[Poésie] « Un peu de merde et de fromage »
Supprimé- 1
Un peu de merde et de fromage
Ne sont pas pour effaroucher
Mon nez, ma bouche et mon courage
Dans l’amour de gamahucher.
L’odeur m’est assez gaie en somme,
Du trou du cul de mes amants,
Aigre et fraîche comme la pomme
Dans la moiteur de saints ferments.
Et ma langue que rien ne dompte,
Par la douceur des longs poils roux
Raide et folle de bonne honte
Assouvit là ses plus forts goûts,
Puis pourléchant le périnée
Et les couilles d’un mode lent,
Au long du chibre contournée
S’arrête à la base du gland.
Elle y puise âprement en quête
Du nanan qu’elle mourrait pour,
Sive, la crème de quéquette
Caillée aux éclisses d’amour
Ensuite, après la politesse
Traditionnelle au méat
Rentre dans la bouche où s’empresse
De la suivre le vit béat,
Débordant de foutre qu’avale
Ce moi confit en onction
Parmi l’extase sans rivale
De cette bénédiction !
Très bien parolier, mais à quel pavé s'use ton soulier ?
Ton écho raisonnant dans l'obscurité ne fait parvenir que mystère à quiconque en perçoit le tintement
Venons en au fait de la nature de cette prompte élocution. Avait-t-elle pour but de dérober quelconque nasard, de persifler rictus fusant par éclats ?
C'est le cœur alourdi que je me dois d'établir lumière sur l'effective portée de ta soudaine manifestation, dont la chancèle plume a l'ironique vocation de tourner les regards et rougir les museaux.
Pour couvrir d'une touche de noblesse cette infortunée maladresse, l'homme de distinction dont je décèle ta qualité n'a à l'heure actuelle qu'à tourner talons et humblement reconquérir le silence qu'il a gauchement quitté
Lumineuses péripéties à ton horizon, qui n'y fut de bariolés égards
Le 25 octobre 2021 à 03:12:59 :
Très bien parolier, mais à quel pavé s'use ton soulier ?Ton écho raisonnant dans l'obscurité ne fait parvenir que mystère à quiconque en perçoit le tintement
Venons en au fait de la nature de cette prompte élocution. Avait-t-elle pour but de dérober quelconque nasard, de persifler rictus fusant par éclats ?
C'est le cœur alourdi que je me dois d'établir lumière sur l'effective portée de ta soudaine manifestation, dont la chancèle plume a l'ironique vocation de tourner les regards et rougir les museaux.
Pour couvrir d'une touche de noblesse cette infortunée maladresse, l'homme de distinction dont je décèle ta qualité n'a à l'heure actuelle qu'à tourner talons et humblement reconquérir le silence qu'il a gauchement quitté
Lumineuses péripéties à ton horizon, qui n'y fut de bariolés égards
C'est quel apli que t'utilises ?
la légende du forum
Le 25 octobre 2021 à 03:14:03 :
Le 25 octobre 2021 à 03:12:59 :
Très bien parolier, mais à quel pavé s'use ton soulier ?Ton écho raisonnant dans l'obscurité ne fait parvenir que mystère à quiconque en perçoit le tintement
Venons en au fait de la nature de cette prompte élocution. Avait-t-elle pour but de dérober quelconque nasard, de persifler rictus fusant par éclats ?
C'est le cœur alourdi que je me dois d'établir lumière sur l'effective portée de ta soudaine manifestation, dont la chancèle plume a l'ironique vocation de tourner les regards et rougir les museaux.
Pour couvrir d'une touche de noblesse cette infortunée maladresse, l'homme de distinction dont je décèle ta qualité n'a à l'heure actuelle qu'à tourner talons et humblement reconquérir le silence qu'il a gauchement quitté
Lumineuses péripéties à ton horizon, qui n'y fut de bariolés égards
C'est quel apli que t'utilises ?
