillotine. Cela ne donne pas envie.

La République ne voulut pas renier cette tradition française. Même les présidents de la IIIème République eurent des maîtresses et fréquentèrent les maisons closes. Najat Vallaud-Belkacem leur aurait mis une amende. Le général de Gaulle, en s'installant à l'Élysée, avait comme ambition d'établir une monarchie républicaine. Il a été servi. Giscard et son laitier, Mitterrand et ses innombrables visiteuses du soir, Chirac et ses "dix minutes, douche comprise". À l'Élysée, "ça a toujours galopé", aurait dit Bernadette.

Sarkozy ne fut pas en reste. Mais lui innova, premier cocu officiel de la République, et sentimental comme un adolescent, qui raconte à tout le monde ses déboires et ses fortunes.

Avec Hollande, on revient à la tradition. Pure et dure. Les actrices ont toujours tourné autour de nos rois, de nos empereurs et de nos présidents. Même sa garçonnière, qui appartient sans appartenir tout en appartenant à un ancien des clans mafieux corses, fait songer aux réseaux de prostitution mis au service de l'appétit sexuel de Louis XV, ou aux liens souvent obscurs entretenus par les politiques de toutes les Républiques avec la pègre. Il est vrai que Louis XV finit haï par le peuple et que la République faillit mourir de ses scandales à plus d'une reprise.

Valérie Trierweiler, concubine au statut fragile
Finalement, seule Valérie Trierweiler n'est pas dans la note historique. Certes, ses douleurs de femme trompée et son hospitalisation évoquent la fureur de Marie-Thérèse, l'épouse de Louis XIV qui, devant les insolences de la Montespan, manquait s'évanouir et poussait des cris de rage de son accent espagnol : "Cette Poutain me fera mourir !".

Mais la reine était mariée au roi. Pas Valérie. Elle n'est qu'une concubine au statut fragile. On ne sait plus aujourd'hui qui doit désormais accompagner le président dans les voyages officiels. L'ancienne est-elle évincée au profit de la nouvelle ? Doit-elle quitter ses bureaux de l'Élysée ?

La gauche a cru habile de jouer la modernité du président qui ne se marie pas, mais marie les homosexuels. Et voilà que son héros nous rejoue le classique de l'homme infidèle et des jolies femmes irrésistiblement séduites par le pouvoir. Un pur stéréotype sexuel, dirait Najat Vallaud-Belkacem, à proscrire des cours de théorie du genre que Vincent Peillon a introduit à l'école.

Parfois, il arrive que la tradition et les stéréotypes exaspérés se donnent la main pour se venger. Et se marrer

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Mais naaaan, le monsieur n'a aucun problème avec les femmes et le pouvoir, parfaitement sain on vous dit https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Le 26 novembre 2021 à 00:22:18 :
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Ce qu'il dit concernant l'affaire Hollande-Gayet en 2014 :
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Depuis son avènement, on présentait François Hollande comme mou, velléitaire, indécis. Un portrait pas très viril. Même deux guerres n'avaient pas réussi à lui conférer l'éclat du sceptre monarchique. Pourtant, on se souvient de son exaltation au Mali au milieu des femmes en boubous qui
l'acclamaient. Désormais, il n'y a plus doute : nous avons un roi !
Tous nos rois affichèrent leurs maîtresses comme signe de puissance et de magnificence. Nos deux empereurs firent aussi honneur à leur rang. Dans la longue lignée de nos monarques, des deux seuls à qui on ne connut pas d'aventure, l'un finit en saint, et l'autre sur la guillotine. Cela ne donne pas envie.

La République ne voulut pas renier cette tradition française. Même les présidents de la IIIème République eurent des maîtresses et fréquentèrent les maisons closes. Najat Vallaud-Belkacem leur aurait mis une amende. Le général de Gaulle, en s'installant à l'Élysée, avait comme ambition d'établir une monarchie républicaine. Il a été servi. Giscard et son laitier, Mitterrand et ses innombrables visiteuses du soir, Chirac et ses "dix minutes, douche comprise". À l'Élysée, "ça a toujours galopé", aurait dit Bernadette.

Sarkozy ne fut pas en reste. Mais lui innova, premier cocu officiel de la République, et sentimental comme un adolescent, qui raconte à tout le monde ses déboires et ses fortunes.

Avec Hollande, on revient à la tradition. Pure et dure. Les actrices ont toujours tourné autour de nos rois, de nos empereurs et de nos présidents. Même sa garçonnière, qui appartient sans appartenir tout en appartenant à un ancien des clans mafieux corses, fait songer aux réseaux de prostitution mis au service de l'appétit sexuel de Louis XV, ou aux liens souvent obscurs entretenus par les politiques de toutes les Républiques avec la pègre. Il est vrai que Louis XV finit haï par le peuple et que la République faillit mourir de ses scandales à plus d'une reprise.

Valérie Trierweiler, concubine au statut fragile
Finalement, seule Valérie Trierweiler n'est pas dans la note historique. Certes, ses douleurs de femme trompée et son hospitalisation évoquent la fureur de Marie-Thérèse, l'épouse de Louis XIV qui, devant les insolences de la Montespan, manquait s'évanouir et poussait des cris de rage de son accent espagnol : "Cette Poutain me fera mourir !".

Mais la reine était mariée au roi. Pas Valérie. Elle n'est qu'une concubine au statut fragile. On ne sait plus aujourd'hui qui doit désormais accompagner le président dans les voyages officiels. L'ancienne est-elle évincée au profit de la nouvelle ? Doit-elle quitter ses bureaux de l'Élysée ?

La gauche a cru habile de jouer la modernité du président qui ne se marie pas, mais marie les homosexuels. Et voilà que son héros nous rejoue le classique de l'homme infidèle et des jolies femmes irrésistiblement séduites par le pouvoir. Un pur stéréotype sexuel, dirait Najat Vallaud-Belkacem, à proscrire des cours de théorie du genre que Vincent Peillon a introduit à l'école.

Parfois, il arrive que la tradition et les stéréotypes exaspérés se donnent la main pour se venger. Et se marrer

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Mais naaaan, le monsieur n'a aucun problème avec les femmes et le pouvoir, parfaitement sain on vous dit https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

"Un saint, ça ne donne pas envie" :)

Et des catholiques votent Zemmour lol.. :)

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Données du topic

Auteur
Choysia_37
Date de création
26 novembre 2021 à 00:22:18
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