Après, je sais pas si à partir d'un seuil de richesse, on doit reconsidérer le concept de prostitution.
Genre, pour moi un mécanicien qui va aux putes, et un banquier qui va aux escorts, c'est deux situations différentes.
Le premier renvoi une image de misère sexuelle et économique, et les deux se gangrènent créant un cercle vicieux. Le second, au contraire, renvoi l'image d'un homme pressé, n'ayant que le temps pour ce qui lui rapporterait de l'argent, et de l'argent pour ce qui lui ferait gagner du temps.
En soi, c'est surtout la richesse personnelle qui défini si on est digne ou non d'aller aux escorts