Il en va de ma propre plume et non d'un larcin sur piètre automate
Le 25 octobre 2021 à 03:18:30 :
Le 25 octobre 2021 à 03:14:03 :
Le 25 octobre 2021 à 03:12:59 :
Très bien parolier, mais à quel pavé s'use ton soulier ?Ton écho raisonnant dans l'obscurité ne fait parvenir que mystère à quiconque en perçoit le tintement
Venons en au fait de la nature de cette prompte élocution. Avait-t-elle pour but de dérober quelconque nasard, de persifler rictus fusant par éclats ?
C'est le cœur alourdi que je me dois d'établir lumière sur l'effective portée de ta soudaine manifestation, dont la chancèle plume a l'ironique vocation de tourner les regards et rougir les museaux.
Pour couvrir d'une touche de noblesse cette infortunée maladresse, l'homme de distinction dont je décèle ta qualité n'a à l'heure actuelle qu'à tourner talons et humblement reconquérir le silence qu'il a gauchement quitté
Lumineuses péripéties à ton horizon, qui n'y fut de bariolés égards
C'est quel apli que t'utilises ?
Il en va de ma propre plume et non d'un larcin sur piètre automate
Très talentueux, je suis admiratif
Le 25 octobre 2021 à 03:21:29 :
Le 25 octobre 2021 à 03:18:30 :
Le 25 octobre 2021 à 03:14:03 :
Le 25 octobre 2021 à 03:12:59 :
Très bien parolier, mais à quel pavé s'use ton soulier ?Ton écho raisonnant dans l'obscurité ne fait parvenir que mystère à quiconque en perçoit le tintement
Venons en au fait de la nature de cette prompte élocution. Avait-t-elle pour but de dérober quelconque nasard, de persifler rictus fusant par éclats ?
C'est le cœur alourdi que je me dois d'établir lumière sur l'effective portée de ta soudaine manifestation, dont la chancèle plume a l'ironique vocation de tourner les regards et rougir les museaux.
Pour couvrir d'une touche de noblesse cette infortunée maladresse, l'homme de distinction dont je décèle ta qualité n'a à l'heure actuelle qu'à tourner talons et humblement reconquérir le silence qu'il a gauchement quitté
Lumineuses péripéties à ton horizon, qui n'y fut de bariolés égards
C'est quel apli que t'utilises ?
Il en va de ma propre plume et non d'un larcin sur piètre automate
Très talentueux, je suis admiratif
Relis bien, il y a plusieurs fautes, et une absence totale de toute forme de propos
Le 25 octobre 2021 à 03:12:59 :
Très bien parolier, mais à quel pavé s'use ton soulier ?Ton écho raisonnant dans l'obscurité ne fait parvenir que mystère à quiconque en perçoit le tintement
Venons en au fait de la nature de cette prompte élocution. Avait-t-elle pour but de dérober quelconque nasard, de persifler rictus fusant par éclats ?
C'est le cœur alourdi que je me dois d'établir lumière sur l'effective portée de ta soudaine manifestation, dont la chancèle plume a l'ironique vocation de tourner les regards et rougir les museaux.
Pour couvrir d'une touche de noblesse cette infortunée maladresse, l'homme de distinction dont je décèle ta qualité n'a à l'heure actuelle qu'à tourner talons et humblement reconquérir le silence qu'il a gauchement quitté
Lumineuses péripéties à ton horizon, qui n'y fut de bariolés égards
Monte sur moi comme une femme
Que je baiserais en gamin
Là. C’est cela. T’es à ta main ?
Tandis que mon vit t’entre, lame
Dans du beurre, du moins ainsi
Je puis te baiser sur la bouche,
Te faire une langue farouche
Et cochonne, et si douce, aussi !
Je vois tes yeux auxquels je plonge
Les miens jusqu’au fond de ton cœur
D’où mon désir revient vainqueur
Dans une luxure de songe.
Je caresse le dos nerveux,
Les flancs ardents et frais, la nuque,
La double mignonne perruque
Des aisselles, et les cheveux !
