Les différences hommes-femmes sont biologiques, pas culturelles

Il existe quelques différences entre les sexes chez les enfants, comme un plus grand égalitarisme, une préférence pour les poupées et la couleur rose chez les filles, mais la plupart des différences sont minimes jusqu'à l'âge de 9-13 ans. Avec la puberté, que les filles connaissent plus tôt, les différences entre les sexes commencent à augmenter de manière drastique et les filles, en moyenne, arrêtent leur développement vers l'âge de 15 ans, tandis que les garçons continuent à mûrir et à grandir de manière substantielle pendant encore 2 à 10 ans, en fonction de leur génétique.

Il semblerait que les femelles humaines aient été sélectionnées pour conserver leur néoténie, ce qui correspond à leur rôle naturel de subordonnées et à la préférence des gens pour des femelles plus jeunes et donc plus faciles à contrôler et conscientes de leur tâche reproductive. Vous trouverez ci-dessous une liste de traits qui concernent l'arrêt du développement chez les adolescentes :

Les femmes conservent le comportement de pleurs des jeunes adolescentes, nous avons discuté de ceci dans la section précédente.
En termes de métabolisme cérébral, le cerveau féminin adulte est en moyenne quelques années plus jeune que le cerveau masculin (Goyal 2019).
Les femmes sont plus susceptibles d'être à l'origine de violences entre partenaires intimes, ce qui pourrait être lié aux crises de colère enfantines.
Les femmes sont globalement plus néoténiques dans leur apparence et leur comportement.
Les femmes gardent une voix aiguë et enfantine, ce qui entraîne une grande différence entre les sexes au niveau de la voix à l'âge adulte.
Les femmes ont un QI plus faible et mûrissent plus tôt.
Les femmes et les enfants ont une meilleure mémoire épisodique de la position des objets et des visages que les hommes adultes.
Les femmes sont plus petites et arrêtent de grandir environ 2-3 ans plus tôt.

Il existe plusieurs explications à l'arrêt du développement des femmes. Tout d'abord, en raison d'un investissement parental plus important, les hommes doivent se battre davantage pour les opportunités d'accouplement. En conséquence, les hommes évoluent pour se spécialiser et se surpasser les uns les autres en matière de force physique, de compétence, etc. Les hommes ont donc une pression évolutive pour développer des complexités et des capacités supplémentaires que les femmes n'ont pas. Deuxièmement, les hommes et leurs familles préfèrent les femmes faciles à contrôler pour éviter d'investir la richesse familiale dans la progéniture d'un autre homme, en sélectionnant des femmes enfantines et mignonnes. Troisièmement, tout type de dimorphisme a tendance à être exagéré par la sélection sexuelle.

Les médias féministes ont propagé l'idée que les femmes mûrissent plus tôt, avec l'hypothèse implicite qu'elles atteignent plus tôt la maturité masculine, les garçons continuant à s'adonner à des jeux imprudents. En réalité, les filles semblent rester bloquées à un niveau de maturité inférieur, mais elles sont souvent plus agréables et dociles, ce qui peut donner une impression de plus grande maturité en ce qui concerne les résultats scolaires et la capacité à rester tranquille. La compétitivité des hommes qui n'est pas canalisée vers quelque chose qui produit une valeur sociale parce qu'elle est activement interdite est alors immature par comparaison.

https://personal.lse.ac.uk/kanazawa/pdfs/PAID2011.pdf

https://www.pnas.org/content/116/8/3251

Le 28 septembre 2021 à 12:49:50 FontaineDeCum a écrit :
Cette porte ne t'avait rien fait kheyou

et certains nient encore ça t'imagines