Le livre de Zemmour commence avec une faute orthographe ! (No Fake)
SuppriméLe 14 septembre 2021 à 23:44:16 AnxieuxDeter a écrit :
Le 14 septembre 2021 à 23:43:21 :
Zaytoune ne sait pas écrire, comme les descos qui le vénèrent.REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES
1. Émile Zola
En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.
2. Honoré de Balzac
Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.
3. Victor Hugo
On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.
4. Charles Baudelaire
Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.
5. Paul Verlaine
Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.
6. Jules Verne
Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.
7. Albert Camus
Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».
8. Voltaire
« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.9. Stendhal
Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.
10. Marguerite Duras
En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).
Faire une faute dans un paragraphe en plein milieu d'un bouquin, c'est normal personne est infaillible ; Le faire au tout début, en préface/première page, c'est une autre histoire
Le 14 septembre 2021 à 23:41:55 AnxieuxDeter a écrit :
Le 14 septembre 2021 à 23:39:10 :
Le 14 septembre 2021 à 23:36:37 MywLover21 a écrit :
Le 14 septembre 2021 à 23:35:20 :
Le 14 septembre 2021 à 23:33:35 MywLover21 a écrit :
AYAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOOOO
bien représentatif de ce torchon qu'il a écrisa écrit*
rien à battre je suis sur jvc
j'ai pas la prétention d'écrire un livre et de "sauver" la FranceLe 14 septembre 2021 à 23:37:23 AnxieuxDeter a écrit :
Le 14 septembre 2021 à 23:31:08 :
"gneugneu mai cé pa grave, ign ign"REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES
1. Émile Zola
En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.
2. Honoré de Balzac
Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.
3. Victor Hugo
On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.
4. Charles Baudelaire
Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.
5. Paul Verlaine
Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.
6. Jules Verne
Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.
7. Albert Camus
Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».
8. Voltaire
« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.9. Stendhal
Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.
10. Marguerite Duras
En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).
Le bot pro-Z qui spamme son pavé depuis tout à l'heure pour protéger son bourge comme un chien-chien
Tes auteurs ont fait une faute digne de la maternelle dès la première phrase de leur bouquin aussi ?
Balzac a carrément inventé un mot, mais oui c'est plus grave que de se tromper d'accent sur un mot utilisé 4 fois dans sa vie
Bien sûr que c'est grave. Ça prouve que vous adulez une arnaque qui vous a roulés dans la farine depuis 10 ans
Le 14 septembre 2021 à 23:19:43 :
Le 14 septembre 2021 à 23:18:35 :
Le 14 septembre 2021 à 23:13:41 :
Pour quelqu'un qui accorde (à juste titre) autant d'importance à la France et à ses valeurs patriotiques cette faute est quand même très mal venue!
Dans l'absolu ce n'est pas grave mais ça décrédibilise un peu d'entrée son propos...Faut arrêter d'amalgamer les valeurs patriotiques avec une maîtrise parfaite de la langue
Un homme patriote doit être irréprochable, par contre ceux qui niquent la France on ne leur demande rien. L'avenir s'annonce radieux.
Ce sont les gros travers de notre société actuelle! Dans une société juste et saine, les personnes qui tentent de nuire au pays ne se trouveraient tout simplement plus dans notre pays ou bien seraient mises à l'écart de manière efficace grâce à une justice forte.
Le 14 septembre 2021 à 23:46:04 :
Le 14 septembre 2021 à 23:44:16 AnxieuxDeter a écrit :
Le 14 septembre 2021 à 23:43:21 :
Zaytoune ne sait pas écrire, comme les descos qui le vénèrent.REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES
[...]
Maintenant vous pouvez fermer votre clapet les gauchixFaire une faute dans un paragraphe en plein milieu d'un bouquin, c'est normal personne est infaillible ; Le faire au tout début, en préface/première page, c'est une autre histoire
Exact il a forcément relu sa première phrase, c'est donc un désco qui sait pas faire la diff entre pêcher et pécher
Le 14 septembre 2021 à 23:39:28 :
Le 14 septembre 2021 à 23:37:04 :
Le 14 septembre 2021 à 23:33:10 :
Le 14 septembre 2021 à 23:30:22 :
Le 14 septembre 2021 à 23:24:53 :
Le 14 septembre 2021 à 23:14:59 :
Le 14 septembre 2021 à 23:12:08 :
Le 14 septembre 2021 à 23:10:00 :
Le 14 septembre 2021 à 23:07:52 :
Le 14 septembre 2021 à 22:47:28 :
Le 14 septembre 2021 à 22:45:22 :
Le 14 septembre 2021 à 22:42:09 :
Le 14 septembre 2021 à 22:37:43 :
Le 14 septembre 2021 à 22:35:17 :
Et maintenant les zemmouristes en profitent pour nous comparer tranquillement le sous-doué littéraire, plein de ressentiment pour cette raison précise, Zemmour, à Balzac, Stendhal ou Verlaine. Calmez-vous bordel on dirait une grappe de groupies en chaleur.Personne ne dit que Zemmour fait du Balzac mais que tout le monde peut faire des fautes
Ou vous êtes de mauvaise foi des débiles profonds les anti zemmouriens
Je n'ai rien de foncièrement anti-zemmourien, je suis juste obligé de pointer le ridicule de tous ces droitards de mauvaise foi qui vont déranger des auteurs qu'ils n'ont pour la plupart par ailleurs jamais lu pour défendre l'indéfendable : une faute aussi laide et grossière en première ligne, répétée plusieurs fois, qui révèle d'ailleurs comme ça a été remarqué plusieurs fois un lourd passif de l'inconscient zemmourien face au péché.
