La CASTRATION de NOTA BENE me fait mal aux COUILLES
Le 25 septembre 2021 Ă 12:27:31 :
Durant toute la séquence, le gros NB parle, mais c’est sa daronne qui occupe tout l’espace et qui contrôle tout ce qui se dit. Elle a la dynamique entre les mains. Cette situation procure à sa lavandière une très grande satisfaction qui s’exprime par des sourires en coin contenus nerveusement.​Contrairement à ce que cherche à faire croire mensongèrement cette mise en scène, Nota Bene n’est pas pas le sujet de la vidéo, c’est l’OBJET. Le SUJET, c’est la mat(r)one. Tout ce qui se dit a son imprimatur.
Vous savez désormais qu’au quotidien, c’est elle qui porte le pantalon. Et maintenant, grâce à cette vidéo, vous savez qu’elle brandit victorieusement dans sa poigne ensanglantée les gonades de son mâle beta.
La vidéo, y compris dans le titre, est présentée pour paraître drôle et humoristique (« décalée ») afin de dédramatiser l’enjeu symbolique sur lequel je vais revenir. Elle est construite sur le mode du passif-agressif qui justifie ici sa soumission à sa femme dominatrice par l’excuse de l’humour « branché » où « on ne se prend pas au sérieux ».​
this is the this
Le 25 septembre 2021 Ă 16:41:55 :
Le 25 septembre 2021 Ă 16:38:56 :
ton détourage est mieux que le miens
J’utilise GIMP. Je le trouve plus simple.
Et pour détourer : https://www.remove.bg/fr
Le 25 septembre 2021 Ă 16:17:45 :
Mais il a des enfants déjà au moins ?
D'après certains ici il a 3 enfants mais on a toujours pas eu de source
Durant toute la séquence, le gros NB parle, mais c’est sa daronne qui occupe tout l’espace et qui contrôle tout ce qui se dit. Elle a la dynamique entre les mains. Cette situation procure à sa lavandière une très grande satisfaction qui s’exprime par des sourires en coin contenus nerveusement.
C’est le genre d’expression faciales que font les femmes lorsqu’elles essayent de vendre leur maison à des inconnus venus la visiter et que les visiteurs semblent intéressés : l’affaire est presque dans la poche, mais la signature reste à coucher sur papier.
Contrairement à ce que cherche à faire croire mensongèrement cette mise en scène, Nota Bene n’est pas pas le sujet de la vidéo, c’est l’OBJET. Le SUJET, c’est la mat(r)one. Tout ce qui se dit a son imprimatur.
Le 25 septembre 2021 Ă 17:03:15 :
Durant toute la séquence, le gros NB parle, mais c’est sa daronne qui occupe tout l’espace et qui contrôle tout ce qui se dit. Elle a la dynamique entre les mains. Cette situation procure à sa lavandière une très grande satisfaction qui s’exprime par des sourires en coin contenus nerveusement.C’est le genre d’expression faciales que font les femmes lorsqu’elles essayent de vendre leur maison à des inconnus venus la visiter et que les visiteurs semblent intéressés : l’affaire est presque dans la poche, mais la signature reste à coucher sur papier.
Contrairement à ce que cherche à faire croire mensongèrement cette mise en scène, Nota Bene n’est pas pas le sujet de la vidéo, c’est l’OBJET. Le SUJET, c’est la mat(r)one. Tout ce qui se dit a son imprimatur.
Comme Sandrine Rousseau, elle est fière d'avoir déconstruit son homme.
Durant toute la séquence, le gros NB parle, mais c’est sa daronne qui occupe tout l’espace et qui contrôle tout ce qui se dit. Elle a la dynamique entre les mains. Cette situation procure à sa lavandière une très grande satisfaction qui s’exprime par des sourires en coin contenus nerveusement.​
Contrairement à ce que cherche à faire croire mensongèrement cette mise en scène, Nota Bene n’est pas pas le sujet de la vidéo, c’est l’OBJET. Le SUJET, c’est la mat(r)one. Tout ce qui se dit a son imprimatur.
Vous savez désormais qu’au quotidien, c’est elle qui porte le pantalon. Et maintenant, grâce à cette vidéo, vous savez qu’elle brandit victorieusement dans sa poigne ensanglantée les gonades de son mâle beta.
La vidéo, y compris dans le titre, est présentée pour paraître drôle et humoristique (« décalée ») afin de dédramatiser l’enjeu symbolique sur lequel je vais revenir. Elle est construite sur le mode du passif-agressif qui justifie ici sa soumission à sa femme dominatrice par l’excuse de l’humour « branché » où « on ne se prend pas au sérieux ».​
(merci pour l'auteur du pavé)
(Merci a JohnMacRaid pour son pavé que je reposte)
Ayez à l’esprit que cette vidéo n’est pas prise sur le vif, contrairement à ce qu’essaie de suggérer la mise en scène qui a été convenue entre le mâle beta et sa mat(r)one. L’idée est de rendre le contenu banal en apparence, d’en réduire l’enjeu dramatique au maximum.
