Sur les 225 insectes suivis, quatre grandes catégories sont apparues : celle des puéricultrices (34 fourmis), celle des ouvrières travaillant hors du nid (26), celle des généralistes faisant un peu de tout (62) et enfin celle des oisives (103 !) ne faisant rien de leur temps ou presque, quelle que fût la période du jour ou de la nuit où on les observait
Daniel Charbonneau, un des deux auteurs de l'étude avec Anna Dornhaus, semble pencher pour d'autres hypothèses. Les fourmis oisives ayant moins d'interactions avec les autres, elles pourraient tout simplement ne pas être au courant que du travail les attend ou, plus subtil, faire en sorte... de l'éviter.
Le 15 septembre 2021 à 10:32:05 : Daniel Charbonneau, un des deux auteurs de l'étude avec Anna Dornhaus, semble pencher pour d'autres hypothèses. Les fourmis oisives ayant moins d'interactions avec les autres, elles pourraient tout simplement ne pas être au courant que du travail les attend ou, plus subtil, faire en sorte... de l'éviter.
Ayaaaaaaaou, c'est comme ceux qui disent qu'ils ne trouvent pas de travail en France