Il TABASSE gratuitement un homme,

https://www.letelegramme.fr/_amp/310/12826310.php

Pour Me Le Her, l’avocate du prévenu, l’expert psychiatre ne connaît pas son travail. Elle brandit les médicaments prescrits pour l’équilibre mental de son client. Réclamant une nouvelle expertise, elle rappelle le parcours « difficile » de ce jeune homme âgé de 21 ans arrivé en France de la Côte-d’Ivoire en 2016. Sa demande d’asile est en cours d’instruction. Plaidant le doute, elle convie la juridiction à prononcer une relaxe.

Multiples sentiments dans cet article.

Un sentiment de coup de bouteille sur la tête
Un sentiment de coups de tessons dans les côtes
Un sentiment de 30 jours d'ITT pour la victime innocente
Un sentiment de demande de relaxe

Seule la présidente du tribunal, Marie-Anne Kerisit, trouve les mots et le ton pour le calmer.

Bravo à elle, elle a su trouver les mots.

Cette justice putain, ça me donne envie de dégueuler. Il faut vraiment se casser de ce pays qui est en train de devenir fou, je vois que cette solution.

Le 16 septembre 2021 à 06:44:57 :
Aya le nombre de taré comme ça qui traînent dans nos rues

Ouais c'est dingue. Il y a absolument rien qui va dans cet article.

La demande d'asile pas annulée et le type pas expulsé déjà c'est le premier truc hallucinant. Ensuite la réaction de l'avocate qui plaide la relaxe, la juge qui doit essayer de "trouver les mots" pour calmer cet agresseur au parcours difficile, la victime aux tendons sectionnés qui va devoir déménager de la ville une fois le type relâché dans quelques mois.

C'est voilà exactement ce genre d'article qui donne qu'une seule envie : se barrer au plus vite de ce pays de fous avec une justice totalement démente.

Le 16 septembre 2021 à 06:48:09 :
bof seul 10% des demandeurs d'asile rebouté sont reconduit dans leur pays askip donc sa change pas grand chose

Même les cas de ce genre les plus atroces, les types sont pas expulsés donc oui quand tu vois ça tu vois bien qu'ils expulsent absolument personne.

Devant le juge il lui a déclaré :
"Sale pouf, je te crève si tu m'envoies au rabs"

La juge a dit ne pas vouloir rentrer dans son jeu ou dans celui du fn, et l'a gracié immédiatement.