Le squelette d'une femme est identique à celui d'un homme
Le 30 septembre 2021 à 19:53:16 :
Le 30 septembre 2021 à 19:51:10 :
"Il est impossible d'estimer le sexe de plus de la moitié de la population. Seulement 30% des squelettes sont réellement identifiables."https://www.liberation.fr/debats/2015/02/15/mon-squelette-a-t-il-un-sexe_1811614/
Il faut être un expert et prendre le temps d'étudier le squelette
Wow, alors ce serait un domaine où les gens qui ont une expertise ont un avis le plus pertinent ?
Qui l'eut cru ?
À force d'injecter des oestrogènes aux garçons et dans l'eau potable effectivement on va finir par obtenir des squelettes et des corps rigoureusement identiques au détail près des organes génitaux (micropénis vs vagin).
Mais bon ça reste de la triche.
Le 29 septembre 2021 à 22:59:52 :
Jamais lu un truc aussi faux.
Déjà la majorité des squelettes hommes sont plus grands que les squelettes femmes dû à une différence de taille entre les sexes.
Ensuite on a pas le même bassin, le même crâne....
Bref les archéologues arrivent à déterminer le sexe d'un australopithèque à partir de ses ossements donc il y'a bien des différences dans le squelette.
L'op est un abruti.
Le 30 septembre 2021 à 19:56:04 :
Rien que par la taille moyenne on démontre le contraire fin du topic.
Tu trouves un squelette d'1m70 il appartient à un homme où une femme ?
Le 30 septembre 2021 à 19:57:42 :
Bon au moins celui ci ne tiendra pas longtemps, l'auteur se fait tailler en pièce en bonne et due forme dès la première page
L'auteur est un mastermind qui démonte par l'absurde le sophisme de Lewontin
Le 30 septembre 2021 à 19:58:15 :
Il n'y a pas un critère discriminant mais en combinant les facteurs on devrait pouvoir déterminer le sexe des squelettes avec assez de certitude j'imagine
En fait c'est exactement la même chose pour la génétique des races.
Lewontin pose cette mauvaise question : "À quel point les fréquences des groupes sanguins A, B, AB et O doivent différer pour déclarer que que deux populations locales sont des "races" séparées ?".
La question ne se pose pas dans ces termes : personne n'a jamais prétendu que les races devaient se distinguer les unes des autres par une seule grosse différence exceptionnelle dans un seul trait, mais plutôt par la combinaison d'un nombre de différences légères ou modérées dans une multiplicité de traits. Ainsi, une distance polyvariante est plus appropriée que la distance utilisée par Lewontin. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12879450/
Contre Lewontin, a fortiori, les analyses montrent que si elles sont menées à un degré polygénique et multi-local, alors, observe Whiterspoon et al en 2007, à la question : "à quelle fréquence apparaît il qu'une paire d'individus d'une population soit génétiquement plus dissemblable que deux individus choisis de deux différentes populations ?" il s'agit de répondre : jamais. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1893020/
The number of loci analyzed is the most critical variable: with 100 polymorphisms, accurate classification is possible, but ω remains sizable, even when using populations as distinct as sub-Saharan Africans and Europeans. Phenotypes controlled by a dozen or fewer loci can therefore be expected to show substantial overlap between human populations. This provides empirical justification for caution when using population labels in biomedical settings, with broad implications for personalized medicine, pharmacogenetics, and the meaning of race.
Données du topic
- Auteur
- Taku[XI]
- Date de création
- 29 septembre 2021 à 22:57:03
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