Factuel, le harcèlement scolaire et le fait d'être une victime ou non dépend UNIQUEMENT de votre éducation.
Un couple marqué par la prévalence féminine est le plus propice à la formations de futures victimes, lorsque la femme est le parti fort devant l'homme qui s'efface, souvent absent, travaillant jusqu’à tard le soir et ne passant que peu de temps avec son fils. Généralement, la mat(r)one est aussi celle qui gère les comptes, choisie les courses, décide seule des actes de la vie courante, le problème de l'absence de figure paternelle et ses conséquences sur le développement de l'enfant sont largement connues, mais on a trop tendance à considérer que seul ces détails forment la victime ; or cette organisation familiale est contre nature : si le masculin est censé être le mâle dominant, l'alpha ayant accès à la reproduction, une telle organisation dérogeant à la règle ne signifie qu'une chose : la mat(r)one est par essence perverse, toxique, castratrice et dominatrice, elle éprouve un malsain plaisir à contrôler la vie de son conjoint et vois dans son fils la possibilité que ce dernier s'émancipe du carcan qu'elle a savamment mise en place s'agissant du paternel, et cette perspective lui fait horreur.
Voir son fils réussir en sa qualité d'homme est le pire cauchemar de la dominatrice ; et pour juguler cette fougue, cet esprit de combativité, cette explosivité et ce bouillonnement de testostérone forgeant un homme fort, elle dispose d'un levier d'une puissance implacable : l'éducation. Puisque tenant déjà le couple d'une main de fer, elle n'aura aucune difficulté à se charger de l'éducation de la pauvre future victime : cette dernière n'aura ainsi aucun droit à la violence, le mâle zêta en devenir devra systématiquement chercher le compromis, la médiation, notamment auprès des adultes de l'équipe enseignante, même frappé et humilié, la victime ne doit en aucun cas faire usage de la force qui par essence manque cruellement à la mat(r)one dont la domination sur le couple ne dépend que de la faiblesse mentale du paternel. Le cas échéant, la victime est très sévèrement punie, peu importe si son crime fut de rendre un pauvre coup de poing après des mois d’humiliation mentale et physique : il est né fautif d'être un homme, et vous imaginez bien que voire votre mère vous punir de vous défendre de ce que vous estimez injuste est dévastateur.
Les conséquences bien évidentes et se prolongeant jusqu'à l'age adulte sont le manque de confiance en soi, la peur de l'autre mais également le repli sur soi : même si la victime s'émancipe, il ruminera toute sa vie les malheurs du collège. si après cette période, le harcèlement sous forme d'humiliation et de brimades direct s'estompe, pour finir par disparaître dans le supérieur et le monde du travail, les dommages mentaux sont permanents, et la victime du collège ne connaîtra pas l'amour, restera orphelin des amour adolescents... ect, Houellebecq, vous connaissez.
Aussi, si vous vous reconnaissez, sachez que les dés étaient pipés dès le départ, il n'y avait RIEN à faire, la haine maternelle et la faiblesse paternelle pour le seul crime impardonnable d'être un homme, dont vous vous êtes rendu coupable, vous prédisposait à ce que vous êtes aujourd'hui.