Topic de Baaaalloo :

L'anulingus vous en pensez quoi ?

Vous tombez que sur des femmes sales c'est pas possible. J'ai jamais eu aucun soucis https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/6/1636203348-237923-full.png

Le 06 novembre 2021 à 13:55:58 :
Une bénédiction https://image.noelshack.com/fichiers/2021/44/6/1636203348-237923-full.png

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/11/1489456066-1466366197-risitas10-copie.png

En 69 ma langue est passé de sa chatte humide à la rondelle et ça a été un des moments les plus excitants de ma vie que d’enfoncer ma langue pendant qu’elle me sucer de plus en plus en gorge profonde

Le 06 novembre 2021 à 13:56:53 :
Chepa chuis puceau

Mais est-ce que ça te donne envie de le faire ?

Uniquement si je sais que ma copine est ultra clean. C'est pas vraiment un kiff mais pour mon ex ça l'était, je le faisais surtout sous le coup de l'excitation :hap:
C'est sympas quand la meuf en fait un en vrais mais surtout pour le sentiment de soumission :(

Le 06 novembre 2021 à 13:50:22 :
Vous pratiquez cette activité avec votre copine ou vos escorts ?

si douche avant j adore et les meufs aussi

Le 06 novembre 2021 à 13:57:57 :
C'est sympas quand la meuf en fait un en vrais mais surtout pour le sentiment de soumission :(

Moi j'ai pas envie qu'on me le fasse :( Je préfère que ce soit moi qui le fasse

Elles aiment toute ca. Aucune a refusé / n'a pas aimé.

Le 06 novembre 2021 à 13:52:40 :

[13:51:12] <Baaaalloo>

Le 06 novembre 2021 à 13:50:55 :
Ignoble

Pourquoi tu trouve ça ignoble ?

Dois je te rappeler ce qui sort de l'anus ?

Ta copine se lave jamais l'anus ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

En tout cas j'ai l'impression que c'est très 50/50, certains en sont dégoutés d'autre adorent :(

Plaidoyer pour l'anulingus : se bouffer le fion comme substitut au mariage civil.

C'est par une intuition, au sortir de la mairie un samedi d'avril, que cette idée m'est venue à l'esprit. Je n'étais pas loin derrière les époux, qui atteignaient déjà le parvis de l'hôtel de ville, lorsque l'hypothèse d'une alliance tacite est passée par l'examen de ma raison et qu'elle s'y est soumise.

Les invités accueillirent les mariés selon la coutume : avec une grosse poignée de riz, jetée par dessus la tête du couple, avant qu'au moins deux salves d'applaudissements les couronnent. Leur alliance fut reconnue publiquement. Cependant que monsieur goûtait aux félicités nouvelles que le mariage lui offrait - le sourire ému de sa mère - la mariée, déjà, s'amollissait du morne quotidien dans lequel elle s'était condamnée. Ce fut lorsque le père fit amener la décapotable que la mariée daignait enfin sourire et que, soudain, elle reprit conscience de sa tenue. Alors, maladroitement elle se faisait femme et ébouriffa son voile, encombré de riz, pendant que la foule excitée les acclamait aux cris de "Vive les mariés !".

La cérémonie avait été faite à la mairie et un accord fut signé, mais rien n'y faisait : jamais ces mariages ne duraient. Ni le faste champêtre qu'on y mettait ces jours-là, ni l'accueil républicain à l'entrée de la mariée ne rendaient à l'évènement toute sa puissante symbolique d'antan. C'est ainsi que le vide abyssal de la salle à marier voit naître les comportements les plus artificiels de la vie sociale d'une commune : les conviés, par une folle envie de sacré, font de cette formalité une véritable cérémonie religieuse. Et tandis que les sceptiques s'étonnent de leur mine grave ; les plus dévots, quant à eux, le regard louvoyant entre les spectaculaires ornements du plafond, et les grandes figures des splendides frises, cherchent désespérement une idole méritant leur dévotion ; et ensemble, après s'être dévisagés, ils s'arrêtent sur Marianne, alors, ils se souviennent de la farce à laquelle ils participent.

L'effroi vécu face au spectacle aigre de ce mariage formalisé et paperassé, a ainsi fait naître en moi l'ambition de repenser le mariage. Cependant que le couple s'échangeait l'adverbe monosyllabique et que la salle gonflait aux pleurs de la bientôt-mariée, l'idée d'une nouvelle forme d'alliance s'échafaudait en mon esprit, par vagues successives qui furent les suivantes.

Désormais que mon raisonnement se mettait à la besogne, il me fallait trouver un lieu encore non débauché et pur de toute manipulation, où les fiançailles pussent se faire sans trahison. L'anus, ce coinstot sage, ce recoin intime, le point central des émotions refoulées et honteuses, s'affirmait naturellement comme le symbole auprès duquel une promesse pourrait être prononcée sans que jamais elle ne soit déshonorée.

