L'inégalité des sexes m'a tuée

L'idée de devenir une femme devient de plus en plus obsessionnel, j'ai jamais eu aucun problème avec le fait d’être un homme pourtant j'ai toujours eu beaucoup de jalousie à pas être né en mode facile.

J'ai grandis avec 2 sœurs et un père efféminé peu présent, je suis petit, frêle et timide. J'ai la psyché d'un faible dans le corps d'un " homme ", toute ces caractéristiques aurait été des atouts si j'étais né femme.

Et évidemment tout ça il faut le subir sans l'empathie et l'attention accordé par défaut aux femmes tout au long de sa vie, ce qui se traduit au départ par des échecs scolaires à cause de parents et professeurs complétements indifférents face à la détresse masculine puis par la suite par la misère affective totale que vous connaissez bien.

Puis je suis là, comme un con, j'observe de loin tout les marchés émergeant de la misère affective ( Vtuber, streameuse, onlyfan, instagram, ... ) et je vois des femmes sortir de la misère affective et économique avec peu d'effort sur le dos des mecs en agonies.

Les traps et trans potables qui réussissent à prendre une part du gâteau, pendant que les transitions ratés se tirent une balle et que de plus en plus de nos frères songent à la transition consciemment ou inconsciemment pour les mêmes raisons que moi.

Toute cette merde pour un peu de considération, quelle époque.

Au contraire.

Tu es faible et tu aspires à un monde qui te féliciterait pour ta faiblesse : le monde des femmes, à l'opposé de celui qui la condamne : le monde des hommes.

Mais dans les deux mondes tu restes faible et quitte à rester faible autant aspirer à la force.

Le 15 septembre 2021 à 17:23:26 :
Au contraire.

Tu es faible et tu aspires à un monde qui te féliciterait pour ta faiblesse : le monde des femmes, à l'opposé de celui qui la condamne : le monde des hommes.

Mais dans les deux mondes tu restes faible et quitte à rester faible autant aspirer à la force.

Je suis pas d'accord, les cartes étant tirés à la naissance et dans l'éducation, je refuse de m'accrocher à un idéal inatteignable et qui ne me correspondra jamais.

A défaut de ne pas être féliciter pour ma faiblesse j'aimerai au moins ne pas être railler pour celle-ci et l'idéal masculin ne le permet pas.