"Loi liberticide" ou comment repérer les Kassos qui se prennent pour Les Lumières
Déjà pour commencer Liberticide veut dire que cela nui à la liberté de quelqu'un ou de quelque chose.
Une loi est :
1.Règle impérative.
2.Règle exprimant un idéal, une norme.
3. Une règle qui encadre la société
Donc pour résumer la loi nous donne des ordres et encadre la société pour nous permettre d'y vivre en presque harmonie. Une loi est donc par essence liberticide à partir du moment où elle a des effets sur la société. Par exemple une loi pour interdire la torture est liberticide envers les gens qui aime faire du mal aux autres sans leurs consentements.
Si l'on est contre les lois liberticides on est donc contre les lois et ce qui encadre la société. Donc pour faire un rapide raccourci on est contre la société. L'on peut être tout à fait contre une ou plusieurs lois mais dire que l'on est contre parce que c'est liberticide c'est bête. Ou en tout cas c'est pas faux mais cela n'apporte rien et ce n'est pas un argument viable. Dire qu'une loi est liberticide c'est comme dire je monte en haut.
Ils répètent la même chose en boucle les uns après les autres comme des bots
NPC Complotiste
Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme pourrait se produire dans le monde: je vois une foule innombrable d'hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leur âme. Chacun d'eux, retiré à l'écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres: ses enfants et ses amis particuliers forment pour lui toute l'espèce humaine; quant au demeurant de ses concitoyens, il est à côté d'eux, mais il ne les voit pas; il les touche et ne les sent point; il n'existe qu'en lui-même et pour lui seul, et s'il lui reste encore une famille, on peut dire du moins qu'il n'a plus de patrie.
Au-dessus de ceux-la s'élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d'assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l'âge viril; mais il ne cherche, au contraire, qu'à les fixer irrévocablement dans l'enfance; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu'ils ne songent qu'à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur; mais il veut en être l'unique agent et le seul arbitre; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages; que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre?
C'est ainsi que tous les jours il rend moins utile et plus rare l'emploi du libre arbitre; qu'il renferme l'action de la volonté dans un plus petit espace, et dérobe peu a peu chaque citoyen jusqu'à l'usage de lui-même. L'égalité a préparé les hommes à toutes ces choses: elle les a disposés à les souffrir et souvent même à les regarder comme un bienfait.
Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l'avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière; il en couvre la surface d'un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige; il force rarement d'agir, mais il s'oppose sans cesse à ce qu'on agisse; il ne détruit point, il empêche de naître; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation a n'être plus qu'un troupeau d'animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger.
J'ai toujours cru que cette sorte de servitude, réglée, douce et paisible, dont je viens de faire le tableau, pourrait se combiner mieux qu'on ne l'imagine avec quelques unes des formes extérieures de la liberté, et qu'il ne lui serait pas impossible de s'établir a l'ombre même de la souveraineté du peuple.
Nos contemporains sont incessamment travaillés par deux passions ennemies: ils sentent le besoin d'être conduits et l'envie de rester libres. Ne pouvant détruire ni l'un ni l'autre de ces instincts contraires, ils s'efforcent de les satisfaire à la fois tous les deux. Ils imaginent un pouvoir unique, tutélaire, tout-puissant, mais élu par les citoyens. Ils combinent la centralisation et la souveraineté du peuple. Cela leur donne quelque relâche. Ils se consolent d'être en tutelle, en songeant qu'ils ont eux mêmes choisi leurs tuteurs. Chaque individu souffre qu'on l'attache, parce qu'il voit que ce n'est pas un homme ni une classe, mais le peuple lui-même, qui tient le bout de la chaîne.
Dans ce système, les citoyens sortent un moment de la dépendance pour indiquer leur maître, et y rentrent.
Il y a, de nos jours, beaucoup de gens qui s'accommodent très aisément de cette espèce de compromis entre le despotisme administratif et la souveraineté du peuple, et qui pensent avoir assez garanti la liberté des individus, quand c'est au pouvoir national qu'ils la livrent. Cela ne me suffit point. La nature du maître m'importe bien moins que l'obéissance.
Le 06 novembre 2021 à 13:59:43 :
C'est sous-entendu par rapport aux lois de " d'habitude ", pas besoin de faire ton intellectuel, une règle est forcément liberticide
Un peu de maîtrise des principes et de la langue peut être appréciable, c'est le même délire que stipule/dispose ou deuxième/second
Le 06 novembre 2021 à 14:02:08 :
Jean L2 droits spe chomage
Je suis en prépa 1ere année...
Le 06 novembre 2021 à 14:03:14 :
Le 06 novembre 2021 à 14:01:53 :
Le 06 novembre 2021 à 14:00:24 :
Putain mais les L2 qui ont eu un cours de droit calmez-vousJe suis en prepa 1ere année...
Encore pire, parce que t'as l'arrogance du prépa en plus de l'ignorance
OK mais enfaite j'ai pas un égo surdimensionné j'aurais pu faire de la branlette intellectuel en écrivant un pavé de 4 pages pour dire la même chose que mon résumé de 5 lignes.
"Ignorance" en mode tu es chef d'un cabinet d'avocat ayant fait ses études à Harvard
Paie ton raisonnement le golem, on est au courant de tout ça, ce qui n'empêche pas que nous enfermer chez nous pour un rhume est abusif et liberticide
Le 06 novembre 2021 à 14:04:09 :
C'est bien tu joues avec les mots t'es content le golem
Tient un golem qui traite un humain intelligent de golem
Le 06 novembre 2021 à 14:02:47 :
Le 06 novembre 2021 à 13:59:43 :
C'est sous-entendu par rapport aux lois de " d'habitude ", pas besoin de faire ton intellectuel, une règle est forcément liberticideUn peu de maîtrise des principes et de la langue peut être appréciable, c'est le même délire que stipule/dispose ou deuxième/second
Clairement mais il ne faut pas trop en demander au pnj moyen
Le 06 novembre 2021 à 14:06:37 :
Ça joue avec les termes et ça se sent BRILLANT
Paie ton raisonnement le golem, on est au courant de tout ça, ce qui n'empêche pas que nous enfermer chez nous pour un rhume est abusif et liberticide
Tient un golem qui traite un humain intelligent de golem
Données du topic
- Auteur
- DarwinLove
- Date de création
- 6 novembre 2021 à 13:58:07
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