Ton cul à cheval sur mes cuisses
Les pénètre de son doux poids
Pendant que s’ébat mon lourdois
Aux fins que tu te réjouisses,
Et tu te réjouis, petit,
Car voici que ta belle gourle
Jalouse aussi d’avoir son rôle,
Vite, vite, gonfle, grandit,
Raidit… Ciel ! la goutte, la perle
Avant-courrière vient briller
Au méat rose : l’avaler,
Moi, je le dois, puisque déferle
Le mien de flux, or c’est mon lot
De faire tôt d’avoir aux lèvres
Ton gland chéri tout lourd de fièvres
Qu’il décharge en un royal flot.
Lait suprême, divin phosphore
Sentant bon la fleur d’amandier,
Où vient l’âpre soif mendier,
La soif de toi qui me dévore
Mais il va, riche et généreux,
Le don de ton adolescence,
Communiant de ton essence,
Tout mon être ivre d’être heureux.
Le 25 octobre 2021 à 03:22:46 :
Le 25 octobre 2021 à 03:21:29 :
Le 25 octobre 2021 à 03:18:30 :
Le 25 octobre 2021 à 03:14:03 :
Le 25 octobre 2021 à 03:12:59 :
Très bien parolier, mais à quel pavé s'use ton soulier ?Ton écho raisonnant dans l'obscurité ne fait parvenir que mystère à quiconque en perçoit le tintement
Venons en au fait de la nature de cette prompte élocution. Avait-t-elle pour but de dérober quelconque nasard, de persifler rictus fusant par éclats ?
C'est le cœur alourdi que je me dois d'établir lumière sur l'effective portée de ta soudaine manifestation, dont la chancèle plume a l'ironique vocation de tourner les regards et rougir les museaux.
Pour couvrir d'une touche de noblesse cette infortunée maladresse, l'homme de distinction dont je décèle ta qualité n'a à l'heure actuelle qu'à tourner talons et humblement reconquérir le silence qu'il a gauchement quitté
Lumineuses péripéties à ton horizon, qui n'y fut de bariolés égards
C'est quel apli que t'utilises ?
Il en va de ma propre plume et non d'un larcin sur piètre automate
Très talentueux, je suis admiratif
Relis bien, il y a plusieurs fautes, et une absence totale de toute forme de propos
La grammaire absurde ça fait partie du meme, mais il y a quand même du sens dans son texte, ça se comprend
Le 25 octobre 2021 à 03:22:46 :
Le 25 octobre 2021 à 03:21:29 :
Le 25 octobre 2021 à 03:18:30 :
Le 25 octobre 2021 à 03:14:03 :
Le 25 octobre 2021 à 03:12:59 :
Très bien parolier, mais à quel pavé s'use ton soulier ?Ton écho raisonnant dans l'obscurité ne fait parvenir que mystère à quiconque en perçoit le tintement
Venons en au fait de la nature de cette prompte élocution. Avait-t-elle pour but de dérober quelconque nasard, de persifler rictus fusant par éclats ?
C'est le cœur alourdi que je me dois d'établir lumière sur l'effective portée de ta soudaine manifestation, dont la chancèle plume a l'ironique vocation de tourner les regards et rougir les museaux.
Pour couvrir d'une touche de noblesse cette infortunée maladresse, l'homme de distinction dont je décèle ta qualité n'a à l'heure actuelle qu'à tourner talons et humblement reconquérir le silence qu'il a gauchement quitté
Lumineuses péripéties à ton horizon, qui n'y fut de bariolés égards
C'est quel apli que t'utilises ?
Il en va de ma propre plume et non d'un larcin sur piètre automate
Très talentueux, je suis admiratif
Relis bien, il y a plusieurs fautes, et une absence totale de toute forme de propos
La langue de Molière n'est pas matière morte mais terreau de surprises. Tu arpente le béton froid sur lequel je fais pousser le lierre. Tu pointe faute et non sens là où le créatif épouse l'original
- 1
Données du topic
- Auteur
- Cigarette4444
- Date de création
- 25 octobre 2021 à 03:12:14
- Date de suppression
- 25 octobre 2021 à 03:53:43
- Supprimé par
- Modération ou administration
- Nb. messages archivés
- 14
- Nb. messages JVC
- 17