C'est quelque chose quand même. Des mois d'intenses efforts, de rebonds, de contre-temps pour tenter de la ramener dans ta misérable piaule. Des mois à te lacérer la courgette comme si t'étais Charles Manson en imaginant le corps houleux de ta convoitée danser sur toi. Puis le jour venu, ce moment où elle monte les escaliers de ton immeuble délabré. Des secondes qui passent pour une éternité durant lesquels ton regard se scotche à son cul, car tu sais que tu vas l'entrouvrir et délivrer les mânes qui s'y cachent. Cette Porte des étoiles, l'organe le plus honteux du corps. Aucune fille ne se satisfait d'être dotée d'un trou du cul, jusqu'au jour où la langue râpeuse d'un petit chien vient le lui lécher pendant de longues heures et qu'elle soit dans l'obligation d'enfoncer sa tête dans l'oreiller voisin pour cacher ses hululements de plaisir