C’est le gros Nota Bene qui est au premier plan, tandis que sa 3/10 obèse est au second plan où elle fait mine d’être occupée. C’est donc le gros qui tient la parole, mais si vous êtes attentif, vous percevez qu’à aucun moment il n’a l’initiative. La mat(r)one feint lourdement de ne pas prêter attention à ce que dit le gros NB et fixe nerveusement les legos qu’elle manipule avec ses gros doigts. A plusieurs occasions, elle rompt avec la mise en scène en reprenant le gros NB sur un mot ou un détail.
Ce qu’elle signifie au public, c’est qu’elle est en charge de tout le processus et qu’elle veut que ça se sache.
Vous avez sous les yeux l’attitude caractéristique de la femme dominatrice qui se contient (mal) en public pour feindre l’humilité et l’innocence aux yeux des autres hommes, car ce genre de femmes sait que c’est un puissant frein à l’attention masculine.
C’est ce que j’appelle l’humilité perfide, un subterfuge destiné à tromper les hommes sur la nature inoffensive d’une femme.​
Durant toute la séquence, le gros NB parle, mais c’est sa daronne qui occupe tout l’espace et qui contrôle tout ce qui se dit. Elle a la dynamique entre les mains. Cette situation procure à sa lavandière une très grande satisfaction qui s’exprime par des sourires en coin contenus nerveusement.​
Contrairement à ce que cherche à faire croire mensongèrement cette mise en scène, Nota Bene n’est pas pas le sujet de la vidéo, c’est l’OBJET. Le SUJET, c’est la mat(r)one. Tout ce qui se dit a son imprimatur.
Vous savez désormais qu’au quotidien, c’est elle qui porte le pantalon. Et maintenant, grâce à cette vidéo, vous savez qu’elle brandit victorieusement dans sa poigne ensanglantée les gonades de son mâle beta.
La vidéo, y compris dans le titre, est présentée pour paraître drôle et humoristique (« décalée ») afin de dédramatiser l’enjeu symbolique sur lequel je vais revenir. Elle est construite sur le mode du passif-agressif qui justifie ici sa soumission à sa femme dominatrice par l’excuse de l’humour « branché » où « on ne se prend pas au sérieux ».
Si le gros Nota Bene ne voyait aucun soucis dans la situation, il n’aurait pas ressenti le besoin de recourir préventivement à cette pseudo « auto-dérision » pour dire qu’il s’est fait castrer.
Et il n’aurait pas de lui-même placer le sujet de sa vidéo sur le thème de la virilité, au lieu de l’opération elle-même, admettant par l’absurde le lien évident entre virilité et castration.​
Le malaise provient du fait que les acteurs de la vidéo savent que nous savons, mais qu’en dépit de ce fait, ils maintiennent la mise-en-scène qui devient un mensonge public de convenance et qui crée la situation paradoxale de tout mensonge public de convenance : tout le monde doit affecter de montrer qu’il croit à la mise en scène alors même que tout le monde sait que c’est une mise en scène.
C’est l’obligation inattendue pour les spectateurs de participer à une mise en scène censée obscurcir le fond (la castration) par la forme (« l’humour ») qui suscite ce malaise.
Le genre de situation où le quidam a envie de dire, « bon, on va vous laisser parler entre vous », mais où il doit rester malgré tout.
Pourquoi maintenir ce mensonge public de convenance ?
Pour rendre le rituel d’humiliation le moins douloureux possible pour l’égo du mâle castré en faisant de ce traumatique une sorte d’heureux évènement. Mais pas seulement.
Ce rituel est pédagogique, il a vocation à inspirer sa réplication dans la société. Tout doit donc paraître comme si ce rituel d’humiliation était naturel et socialement acceptable aux yeux des autres mâles à rééduquer. Pour que ceux-ci ne réagissent pas en humiliant le mâle châtré et ne signifient par ce rejet leur refus de s’abaisser à cette pratique avilissante de neutralisation sexuelle, l’agression psychologique et physique est banalisée par l’humour « décalé ».
Par ce biais, durant toute la vidéo la douleur psychologique et physique est minimisée à outrance par le gros Nota Bene, jusqu’à ce qu’un incident démontre l’inverse : une petite brique de Lego qui lui ruine les couilles.​
Données du topic
- Auteur
- GuerrierMGTOW
- Date de création
- 25 septembre 2021 Ă 10:25:15
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