Vous êtes névrosés les gars
2h que vous grenouillez sur ce topic pour répéter la même chose avec vos 3 pseudos + vous lui inventez des intentions diaboliques maintenant
Pas des intentions diabolique, juste que cette faute sur ce mot précis quand on connaît la situation rend la chose plus cocasse (et drôle) encore. ne t'en fais pas je ne considère pas Zemmour au point de lui prêter des intentions diaboliques.
Moi ce que je trouve drôle c'est que troll veut dire dire pêche à la traîne en français.
Continuez à couiner dans le désert tout le monde s'en cogne
Cette faute lui permet de dire que c'est dû à la précipitation suite à la censure qu'il a subit de la part d'Albin Michel.
Et ça lui permet aussi de dire que ses adversaires ne parlent que de la forme parce qu'ils sont incapables de l’attaquer sur le fond.
La forme, c'est le fond qui remonte à la surface
Quant au fond, il ne sait pas se dépatouiller quand il faut parler des chiffres. Tu vois sûrement de quoi je parle
C'est de la merde et tu peux très bien te tromper dans un chiffre.
Combien de fois il s'est trompé dans les chiffres pour que vous parlez de Caron encore au bout de 10 ansIl se trompe dans les chiffres, il se trompe sur les énoncés des statistiques, il se trompe sur un mot qu'il orthographie très mal 5 fois de suite ...
Sur quoi il ne se trompe pas? Mais ce n'est pas si grave en réalité, ce n'est qu'un commentateur de télé, pas un écrivain
Caron avait pris la définition de l'immigration de l'INSEE, Zemmour de l'ONU.
Celle de l'INSEE est plus restrictive (nationalité, lieu de naissance => pays de résidence). Pour l'ONU, il ne s'agit que du lieu de naissance => lieu de résidence.'Pour l'INSEE, pour être comptabilisé comme immigré, il faut être né à l'étranger, sans avoir la nationalité française, et résider en France. La situation d'immigré est permanente, même si l'on acquiert la nationalité française. En outre, c'est le pays de naissance qui définit l'origine géographique d'un immigré et non sa nationalité de naissance. L'ONU a une définition plus large, considérant comme immigrée une personne née dans un autre pays que celui où elle réside.'
Ce n'est pas une question d'ONU ou non, ça c'est juste une excuse pourrie qu'il a du trouver ou qu'un fanatique zélé à dû dénicher pour tenter de faire un damage control en sa faveur et pour rassurer ses militants.
Zemmour a tout simplement confondu étrangers et immigrés, il n'a rien pu rétorquer ou dire à ce moment là et tu espères le faire à sa place aujourd'hui? Allons, ne soyez pas mauvais perdant, il lui aurait suffit de clarifier ses propos ou de ne pas falsifier une étude de l'INSEE s'il voulait garder son intégrité intellectuelle
"qu'il a du trouver", "à dû", "ne soyez pas mauvais perdant" oui
Tu manques trop de rigueur mec, j'arrête de lire
Je suis allongé et sur le forum, je n'écris pas de livre et je n'ai aucune obligation à surveiller mon orthographe
Je croyais que la littérature française c'était sacré pour toi
Tu manques énormément de rigueur et tu voudrais nous faire croire que ton avis est pertinent ? Tu peux te garder tes excuses
Si tu considères qu'écrire sur un forum pour échanger est de la littérature, c'est que ta connaissance à ce sujet est nulle et inexistante.
Je n'ai aucune intention esthétique à faire valoir quand je discute avec des fanatiques qui ne veulent pas admettre que zemmour salit la littérature française en plus de gaspiller du papier
Le 14 septembre 2021 à 23:42:43 :
Le 14 septembre 2021 à 23:40:58 :
Les deux devraient pourtant être indissociables à mon avis : Quand on dit s'inspirer du style des plus grands et qu'on met un point d'orgue sur le fait de respecter les valeurs de notre pays, on se doit d'écrire correctement, c'est un minimum.
