"Je suis ému. Cela fait 80 ans que j'ai perdu mon père et ce type est un sale mec, un garnement qui refuse la possibilité de culpabilité", s'est exclamé auprès Antoine Grumbach, 79 ans. Ce Français assiste à l'ouverture du procès en mémoire de son père, engagé dans la résistance gaulliste et assassiné en mars 1944 à Sachsenhausen.
Bah son père a pris des risques, qu'il connaissait. Y'a que moi qui trouve absurde de revenir 80 ans après sur un vieillard de 100 ans ? A un moment faut passer à autre chose