C'est débile je sais.
Je regardais un porno de mon actrice préféré : Gia Paige
Je me branlais sur elle, comme à mon habitude et là j'ai eu une sorte de putain de moment d'ultra lucidité sur ma vie à la fin de la séquence.
Après l'éjaculat qui parti de mon pénis d'envergure j'ai eu un moment d'émotion fort qui m'a fait ressentir un truc étrange en moi, 26 ans et jamais j'ai connu ça.
J'arrivais pas à décoller mes yeux du visage joyeux de l'actrice, elle avait murmuré un joli mot à l'acteur et là je me suis dit que c'est ça que je voulais, non pas la déglinguer mais passer un moment dans ma vie avec une femme qui puisse me susurrer un mot de tendresse.
Tel un débile sans fond, j'ai commencé à bredouiller des phrases sans sens du genre: "il me faut une femme de ce genre" cela n'a aucun sens. C'est ridicule, et pourtant. Une larme inattendu à couler de mon œil droit. Je n'avais pas pleurer depuis au moins mes 14 ans.
Transformé par ce moment de beauté que je ne pourrais transmettre de part mes piètre qualité d'écrivain, je suis allé sur le forum écrire ce topic à la con : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-68005859-3-0-1-0-26-ans-jamais-eu-d-amis-ou-de-copines.htm#post_1120683595
Et par le plus étrange des hasards, j'ai reçu masse mp de personnes qui partageait un lien commun à ce que j'avais vécu, non pas seulement par cet absurde moment érotique, mais de ma vie entière. Et par l'absence d'intérêt je me suis rendu compte que mon épopée n'avait aucune valeur ou raison d'inspiré quoi que ce soit hormis de l'intrigue.
J'en déduis qu'on ne peut jamais vraiment savoir ce que les autres peuvent ressentir à notre égard, mais qu'ils ressentent tout autant la même violence et envergure de tristesse par moment. On peut difficilement exercé un discours censé dans ce genre de moment absurde, mais en ce moment j'ai trouvé une certaine foi en la vie et en moi-même. Il est difficile d'expliquer ce qui se passe en chacun de nous à chaque moment de nos vies, et pourtant nous avons tous des moments importants que nous pouvons tous comprendre et partagés. Cette simple idée combinée à la renaissance d'un espoir par un simple mot m'a fait prendre conscience de la puissance que peut avoir le mot juste poser dans le cadre idéale et sans l'environnement idéale.
Je me demande si il est possible qu'au delà de nos pensées nous puissions être capable de convertir l'ensemble de nos pensées émotives en pensées écrites sans jamais perdre le fil qui nous a conduit à ressentir, à l'origine, cette pensée. J'entends par là que lorsque nous communiquons ce que nous ressentons, il est possible que non seulement nous captivons un moment déjà déconstruit par la pensée que nous avons eu depuis, à l'égard de la pensée primaire.