La langue française est très belle et l'écrire sans faute est la meilleure façon de lui faire honneurEt pourtant tu fais une faute toi aussi. Tu veux dire "mettre un point d'honneur". "Point d'orgue" signifie le point culminant, l'acmé d'un discours. On dit "Et il parla de l'immigration, ce fut le point d'orgue de son discours".
La langue française est atrocement complexe, presqu'impossible à maîtriser. En outre énormément de facteurs rendent sa maîtrise encore plus difficile aujourd'hui, dont la baisse du QI moyen mais pas que.
« presqu'impossible » oui...
Quelle horreur... Tu y vas fort
Ben objectivement j'écris beaucoup, je lis beaucoup, j'ai des amis qui écrivent et qui lisent beaucoup et on fait tous des fautes.
Ceci dit, à notre décharge, les temps ont changé : on écrit beaucoup plus, sans médiation, etc.
Pourquoi crois-tu que même au concours des meilleures grandes écoles, les fautes d'orthographe et de grammaire sont fréquentes ?
Le 14 septembre 2021 à 23:46:05 :
Le 14 septembre 2021 à 23:41:55 AnxieuxDeter a écrit :
Le 14 septembre 2021 à 23:39:10 :
Le 14 septembre 2021 à 23:36:37 MywLover21 a écrit :
Le 14 septembre 2021 à 23:35:20 :
Le 14 septembre 2021 à 23:33:35 MywLover21 a écrit :
AYAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOOOO
bien représentatif de ce torchon qu'il a écrisa écrit*
rien à battre je suis sur jvc
j'ai pas la prétention d'écrire un livre et de "sauver" la FranceLe 14 septembre 2021 à 23:37:23 AnxieuxDeter a écrit :
Le 14 septembre 2021 à 23:31:08 :
"gneugneu mai cé pa grave, ign ign"REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES
1. Émile Zola
En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.
2. Honoré de Balzac
Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.
3. Victor Hugo
On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.
4. Charles Baudelaire
Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.
5. Paul Verlaine
Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.
6. Jules Verne
Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.
7. Albert Camus
Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».
8. Voltaire
« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.9. Stendhal
Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.
10. Marguerite Duras
En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).
Le bot pro-Z qui spamme son pavé depuis tout à l'heure pour protéger son bourge comme un chien-chien
Tes auteurs ont fait une faute digne de la maternelle dès la première phrase de leur bouquin aussi ?
Balzac a carrément inventé un mot, mais oui c'est plus grave que de se tromper d'accent sur un mot utilisé 4 fois dans sa vie
Bien sûr que c'est grave. Ça prouve que vous adulez une arnaque qui vous a roulés dans la farine depuis 10 ans
En même temps sa langue natale est l'hébreu, sélection naturelle les couillons goyim
Le 14 septembre 2021 à 23:47:31 napoIeone a écrit :
les bots z n'ont pas d'honneur pour la France et sa littérature, tout ça pour défendre une opposition contrôlée du PAF depuis 30 ans
bof tu peux faire mieux
Le 14 septembre 2021 à 23:42:43 :
Le 14 septembre 2021 à 23:40:58 :
Les deux devraient pourtant être indissociables à mon avis : Quand on dit s'inspirer du style des plus grands et qu'on met un point d'orgue sur le fait de respecter les valeurs de notre pays, on se doit d'écrire correctement, c'est un minimum.
La langue française est très belle et l'écrire sans faute est la meilleure façon de lui faire honneurEt pourtant tu fais une faute toi aussi. Tu veux dire "mettre un point d'honneur". "Point d'orgue" signifie le point culminant, l'acmé d'un discours. On dit "Et il parla de l'immigration, ce fut le point d'orgue de son discours".
La langue française est atrocement complexe, presqu'impossible à maîtriser. En outre énormément de facteurs rendent sa maîtrise encore plus difficile aujourd'hui, dont la baisse du QI moyen mais pas que.
« presqu'impossible » oui...
Quelle horreur... Tu y vas fort
Ca s'écrit et c'est plutôt beau, tu écris bien "presqu'île" sans te rendre compte que l'élision du "e" est littérairement possible et même plutôt classe (je dis "littérairement" avant qu'un semi-habile me cite ce que dit l'Academie françaîîse là-dessus)
Le 14 septembre 2021 à 23:47:14 PourlamourduZ a écrit :
cette campagne électorale va être légendaire
En vrai même si j'en ai RAF de Zemmour (et que les places soient pas limitées), j'espère qu'il va atteindre le premier tour. Juste pour les débats présidentiels et les face à face avec d'autres candidats
Données du topic
- Auteur
- PetiteNenette_4
- Date de création
- 14 septembre 2021 à 20:51:59
- Date de suppression
- 15 septembre 2021 à 13:51:30
- Supprimé par
- Modération ou administration
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- Nb. messages JVC
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