Alors, les expériences passées avec des filles que j'avais un peu aimées me revinrent ; ces réminescences scabreuses venaient ainsi étayer mes desseins matrimoniaux, et au rythme du sang battant mes tempes et ma trompe, ma conviction s'épaississait jusqu'à s'affirmer comme une évidence absolue.
Parce que, si j'avais été leur premier amour, j'avais surtout été leur premier mari, car, sans même que nous fussions face au maire, nous nous échangeâmes pourtant la bague au doigt. Autrement dit, mes phalanges s'aventurèrent en elles, par là où la decence veut que rien n'entre.

Et ces soirs-là, où je volais leur innocence, je leur jurais, du bout de mes lèvres posées sur leur anus, de garder pour moi seul le labyrinthe formé par les sillons bruns de leur pourtour anal. Alors elles ne protestaient plus, et nos fiançailles se faisaient. Je les embrassais plus tendrement encore, pendant qu'elles se soumettaient entièrement à moi ; et comme dans une mairie, elles me disaient "Oui je le veux" par saccades, entre deux inspirations du malade qui suffoque tandis que l'anneau de leur fente venait marier mon annulaire tressé de leur brousse sauvage de vierge. Puis enfin, elles éclataient.

C'est comme ça que je m'imaginais un mariage, plein de symbolique, avec un bout de l'autre sur le doigt. J'avais d'elles tout ce le monde récrimine, à savoir l'odeur de leurs seins et l'image nette de leur fion. J'avais leur honneur entre mes mains, et pour des femmes d'apparence si saintes, c'était énorme. Alors, nous nous aimions, par contrainte et obligation. Moi d'un amour désintéressé et elles d'un amour calculé. L'anulingus que je leur avais procuré faisait de nous un couple. Ainsi, entre elles et moi, une alliance tacite. Quand je rencontrais l'une d'elles dans la rue, dont j'avais miroité l'oignon, son regard plaintif suivi d'une parole de paupières me disaient : "Je sais que tu connais bien mon anus, mais promets-moi de le garder pour toi.". Et d'un clin d'oeil maladroit, je promettais.

J'étais toujours sur le parvis de l'hôtel lorsque cette construction mentale du mariage par l'anus prit fin. Il ne restait plus personne, sinon des employés municipaux qui battaient le sol pour le nettoyer des restes de la fête. Des pigeons vinrent les assister en picotant les derniers grains de riz oubliés.

Vingt-deux mois plus tard, le couple dont j'avais assisté au mariage divorça suite à des différends irréconciliables. Définitivement, ils ne s'étaient pas mignardés le séant.

Le 06 novembre 2021 à 13:57:39 :

Le 06 novembre 2021 à 13:56:53 :
Chepa chuis puceau

Mais est-ce que ça te donne envie de le faire ?

Moins qu'un cunni mais oui

Le 06 novembre 2021 à 14:00:14 :
Plaidoyer pour l'anulingus : se bouffer le fion comme substitut au mariage civil.

C'est par une intuition, au sortir de la mairie un samedi d'avril, que cette idée m'est venue à l'esprit. Je n'étais pas loin derrière les époux, qui atteignaient déjà le parvis de l'hôtel de ville, lorsque l'hypothèse d'une alliance tacite est passée par l'examen de ma raison et qu'elle s'y est soumise.

Les invités accueillirent les mariés selon la coutume : avec une grosse poignée de riz, jetée par dessus la tête du couple, avant qu'au moins deux salves d'applaudissements les couronnent. Leur alliance fut reconnue publiquement. Cependant que monsieur goûtait aux félicités nouvelles que le mariage lui offrait - le sourire ému de sa mère - la mariée, déjà, s'amollissait du morne quotidien dans lequel elle s'était condamnée. Ce fut lorsque le père fit amener la décapotable que la mariée daignait enfin sourire et que, soudain, elle reprit conscience de sa tenue. Alors, maladroitement elle se faisait femme et ébouriffa son voile, encombré de riz, pendant que la foule excitée les acclamait aux cris de "Vive les mariés !".

La cérémonie avait été faite à la mairie et un accord fut signé, mais rien n'y faisait : jamais ces mariages ne duraient. Ni le faste champêtre qu'on y mettait ces jours-là, ni l'accueil républicain à l'entrée de la mariée ne rendaient à l'évènement toute sa puissante symbolique d'antan. C'est ainsi que le vide abyssal de la salle à marier voit naître les comportements les plus artificiels de la vie sociale d'une commune : les conviés, par une folle envie de sacré, font de cette formalité une véritable cérémonie religieuse. Et tandis que les sceptiques s'étonnent de leur mine grave ; les plus dévots, quant à eux, le regard louvoyant entre les spectaculaires ornements du plafond, et les grandes figures des splendides frises, cherchent désespérement une idole méritant leur dévotion ; et ensemble, après s'être dévisagés, ils s'arrêtent sur Marianne, alors, ils se souviennent de la farce à laquelle ils participent.

