Face aux changements climatiques qui bouleversent notre monde, certains tentent de lutter.
Réduire les émissions de gaz à effet de serres, endiguer la pollution des sols, développer des énergies propres et renouvelables... Un noble combat qui ne semble cependant pas porter ses fruits à l'échelle du globe.
Et oui, malgré la détermination et les bonnes intentions des défenseurs de l'environnement, nous pensons ici que les humains ne changerons pas. Notre nature profonde d'être vivant nous pousse à s'accaparer le maximum de ressources, dans le but de survivre.
Cet instinct couplé à notre intellect nous a, à nous humain, permis de nous développer plus que n'importe quelle autre espèce au fil des siècles. Avant nécessaire à notre survie, il est depuis l'avènement de l'industrie, le moteur de notre douce vie consumériste.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et la Terre nous le fait de plus en plus comprendre.
Alors que faire ? Si changer la nature humaine est inenvisageable, que nous reste t-il pour stopper ce réchauffement climatique ? La réponse est RIEN. Les décennies de luttes écologistes infructueuses qui nous précèdent en sont la démonstration. Rien ne peut pousser tous les états du mondes à mettre fin à leurs politiques expansionnistes.
En conséquence, nous pensons que le véritable challenge est de préparer le monde, ou du moins notre pays, aux dérèglement qui nous attendent, non pas de les éviter.
Des hivers glaciaux, des été brulant, des pluies diluviennes, des vents à décoiffer les clochers. Voilà ce que nous promettent les scientifiques d'ici la fin du siècle. Toutes les pistes cyclables, les éoliennes et les voitures électriques mains dans la mains ne pourrons rien y changer. Donc cessons d'y déverser nos impôts et adaptons plutôt nos villes, nos campagnes et nos esprits aux rudes changements à venir.
