[Alerte] Un quart des nouveaux mariages grâce à Tinder
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Les rencontres en ligne prennent de l'ampleur, au point de devenir la norme dans certains pays. Avec l’expérience du Covid, Tinder veut maintenant offrir plus de services virtuels.
Historiquement, c'était stigmatisé. Il y a dix ans, seulement 3% des relations commençaient en ligne. Maintenant aux États-Unis, c'est plus de 40%», explique Jim Lanzone, le nouveau patron de Tinder. «Les stigmates ont disparu pendant la crise du Covid. C'est devenu un mode de rencontre valide».
D'après une marque de mariage américaine, The Knot, en 2020, Tinder était à l'origine de 25% des fiançailles nées de rencontres en ligne aux États-Unis. Ce recours assumé au service de rencontres en ligne montre, selon Jim Lanzone, que la réputation de Tinder a largement dépassé celle d'une application pour des rencontres éphémères, quoi qu'en disent les critiques. Mais ce dernier pense qu’il peut «faire beaucoup plus pour faciliter les rencontres».
Plus de virtualité
L'application de rencontres Tinder ne veut plus se limiter aux choix binaires mais proposer, au contraire, une variété de moyens virtuels pour trouver quelqu'un, dans un monde qui sort de la pandémie mais ne semble pas pressé de retourner à la réalité. «Nous avions testé les chats vidéo de nombreuses fois, personne ne voulait s'en servir», raconte le patron. «Avec les mesures de confinement, les rendez-vous par caméra interposée sont devenus la norme, même avec des inconnus. Et les habitudes sont restées».
«C'est très vrai de la génération Z (les moins de 25 ans, ndlr), qui constitue la majorité de notre base d'utilisateurs. Ils veulent quelque chose d'un peu différent, de plus substantiel et de plus virtuel dans un premier temps», assure-t-il. «Cette tendance était générationnelle avant le Covid, et elle s'est ancrée pour toutes les générations pendant la pandémie».
Nouvelles fonctionnalités
Les adeptes du service pourront désormais inclure des vidéos dans leur profil, prendre part à de courtes conversations guidées pour une première approche différente ou encore découvrir de potentiels partenaires via des passions communes (sports, cuisine, animaux de compagnie, etc).
Pour rappel, Tinder s'est popularisée grâce à sa marque de fabrique, ensuite reprise par ses concurrents: les utilisateurs font défiler les profils et les font «glisser» d'un côté ou de l'autre en fonction de l'intérêt suscité - «swipe» à gauche, tu perds, «swipe» à droite, tu m'intéresses. L’application, qui appartient au groupe Match, a vu le jour en 2012 et est disponible dans 190 pays. Le service tire ses revenus des abonnements payants, souscrits par les utilisateurs pour avoir accès à plus d'options.
https://www.20min.ch/fr/story/un-quart-des-nouveaux-mariages-grace-a-tinder-493149873036
Le 23 septembre 2021 à 14:45:51 :
Bientôt le service d'organisation de mariage tinder
Ca existe deja, certains mariages sont full sponsorisés, salle de fete, traiteur, décor avec pancartes Tinder
Les sites de rencontre produiraient des mariages plus solides
Une étude réalisée par la revue scientifique «MIT» met en lumière les modifications sociales qu’engendrent les applications telles que «Tinder» et «Bumble»: non seulement, elles donneraient lieu à des unions seraient plus stables, mais contribueraient aussi à augmenter le nombre de mariages interethniques.
Le 23 septembre 2021 à 14:50:37 :
Poste avant bah sors
Trois quarts des mariages grace au "Bah sors"
Le 23 septembre 2021 à 14:51:38 :
Le 23 septembre 2021 à 14:50:37 :
Poste avant bah sorsTrois quarts des mariages grace au "Bah sors"
Mais pour combien de temps ?
Le nombre de mariage est en constante diminution contrairement au nombre de pucix
Le 23 septembre 2021 à 14:53:25 :
A terme, avoir le bug te condamne à rester seul toute ta vie
Selection algorithmique
Le 23 septembre 2021 à 14:55:04 :
Et combien finissent en divorce?
Mort du romantisme, consumérisme sexuel, phobie de l'engagement, sites et applications de rencontres en ligne souffrent encore de quelques clichés. "On leur reproche notamment une marchandisation des sentiments, et d'être pourvoyeurs de fausses promesses", analyse le sociologue Olivier Zerbib. Alors que la moitié des unions finissent par un divorce, peuvent-ils au contraire sauver l'institution du mariage ? Aux Etats-Unis, des études ont récemment établi que la question n'est pas si absurde qu'il n'y paraît. En 2013, des chercheurs de l'université de Chicago calculaient qu'un tiers des mariages américains célébrés entre 2005 et 2012 avaient débuté en ligne. Ils suggéraient même que ces relations étaient plus durables. Le taux de séparation ou de divorce y était inférieur de 25%. Une des raisons avancées : avec les échanges écrits on se livre davantage, on élucide les malentendus sur qui nous sommes et ce que l'on désire vraiment.
Fin de partie
Le 23 septembre 2021 à 14:56:35 HeyyJude a écrit :
Le 23 septembre 2021 à 14:55:04 :
Et combien finissent en divorce?Mort du romantisme, consumérisme sexuel, phobie de l'engagement, sites et applications de rencontres en ligne souffrent encore de quelques clichés. "On leur reproche notamment une marchandisation des sentiments, et d'être pourvoyeurs de fausses promesses", analyse le sociologue Olivier Zerbib. Alors que la moitié des unions finissent par un divorce, peuvent-ils au contraire sauver l'institution du mariage ? Aux Etats-Unis, des études ont récemment établi que la question n'est pas si absurde qu'il n'y paraît. En 2013, des chercheurs de l'université de Chicago calculaient qu'un tiers des mariages américains célébrés entre 2005 et 2012 avaient débuté en ligne. Ils suggéraient même que ces relations étaient plus durables. Le taux de séparation ou de divorce y était inférieur de 25%. Une des raisons avancées : avec les échanges écrits on se livre davantage, on élucide les malentendus sur qui nous sommes et ce que l'on désire vraiment.
Fin de partie
on-né-cuit
Le 23 septembre 2021 à 14:56:35 :
Le 23 septembre 2021 à 14:55:04 :
Et combien finissent en divorce?Mort du romantisme, consumérisme sexuel, phobie de l'engagement, sites et applications de rencontres en ligne souffrent encore de quelques clichés. "On leur reproche notamment une marchandisation des sentiments, et d'être pourvoyeurs de fausses promesses", analyse le sociologue Olivier Zerbib. Alors que la moitié des unions finissent par un divorce, peuvent-ils au contraire sauver l'institution du mariage ? Aux Etats-Unis, des études ont récemment établi que la question n'est pas si absurde qu'il n'y paraît. En 2013, des chercheurs de l'université de Chicago calculaient qu'un tiers des mariages américains célébrés entre 2005 et 2012 avaient débuté en ligne. Ils suggéraient même que ces relations étaient plus durables. Le taux de séparation ou de divorce y était inférieur de 25%. Une des raisons avancées : avec les échanges écrits on se livre davantage, on élucide les malentendus sur qui nous sommes et ce que l'on désire vraiment.
Fin de partie
Entre 2005 et 2012 l'étude, donc pas sur Tinder déjà.
Et on voit dans l'étude que la majorité des hommes sont des hispaniques avec un statut economique élevé.
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Données du topic
- Auteur
- HeyyJude
- Date de création
- 23 septembre 2021 à 14:42:18
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