L'effroi vécu face au spectacle aigre de ce mariage formalisé et paperassé, a ainsi fait naître en moi l'ambition de repenser le mariage. Cependant que le couple s'échangeait l'adverbe monosyllabique et que la salle gonflait aux pleurs de la bientôt-mariée, l'idée d'une nouvelle forme d'alliance s'échafaudait en mon esprit, par vagues successives qui furent les suivantes.

Désormais que mon raisonnement se mettait à la besogne, il me fallait trouver un lieu encore non débauché et pur de toute manipulation, où les fiançailles pussent se faire sans trahison. L'anus, ce coinstot sage, ce recoin intime, le point central des émotions refoulées et honteuses, s'affirmait naturellement comme le symbole auprès duquel une promesse pourrait être prononcée sans que jamais elle ne soit déshonorée.

Alors, les expériences passées avec des filles que j'avais un peu aimées me revinrent ; ces réminescences scabreuses venaient ainsi étayer mes desseins matrimoniaux, et au rythme du sang battant mes tempes et ma trompe, ma conviction s'épaississait jusqu'à s'affirmer comme une évidence absolue.
Parce que, si j'avais été leur premier amour, j'avais surtout été leur premier mari, car, sans même que nous fussions face au maire, nous nous échangeâmes pourtant la bague au doigt. Autrement dit, mes phalanges s'aventurèrent en elles, par là où la decence veut que rien n'entre.

Et ces soirs-là, où je volais leur innocence, je leur jurais, du bout de mes lèvres posées sur leur anus, de garder pour moi seul le labyrinthe formé par les sillons bruns de leur pourtour anal. Alors elles ne protestaient plus, et nos fiançailles se faisaient. Je les embrassais plus tendrement encore, pendant qu'elles se soumettaient entièrement à moi ; et comme dans une mairie, elles me disaient "Oui je le veux" par saccades, entre deux inspirations du malade qui suffoque tandis que l'anneau de leur fente venait marier mon annulaire tressé de leur brousse sauvage de vierge. Puis enfin, elles éclataient.

C'est comme ça que je m'imaginais un mariage, plein de symbolique, avec un bout de l'autre sur le doigt. J'avais d'elles tout ce le monde récrimine, à savoir l'odeur de leurs seins et l'image nette de leur fion. J'avais leur honneur entre mes mains, et pour des femmes d'apparence si saintes, c'était énorme. Alors, nous nous aimions, par contrainte et obligation. Moi d'un amour désintéressé et elles d'un amour calculé. L'anulingus que je leur avais procuré faisait de nous un couple. Ainsi, entre elles et moi, une alliance tacite. Quand je rencontrais l'une d'elles dans la rue, dont j'avais miroité l'oignon, son regard plaintif suivi d'une parole de paupières me disaient : "Je sais que tu connais bien mon anus, mais promets-moi de le garder pour toi.". Et d'un clin d'oeil maladroit, je promettais.

J'étais toujours sur le parvis de l'hôtel lorsque cette construction mentale du mariage par l'anus prit fin. Il ne restait plus personne, sinon des employés municipaux qui battaient le sol pour le nettoyer des restes de la fête. Des pigeons vinrent les assister en picotant les derniers grains de riz oubliés.

Vingt-deux mois plus tard, le couple dont j'avais assisté au mariage divorça suite à des différends irréconciliables. Définitivement, ils ne s'étaient pas mignardés le séant.

https://image.noelshack.com/fichiers/2020/15/7/1586668024-jesus-rire-hd-altieri.png

Le 06 novembre 2021 à 14:01:22 :

Le 06 novembre 2021 à 13:57:39 :

Le 06 novembre 2021 à 13:56:53 :
Chepa chuis puceau

Mais est-ce que ça te donne envie de le faire ?

Moins qu'un cunni mais oui

Moi je pense que le porno durant mon adolescence m'a complètement déformé puisque je suis beaucoup plus attiré par l'anus des femmes que leur chatte (mais que j'aime aussi m'en occuper, juste un peu moins) https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png

J'hésite à go escort pour un facesitting + anulingus

Données du topic

Auteur
Baaaalloo
Date de création
6 novembre 2021 à 13:50:22
Nb. messages archivés
66
Nb. messages JVC
65
En ligne sur JvArchive 229