Conséquences de l'accident sur la réglementation
Le ministre des Transports d'alors, Charles Fiterman, décide de prendre des mesures strictes.
La vitesse maximale autorisée pour les autocars est réduite, la vitesse par temps de pluie pour tous les véhicules est réduite à 110 km/h sur autoroute et à 80 km/h sur route[4],[2]. Les transports collectifs d'enfants sont interdits pendant les périodes de chassé-croisé fin juillet et début août. Tous les véhicules lourds (camions et autocars...) doivent désormais être équipés d'un dispositif de limitation de vitesse, sur lequel toute modification par son utilisateur est rigoureusement interdite[11].
De plus, les constructeurs de véhicules destinés aux transports en commun doivent utiliser des matériaux incombustibles[2] et non toxiques et poser des pare-brise en verre feuilleté.