En quoi voir un psy vous a aidé ?
Supprimé- 1
J’en ai vu deux en tout, la première était muette et me laissait parler tout seul, bref un véritable porte monnaie sur pattes et la deuxième m’as ghost après la deuxième séance
Moi oui, ça m'a beaucoup aidé.
Je la revois tout à l'heure d'ailleurs
Le 29 octobre 2021 à 09:13:06 :
Moi oui, ça m'a beaucoup aidé.Je la revois tout à l'heure d'ailleurs
Je demandais pas si ça a aidé ou pas, je demande EN QUOI ça aide ?
Le 29 octobre 2021 à 09:15:46 :
à se rendre compte qu'il faut rien attendre d'eux
A rien quoi ?
Les kheys développez un peu vos réponses ! Sinon ça sert à rein de répondre
Le 29 octobre 2021 à 09:17:50 :
Oui ça m’aide énormément
Développe !!
Le 29 octobre 2021 à 09:15:10 :
Le 29 octobre 2021 à 09:13:06 :
Moi oui, ça m'a beaucoup aidé.Je la revois tout à l'heure d'ailleurs
Je demandais pas si ça a aidé ou pas, je demande EN QUOI ça aide ?
À développer des nouvelles façons de voir les choses concernant ma vie, à me recentrer sur moi, à me renforcer ce qui m'a aidé à faire face à des événements difficiles etc.
Le 29 octobre 2021 à 09:17:46 :
Le 29 octobre 2021 à 09:15:46 :
à se rendre compte qu'il faut rien attendre d'euxA rien quoi ?
Les kheys développez un peu vos réponses ! Sinon ça sert à rein de répondre
bah j'ai l'impression que ta déception est "inscrite" dans le projet du psy en face...
j'ai jamais été au psy, mais j'ai lu quelques "théoriciens" de la "psychanalyse" :
Sa voix se fera seule entendre pendant un temps dont la durée reste à la discrétion de l’analyste. Particulièrement lui sera vite manifeste, et d'ailleurs confirmée, l'abstention de l'analyste à lui répondre sur aucun plan de conseil ou de projet. Il y a là une contrainte qui semble aller à l’encontre de la fin désirée et que doit justifier quelque profond motif.
Quel souci conditionne donc en face de lui l’attitude de l’analyste ? Celui d’offrir au dialogue un personnage aussi dénué que possible de caractéristiques individuelles ; nous nous effaçons, nous sortons du champ où pourraient être perçus cet intérêt, cette sympathie, cette réaction que cherche celui qui parle sur le visage de l’interlocuteur, nous évitons toute manifestation de nos goûts personnels, nous cachons ce qui peut les trahir, nous nous dépersonnalisons, et tendons à ce but de représenter pour l’autre un idéal d’impassibilité."
Mais poursuivons la décomposition de l’expérience. L’auditeur y entre donc en situation d’interlocuteur. Ce rôle, le sujet le sollicite de le tenir, implicitement d’abord, explicitement bientôt. Silencieux pourtant, et dérobant jusqu’aux réactions de son visage, peu repéré au reste en sa personne, le psychanalyste s’y refuse patiemment. N’y a-t-il pas un seuil où cette attitude doit faire stopper le monologue ? Si le sujet le poursuit, c’est en vertu de la loi de l’expérience ; mais s’adresse-t-il toujours à l’auditeur vraiment présent ou maintenant plutôt à quelque autre, imaginaire mais plus réel : au fantôme du souvenir, au témoin de la solitude, à la statue du devoir, au messager du destin ?"
Mais cette image même que le sujet rend présente par sa conduite et qui sans cesse s’y reproduit, il l’ignore, aux deux sens du mot, à savoir : que ce qu’il répète, qu’il le tienne ou non pour sien, dans sa conduite, il ne sait pas que cette image l’explique, – et qu’il méconnaît cette importance de l’image quand il évoque le souvenir qu’elle représente. Or, cependant que l’analyste achève de reconnaître cette image, le sujet par le débat qu’il poursuit, achève de lui en imposer le rôle. C’est de cette position que l’analyste tire la puissance dont il va disposer pour son action sur le sujet."
Le 29 octobre 2021 à 09:22:21 :
Le 29 octobre 2021 à 09:20:16 :
A vider mon compte en banquen'empeche les psys quelle bande de s4lopes,vidé la cb mais garder nos burnes pleines ,courage kheyou
Cimer !
Mais en fait je ne sais pas comment faire pour avancer. J’ai grandi avec des gens violents et qui m’ont rabaissé toute ma vie. Moi même je me considère comme un moins que rien, je ne fais confiance à personne et j’ai 0 amis. A 30 ans célibataire pulco. Je croyais que les psy allaient pouvoir m’ader À aller de l’avant mais en fait non
Le but c'est de t'accompagner favorablement. Mais la profession est médiocre.
Je suis psy (psychiatre) et le but c'est de faire émerger le changement chez le patient. Avec différents outils : entretien motivationnel, thérapie de soutien, TCC, etc. Et surtout poser un bon diagnostic au préalable.
L'alliance thérapeutique c'est 80% du travail au final. Si les capacités d'introspection interne sont bonnes, la réussite est souvent au RDV avec un bon praticien.
Le 29 octobre 2021 à 09:26:48 :
Le but c'est de t'accompagner favorablement. Mais la profession est médiocre.Je suis psy (psychiatre) et le but c'est de faire émerger le changement chez le patient. Avec différents outils : entretien motivationnel, thérapie de soutien, TCC, etc. Et surtout poser un bon diagnostic au préalable.
L'alliance thérapeutique c'est 80% du travail au final. Si les capacités d'introspection interne sont bonnes, la réussite est souvent au RDV avec un bon praticien.
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Données du topic
- Auteur
- faitpaslefou
- Date de création
- 29 octobre 2021 à 09:11:54
- Date de suppression
- 30 octobre 2021 à 06:56:00
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